Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 13:49

 

 Transports en commun

Tes photos exhibent à tous la lubricité d'une sacrée FUMELLE BCBG (Belle Chatte Baise garantie !!!), SALOPE à 120%, toujours partante pour se faire saillir par les membrés de tout poil. J'espère te faire mouiller par les phantasmes que tu m'inspire, et faire bien triquer les lecteurs de ton site. Je t'offre donc un scénario hot de mon cru.

Je te mate pendant que tu attends le bus : veste tendue par tes formes matures, jupe un peu courte dévoilant le galbe de tes jambes, talons hauts, maquillage un peu outrancier de tes lèvres pulpeuses. Echange de sourires. Je sens que je ne te laisse pas indifférent : mince quadra, yeux verts, cheveux châtains grisonnants, sourire sensuel un peu ironique. Un véhicule bondé s'arrête. Je me place stratégiquement derrière toi, nos mains s'agrippent à la même rampe, toutes proches. Au fil des soubresauts du véhicule, ma hanche frôle la tienne, une fois, deux fois, trois fois. Tu te gardes bien de rompre le contact. Je commence à bander comme un cerf. Un coup de frein un peu brutal colle (enfin !!) ta croupe rebondie contre cette bosse qui gonfle mon jean. Tu ne te retires pas du délicieux contact qui vient de se produire, car tu apprécies que ma verge durcisse, développe l'ampleur de son érection. La perspective de savourer une fois de plus un gourdin de vrai mâle ne peut que réveiller tes instincts de truie en chaleur. Je loge la tension de ma pine entre tes fesses si accueillantes, que tu prend un malin plaisir à frotter, amorçant une subtile branlette facilitée par la promiscuité si favorable de notre bus Mmmm ton cul glisse de gauche à droite, de droite à gauche, remonte, redescend. Ma main vient recouvrir tes doigts, effleurent ton alliance. Te savoir mariée éveille encore plus mon désir de te posséder, d'abuser de tes charmes de baiseuse expérimentée. Je me penche, murmure dans le creux de ton oreille '' Envie d'une petite partie de jambes en l'air en cette fin d'après midi ? J'ai plus qu'envie de chair contre chair avec une femme qui semble à l'affût d'un bon coup. - T'as tout compris, mon mignon. Il m'est impossible de résister à une bonne grosse queue bien juteuse. J'habite deux arrêts plus loin. J'espère que tu es à la hauteur... - Avec une femme chaude comme toi, je ne peux être qu'inspiré ! - Tu me laisse un petit quart d'heure, évitons de faire jaser le voisinage. Et j'ai besoin de me préparer à t'accueillir. Tu me rejoindra au ... ème étage de mon immeuble, je laisserai la porte entrouverte... '' Nous descendons quelques minutes plus tard, moi précédé de la raideur de ma bandaison qui commence à me tarauder les burnes, toi les joues rosies de désir. Je fume une clope sur le trottoir puis avale les marches de l'escalier d'un pas leste, impatient de te rejoindre. Tu refermes la porte derrière toi. Je prends le temps de t'admirer : cheveux apprêtés, une paire de brillants aux lobes des oreilles, une fine chaîne d'or autour du cou, un peignoir de soie émeraude enveloppe ton corps, porte-jarretelles et talons hauts. Je pose ma paume sur ta hanche, effleure de l'index la courbe de tes lèvres '' Prenons le temps avant de savourer les plaisirs charnels, veux-tu ? - Je peux te servir un petit apéro en guise de mise en bouche – Mise en bouche, quelle expression pleine de promesses, ma belle... J'apprécierais un vin cuit.- Assieds toi sur le canapé, mets toi à l'aise. '' D'une démarche lascive animant tes hanches somptueuses tu vaques à la cuisine, revenant avec un verre de Muscat. Tu me le tends, penchée en avant. Le fin tissu glisse le long de ton épaule, dévoile la naissance de tes seins, j'aperçois les pointes de tes nichons qui sont déjà durcies. Je sirote ton offrande gorgée par gorgée, les yeux brillants d'excitation, puis pose le verre par terre. Je t'attrape le poignet pour que ta pogne repose entre mes cuisses. Tu me malaxes doucement, tendrement les couilles sur l'épais tissu de mon futal, remonte l'érection flagrante qui semble t'inspirer au plus haut point, car tu passe la langue sur tes babines avec un sourire des plus libertins. '' Ma chaude Simone, je pense que tu mérites également de savourer un apéritif. Que pense tu de quelques goulées de nectar de Mars ? Tu n'auras pas besoin de verre pour l'apprécier, juste d'une paille de chair... - Tu es trop modeste, plutôt un tuyau bien calibré !!! '' Je défais la ceinture du peignoir, dévoile tes mamelles de rêve, soulevées par ta respiration haletante, pèse sur ta nuque pour que tu puisse m'accorder à genoux une gâterie buccale, dans la posture de soumission qui convient à la prestation quémandée. D'une main experte, tu délivre mon mandrin, d'un coup de rein je fais glisser aux chevilles slip et pantalon. Tu prends tes miches à pleines pogne, m'enveloppe la pine d'un moelleux édredon de chair. Tes mamelons tendus à exploser me taquinent la hampe, y vagabondent, explorent l'ampleur de la bandaison, frottent le gland pour s'humecter des quelques gouttelettes de jus qui perlent. Ta bouche gourmande commence par gober mes couilles, que tu entreprends de suçoter. '' T'es vraiment une pipeuse particulièrement douée. On peux dire que tu aimes baiser avec la bouche !!! Mmm Continues à tailler ta pipe, ma salope en rut !!! '' Le pourpre du gland est bichonné, décalotté, recalotté, oint de ta salive, léché, siphonné... Ton regard de nymphomane intégrale scrute attentivement mes yeux, y sonde l’écho d’une sublime maîtrise du taillage de plume. Ma verge butte contre ta glotte. Tu me suces, m’aspires le vit fébrilement, ma chienne en chaleur - perverse tu ralentis ce pompier infernal, j’en ai presque mal au burnes. Caressant tes épaules charnues, j'admire ton entière consécration au pompage lascif de ma bite, le balancement de tes melons, les ondulations de ta nuque. Les frémissements de ma queue manifestent l’imminente délivrance. J’éjacule en saccades énergiques dans ton gosier de pipeuse. Une fois encore tu as somptueusement vidangé une paire de grelots. Yeux clos, sirotant les geysers de cette liqueur chaude, visqueuse, tu conserves quelques coulées de foutre, me roules un palot langoureux. Reprenant mon souffle, je te pelote les fesses '' Pour une mise en bouche, c'était une sacrée mise en bouche... T'es vraiment une pompe à sperme, toutes mes libertines félicitations. Mais peut être devrait on continuer dans ton alcôve – Yes, je pense arriver à redresser la situation '' Ajoutes-tu en me cajolant la queue, avant de sécher les ultimes traces de semence en frottant tes miches contre mon vit qui se détend peu à peu. Tu me prends par la main et me conduit au lit conjugal. Là tu me déshabilles et sort un paquet de capotes de la table de nuit. Nus sur les draps, nous nous caressons, explorant nos anatomies. Nos langoureux baisers cèlent le pacte de chair. Ta foufoune odorante lustre avec une frénésie de bon aloi mon pénis boursouflé. Je prends toutefois le temps de masser tes alléchantes courbes. Balloches tendues à craquer, je t’allonge ensuite sur le dos pour suçoter à mon aise chaque parcelle de tes copieuses mamelles. Ma langue parcourt ton ventre, évite sciemment ta chatte, pourlèche les cuisses que tu écartes perpendiculairement au bassin, offrant à ma vue la chair rosé de ton con de foutue baiseuse. Le téléphone sonne : ton mari !! Tu discute d'un ton badin, l'air innocent, pendant que ma bouche te baise à qui mieux mieux, mes mains plaquées sur tes poupes, les malaxant. Tu joint les talons, te cambre au moment où mes babines commencent imperceptiblement à taquiner la pulpe lubrifiée. Enfin tu raccroches – ton mari rentrera tard, comme souvent. Ta respiration haletante, tes gémissements m’excitent au plus au point. J’agrippe tes confortables flancs vibrant d’attente, ma langue pénètre la moiteur de ta moule de toute sa longueur, ressort, marque une pause, replonge, se dégage puis prospecte à nouveau la moite intimité de ton con. Je varie les trémolos de cette friandise en aspirant la chair de ton clito juteux à franches lippées, retroussant en alternance de mes babines expertes ton abricot comme s’il devait se rétracter dans le con. Tu roules des hanches pour intensifier la perception de ces tendres assauts oraux, fouaille mes cheveux de ses doigts '' Plus vite, Michel. Oh oui ! Tu me suces vachement bien. C’est trop bon !! Mmmm… '' Gorgé des saveurs épicées de ta cyprine je persiste à te brouter le pistil après ton orgasme. Je guide tes pognes vers les bijoux de famille afin que tu puisse ''redresser la situation''. Malléable esclave de mes désirs, tu mets en branle ta technique experte, découvre, recouvre avec une paresse feinte le gland violacé, le gratifie de ces fioritures qui font monter la pression - chatouillant de ta paume enduite de salive le sommet dénudé du braquemard avant de reprendre la lente noria du jeu de coulisse du prépuce autour de la tête de noeud. Pendant ce temps je te doigte l'entrecuisse, te branlotte délicatement. Sur une inspiration subite, je te glisse l'index dans le méat, il y pénètre sans mal ce qui m'incite à y joindre le majeur. En quelques minutes ton trou de balle distendu, son humide onctuosité facilite le jeu de coulisse. '' Ma chatte, mets toi à quatre pattes, je sens que tu va beaucoup aimer la suite des évènements ''. Tu ne peux t'empêcher de laisser échapper ces vulgaires propos '' J’adore me faire défoncer, piner le petit trou ! Encule-moi à donf !! '' J'exauce ton voeu : j'engonce ta face de pute dans le traversin, introduit ma queue dans ton oeilleton, lentement, décule, la renfonce de toute la longueur de mes 17 cm très progressivement, puis m'immobilise. Je décontracte et recontracte la pine pour que les parois de ton rectum en savourent le contact. Puis, je me cramponne à tes hanches, investit d'un coup brutal le tunnel dilaté d’un anus adepte de cet exercice réservé aux libertins endurcis. Je te ramone de mon rythme le plus syncopé, mes ongles te labourent les miches au mépris de la douceur de ces opulents appâts. Galvanisé par la symphonie de tes cris de souffrance succédant à l’euphorie initiale, j'accompagne les giclées de purée d’une cadence brutale qui perdure tant que la fermeté du mandrin me permet de te distendre le cul. Implacable à l’égard du fion douloureux je me retire du lieu de mes méfaits d’un coup sec. Roulée en boule, tes ahanements de putasse en chaleur culbutée par cette sodomie endiablée cessent peu à peu. Je vide sur toi le contenu du condom. Pas rancunière pour deux sous, tu me couvres de suçons passionnés. Un garage à bites a bien le droit d’être un tantinet fleur bleue... Je t'ordonne de sucer le foutre déposé sur tes nichons avec ton air le plus salope, ce que tu exécutes évidemment bien avidement. Au moment d’enfiler le caleçon je me ravise, l'oeil égrillard. Flattant la chevelure défaite de l’accorte soubrette de mes phantasmes, mes instructions te sont signifiées d’un ton comminatoire '' Puisque tu aimes tant téter les pines, tu mérites un pour boire. A genoux, putain en chaleur ! ! '' C’est pas tous les jours qu’une suceuse aussi chevronnée se présente à portée de biroute et je compte bien en profiter. Tu me dédies les ondoiements souples de ta chevelure, le doux balancier de tes sublimes nichons. L’esthétique compas dessiné par l’angle de tes cuisses épanouies exhibe une chatte affriolante. La glace de l’armoire reflète l’expression de ton regard d'oenologue se délectant d’un cru de choix. En un sens aigu de la mise en scène tu dispose le visage de façon à ce que les rais du soleil embrasent les subtils trémolos du pulpeux goulot de tes lèvres. Le vit gonflé à bloc est ainsi artistiquement exposé tandis que tu agaces le chibre, lèches la hampe, embouches les burettes, aspires le gland bouffi que ton palais hospitalier titille dans cette dévotion cinéphile à ''Gorge profonde''. L’aubade dévergondée de tes déglutitions alterne avec l’incandescence de tes gémissements, aux rares moments où l’insatiable bouche libère sa proie. Les fragrances corsées du phallus se mêlent aux fumets de cyprine échappés de ta moule béante. Quant au toucher, ta lenteur hiératique, la raideur des muscles des joues et des épaules, l’abondante sudation suintant sur ton épiderme attestent que tu prends sur moi pour différer autant qu’il t'es possible la mâle félicité (par ailleurs ralentie par notre séance d'enculage qui t'as si bien gavée le fion) que j'extériorise par une salace éjaculation faciale. Ta langue de salope pur jus savoure en voluptueuses lichettes le sperme qui dégouline le long de tes pommettes, procède à l’ultime toilette de la bistouquette. Tu peux arborer la pleine satisfaction du devoir accompli : une pipe que je qualifierai de chef d'oeuvre artisanal - à l’opposé du stakhanovisme des putains pressées de passer au client suivant. Sans bourse délier mais bourses vidangées à satiété, ton compagnon de débauche a ainsi pu juger d’une gamme de prestations comparables à celles d’une pute de haute volée.

Ma chaude Simone, il y a trois sortes de femmes : 1) les officielles qu’on respecte 2) les professionnelles de la baise qui soulagent essentiellement le portefeuille 3) les chaudes salopes à tringler et re tringler à l'oeil, seul ou EN GROUPE. Tu trônes en haut de la dernière catégorie ! !

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : Maitre Gone
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