Simone, esclave soumise

Je t'évoque aujourd'hui une fiction de domination plutôt crue... Imaginons que je t'invite chez moi un soir où tu es libre de découcher. Nous dégustons sagement du saumon fumé sur du pain grillé, arrosé de Gewurztraminer.

Je prends prétexte de la chaleur ambiante pour dégrafer deux boutons de ton chemisier, dénouer ta chevelure, caresser la rigole entre tes seins. Je m’installe sur le canapé, descends mon jean, fais choir mon slip à mes chevilles '' Tu vas suivre mes consignes à la lettre, esclave. Mets-toi à poil, que je me rince l'oeil ! '' Sans quitter de l'oeil ma bandaison flagrante, tu m'octroies un effeuillage lascif. Je mâte le dévoilement de tes formes pulpeuses, le pourpre de l’érection de tes mamelons, le délicat rose de la chair de ton con. J'adore contempler ton visage mûr de si CHAUDE SALOPE. '' A genoux, SALE PUTASSE, ton maître daigne t’accorder l’autorisation de lui tailler une pipe ! ''

 Je te passe une laisse autour du cou, harponne ta nuque pour mieux te posséder. Tu me lèches le ventre, folâtres vers l'ample colonne charnelle jaillissant de mon entrejambe. Petit à petit le circuit voluptueux de ta langue agile se focalise sur la turgescence de ma trique, en stimule chaque recoin. Ta bouche gourmande me gobe le gland en lampées voraces, en léchouille la fente entrouverte, aspire cette sphère si sensible. Ce festival buccal déploie d’obscènes arabesques. C’est vraiment le panard de se faire pomper le noeud par une VORACE PIPEUSE telle que toi ! Je me laisse aller '' T’es une excellente BROUTEUSE DE BITE. Mets-la gomme, maintenant ! ! Fais vibrer ton amant. Et surtout, t'as intérêt à avaler jusqu'à la lie mon foutre bien épais. '' Au fur et à mesure que le dénouement chemine ma poigne de fer accroît la traction sur tes cheveux, la débauche de mes halètements jubilatoires s’amplifie.

Un cri suraigu exhibe ma félicité. Mes geysers sont tellement énergiques que tu manques de t'étouffer en gobant mon sperme.

Je me remonte et ajuste mes vêtements, te fourre toutefois mon slip dans le bec, tire sur la laisse '' CHIENNE EN CHÂLEUR, mets-toi à quatre pattes ! ! Suis-moi à la chambre comme un animal domestiqué !! '' Arrivée près de la porte je récupère mon sous-vêtement, te flatte le popotin '' Brave bête… Attends-moi ici. '' Je me procure divers ustensiles : fins lacets de cuir, fouet, règle en acier, appareil photo numérique, stock de capotes. Je pose la barre près du plumard et hurle '' Au pied, petite dévergondée ! ''

Lorsque tes genoux d'obéissante soubrette frôlent le métal je l’interpelle '' Pas bouger, FUMELLE ! '', harnache la chair tendre de ton buste de lanières. Une série de clichés immortalise ta soumission. Dédaigneux de ta posture douloureuse je me déshabille, plie consciencieusement mes habits, les range sur une chaise. Frôlant ton visage, je m’assois sur le lit, cuisses écartées, attrape mon vit et commence à me branler. Tu fais mine de tendre le cou, je te giflai '' J’ai dit : pas bouger ! ! - Mais… - Ta gueule SALOPE, les domestiques n’ont pas droit à la parole ! '' Je resserre tes liens, vaque à enclencher un DVD X. De retour au plumard je reprends mon activité solitaire non sans quelques commentaires vicelards '' Mmm… C’est si bon. Dommage que tu ais reçu instruction de rester immobile. Tu dois commencer à avoir mal aux tibias… ''

Ma masturbation méticuleuse scandée de gémissements égrillards est à dessein plus lente qu’à l’accoutumée. Tu te fais souffleter à la moindre inclinaison du buste. J'éjacule sur tes nichons.

'' Grimpe sur le lit, Simone. Toujours à quatre pattes. Face au miroir. '' J’éteins le téléviseur. Je te tète la vulve par l’arrière, la pourlèche, gobe et mordille la chair de ton clito. Ma main gauche te pelote les fesses, effleure ta raie du cul. J'enfile un condom puis d’un coup sec j'infiltre ma queue dans ton fion, omettant de l'enduire de lubrifiant '' Tu me fais mal ! - Boucle là, PUTAIN ! Je prends mon panard en t’enculant à sec. Je ne tolère aucune rébellion, surtout de la part d’une RADASSE telle que toi ! ! '' Je tends le cordon pour te blesser les poupes, t'astique sauvagement l’anus, me repaissant de l’expression douloureuse de son visage. Ta lutte contre ce calvaire, mes efforts pour te tarauder nous irriguent d’une suée huileuse. Te besogner allègrement me procure une jouissance dingue. Cette sodomie est infiniment longue car ta pipe et ma branlette ralentissent le processus. Je t’encule ainsi à couilles rabattues, te dévaste de mon interminable piston d’athlète ès sodomie, alterne selon mes inspirations lenteur sournoise et violence déchaînée, cramponnant en cadence le soutien-gorge improvisé tel le licou d’une rétive jument.

Des gifles sonores te rappellent qui régit cette houleuse cavalcade. Tu remercies Aphrodite d’être de la sorte ravalée au rang d’instrument de ma créative libido, tunnel du rectum distendu par l’épaisseur de mon gourdin. Tes cris étranglés escortent l’accélération bestiale de mes saillies. Dans un souffle, je gicle à l’apogée de cette cavalcade effrénée. Je vide le contenu de ta capote sur tes seins et t'ordonne de boire mon nectar à même tes nichons.

Comblé par ce divertissement pervers je récupère quelques accessoires à la cuisine et te photographie en train de laper du lait dans une soucoupe posée au sol, une courgette et une carotte - que j'avais épluchés pour en faciliter l'enchâssement dans tes tréfonds - te dilatent chatte et troufignon. Je me badigeonne du liquide tiède que tu lèche sur ma peau, t'extorque une turlutte de plus - bien évidemment sans te rendre la politesse. Enfin je daigne délacer les courroies, mords cruellement à plusieurs reprises tes nichons striés de sillons rougis. J’amorce une tendre branlette de ton con mais lorsque tu côtoies la jouissance je manifeste mon arbitraire en m’interrompant, jetant par terre le couvre-lit '' Au dodo maintenant, sur la moquette ! Ton maître n’accorde pas aux laquais les honneurs de sa couche… ''

Visiblement déçue tu me scrutes d’un air interloqué, t’exécutes en silence. T’enveloppant dans la couverture, tu tentes de te polir le minou '' Pas de gâterie solitaire. Tu pionces à mes pieds, petite salope ! ! '' Au milieu de la nuit, je m’extirpe du pieu en catimini, fouet à la main. La longe siffle près de sa face '' Petite séance de dressage. Galope, ma pouliche !! '' Le cuir cingle l’air, inscrit mes marques sur ta croupe, tes épaules, tes cuisses, tes mamelles qui frétillent lorsque tu tentes d'esquiver les implacables morsures.

Sade aurait apprécié le spectacle : inexorable mécanique de mes bras châtieurs, regard impitoyable scrutant la géographie des balafres infligées, invectives crues échappées de mes lèvres tordues en une mimique tyrannique. Chaque fois que se lève l’instrument de ton supplice, tu ne peux en prévoir l’épilogue : tendre caresse, impact assené avec brutalité, simple claquement frôlant sa peau. Quelques photos interrompent cette séance de flagellation. Le manche de ma cravache te garnit le rectum. Comblé par tant de servilité je te permets de participer à un torride soixante-neuf où nos bouches impudiques font merveille – moi couché sur la moquette, béance de tes cuisses offrant un pistil saturé de mouille.

Toujours inflexible, je t'intime l’ordre de rentrer chez toi au moment où la perspective d’un épilogue câlin menace de se profiler. Salope accomplie, je te raccompagne parée d'une nudité d’allumeur. Je te fais te prosterner sur le pas de la porte d’entrée, adjuge à ma pine la friandise d’une ultime collation, car tu es si bonne fellatrice. Ton postérieur trônant sur le palier ondule en contrepoint de tes délectables coups de langue. Mmm !! Tu conserves pieusement la laisse que tu as portée toute la nuit…