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SIMONE, MA SALOPE tellement bandante, je t'offre un chaud plan baise : il met en valeur tes talents de PUTAINE EN CHALEUR !! ... Tu es dans le dernier compartiment d'un train vers Lille, lunettes fines sur ton nez, lisant une revue érotique. Tu portes une jupe fendue sur le côté montrant tes jambes, ton corsage compresse tes nichons plantureux. Un contrôleur s'approche, il est moustachu, petit mais musclé, aux larges épaules : - Billet s'il vous plaît, Madame... Tu fouilles ton sac à main : pas de ticket ! Un peu énervée tu l'ouvres en grand, ne le trouves toujours pas. Le type a le temps d'apercevoir moult capotes et la culotte mexicaine que tu as enlevée pour avoir la cramouille à l'air. D'ailleurs, tu ne portes pas de soutien-gorge non plus... - Alors ? - Heu ! Je l'avais pourtant, j'ai du le perdre. - Je vais être obligé de vous faire payer le trajet le plus long, plus l'amende. - Je vous assure, Monsieur, je l'avais en montant dans le train ! - Tout le monde me dit ça... Tu […]

La fête battait son plein dans les jardins de l’ancienne Abbaye en ruine. C’était cet endroit que la municipalité avait choisi cette année pour organiser les festivités médiévales. Habituellement, cela se déroulait dans le parc, mais la place venant à manquer à cause du nombre croissant de visiteurs chaque année, leur choix s’était donc arrêté sur ce site à quelques kilomètres de la ville, car il offrait une étendue plusieurs fois plus vaste. Ambre était une jeune fille de vingt ans, brune les yeux verts et un teint très pâle. Elle aimait la solitude. Mais c’est ce lieu qui l’avait décidée à aller y faire un tour cette année. Il lui semblait beaucoup plus approprié à ce genre de manifestation que le parc bordé d’immeubles en béton. Elle était donc partie de chez elle tôt dans le début de l’après- midi, pensant arriver sur le site avant que la foule ne l’ai envahi. Hélas, le beau temps étant de la partie, beaucoup avait eu la même idée qu’elle. Arrivée aux abords de la pâture qui […]

…/… Il arrêta de la caresser, mit une de ses mains sur sa nuque et passa l’autre entre son ventre et le marbre. IL exerça une pression sur son cou tout en attirant son bassin vers lui manière que son corps fasse un angle droit. Il lui écarta ensuite les jambes. Cette position l’excita encore un peu plus. Elle était là les mains posées sur la stèle, les bras tendu, les reins cambrés, elle attendait, presque avec impatience qu’il la prenne. Tout cela lui ressemblait si peu. Elle finit par se dire que finalement elle était sûrement en train de rêver, elle allait se réveiller. Son imagination était en train de se jouer d’elle, rien n’était réel. Elle devait se réveiller !!!! Le contact sur ses fesses de quelque chose de dur et glacé lui fit prendre conscience que ce n’était pas un rêve. C’était avec son membre en érection qui lui caresser maintenant le derrière. Inconsciemment, elle se cambra de manière à faire glisser ce pieu vers l’entrée de son vagin. Elle entendit son rire […]

J'ai trouvé un travail qui conviendrait parfaitement : je t'en narre les détails, MA BELLE SALOPE. Ce matin là, tu es à peine arrivée au bureau que la secrétaire te signale en entretien avec le Directeur. La courtoisie usuelle de ce quadra au discret embonpoint, d’une classe folle, t’accueille. Dès sa prise de fonction, son esprit de décision et sa finesse d’analyse des affaires ont stimulé l’activité de la boîte. L’effronterie de ses yeux te fixe ; il ordonne à la standardiste d’intercepter toute communication sur son poste. '' SIMONE, j’apprécie votre travail sur les dossiers - clair, concis, approfondi. J’ai quelques projets d’évolution quant à votre carrière. Vous le savez, l’attention portée aux clients est la clef de la croissance de notre cash-flow. Je pense développer un traitement plutôt… (Tu notes l’hésitation feinte) personnalisé. C’est là que vos qualités de… présentation interviennent. Marchez un peu, je vous prie. '' Prisant en mon for intérieur l’hypocrisie de ses […]

Tu grognes, vagis. Je te composte l'oignon, te bouscule, te dévaste le clapier à pines. Tout en te levrettant, je m'aperçois que la porte s'entrouvre ... Te besognant avec ardeur, je remarque un jeunot dans l'ouverture : c'est le coursier de la boîte, un paquet postal à la main. Je lui fais signe : - Mais entrez donc... Je pense qu'on sera pas trop de deux pour s'occuper de cette FOUTUE SALOPE en chaleurs... Je lui indique un siège : - Asseyez-vous là et rapprochez-vous. Une bonne pipe pour commencer ? A son sourire je vois qu'il apprécie l'invitation. Il bouge la chaise à roulette, s'y installe et délivre sa queue turgescente, fait gigoter une splendide érection sous tes naseaux. Tu cales tes coudes autour de ses cuisses, frottes des nichons contre son dard, lascivement, lentement. Ta dextre masse, malaxe ses couilles. Ton visage descend, tes lèvres embouchent le gland, l'emprisonnent dans un fourreau buccal qui coulisse de bas en haut, de haut en bas, de bas en haut. Je mets une […]

Justine ma soumise Son rosebud a queue de cheval Justine avec son rosebud a queue de cheval

MA BELLE SALOPE de SIMONE, chose promise, chose due : un chaud fantasme pour te lubrifier la chatte, pensant à ma verge déployée qui ne rêve que de s'offrir à toi : Je t'ai donné rendez-vous en centre ville. Avant de te conduire dans une ruelle peu fréquentée, je te bande les yeux puis mes doigts enlacent les tiens pour te guider. Je paye l'entrée en un lieu que tu n'identifies pas. Nous suivons un couloir, grimpons quatre marches, entrons dans une vaste pièce résonnant d'halètements, glissons dans une étroite rangée. Tu t'assieds à tâtons sur un fauteuil, j'ôte ton bandeau : sur un écran une rouquine aux lolos siliconés se fait besogner en double pénétration... Tu es dans une salle de cinéma porno,au dernier rang, unique représentante de la gent féminine !! La sono résonne des cris jouissifs de l'actrice et des insultes crues de ses étalons... Nous sommes au dernier rang, tu es à ma droite juste à côté d'un barbu qui se caresse la verge sous le pantalon. Sans te demander la […]

Il est une pratique SM que j'aime bien, car je la trouve particulièrement désuète et baroque et qu'elle nécessite beaucoup de moyens et de matériel. Là on joue dans la cour des grands. On côtoie l'aristocratie du SM et même l'aristocratie tout simplement. Il faut un château, mais un manoir peut aussi faire l'affaire, des écuries, des terres, du matériel. Cette pratique qui me trouble et dont la mise en scène m'interpelle, c'est l'attelage humain. Rien n'est plus beau ou émouvant que de voir trotter dans la brume matinale des mâles ou des femelles pratiquement nus et tout harnachés de cuir. Ils tirent de magnifiques sulkys ou des carrioles légères tout en chromes brillants et astiqués. Le rapport à l'animal dans le petit jour est particulièrement excitant. Les corps sont écumant, ils exhalent une vapeur moite, ils sentent la sueur. Les montures sont résistantes et bien musclées. Leur bouche est entravée d'un mors qui les bâillonne. Certains portent des oeillères. Des bandes de cuir […]