GANG-BANG écolo ...(1)

SIMONE, je t'offre à nouveau, par ce récit, à plusieurs mâles. Ce matin là, tu t'ennuies chez toi. Il fait très doux, tu mets une jupette en jean « ras la chatte », un tee-shirt échancré serrant ta poitrine plantureuse, pieds nus dans des tennis couleur crème. Tu ouvres la porte, pars te promener dans le bois proche de ta maison. Les oiseaux pépient, un ruisseau coule à quelques mètres du sentier, un vent léger fait chanter les feuilles des arbres. Tout est calme, apaisé. Détendue, tu marches durent une bonne demi-heure. Tout à coup, tu entends des branches craquer le long des fourrés épais...

Tu t'arrêtes. Les bruits cessent au bout de quelques secondes. Tu retiens ton souffle. Silence. Tu repars, les craquements reprennent. Ton coeur accélère ses battements. Tu décides de revenir en arrière, pressant un peu l'allure, toujours accompagnée de bruissements. Tu commences à paniquer... Au détour du chemin, trois hommes en jogging émergent de la végétation juste devant toi. Un mince quinquagénaire aux cheveux gris coupé ras, un jeunot trapu à la chevelure blond sombre, un grand rouquin assez balèze. Une clairière couverte d'herbe haute longe le sentier. Le plus âgé te sourit :

- Bonjour Madame. Nous courrons pour la première fois dans le coin. Je crois que nous sommes égarés.

- Heu... Bonjour. Si vous continuez vers là, vous rejoindrez la route dans un peu moins d'un kilomètre.

- Merci. Vous êtes bien sympathique.

Aucun ne fait mine d'emprunter le direction que tu indiques. Leurs regards pèsent sur toi, lorgnent le décolleté plongeant, parcourent le haut de tes cuisses, le galbe de tes jambes. Leurs yeux te déshabillent, expertisent tes charmes pulpeux. Ta respiration s'oppresse, fait mouvoir le sillon entre tes seins. Ta gorge s'assèche, tu déglutis. Ils sont athlétiques, tu as la certitude qu'ils te rattraperaient en quelques mètres si tu te mettais à courir. Et se coin de forêt semble vide de toute présence humaine – hormis vous quatre.

Le roux s'adresse à toi, d'une voix doucereuse :

- Oui. Très sympathique. Et vraiment bien en chair...

Tes lèvres tremblent de peur. Ils sont calmes, sûrs de leur mâle arrogance, leurs regards sont si déterminés. L'homme insiste :

- Vous êtes très, très légèrement vêtue...

Le jeunot commente à son tour :

- Ouais. Plutôt allumeuse. Aucun soutien-gorge. Pratique, non ?

Clin d'oeil salace de sa part. Les trois types se rapprochent avec une souplesse de fauve. Le grisonnant passe son bras aux muscles noueux autour de tes épaules, caresse ta peau du bout des doigts. Paralysée de terreur, tu rétorques d'une voix étranglée :

- Je... Je m'habille comme je le veux. Laissez-moi, je suis mariée !!

Il se plaque contre toi, tu sens sa pine toute dure sur ton bas-ventre. Il rit :

- Tu peux crier tout ton saoul, ma belle. Y'a personne d'autre que nous !!

Tu tentes de te dégager de son étreinte, il te serre plus fort, à t'en faire craquer les côtes.

- Arrêtez ! ARRÊTEZ !!

Le plus balèze est derrière toi, il te bloque les avant-bras. Les larmes te montent aux yeux. Le plus âgé te fixe d'un regard impitoyable, recule puis, brusquement, fait jaillir tes nichons en déchirant ton haut d'un geste brusque. Tu hurles, te cabres pour résister à leur emprise :

- NON, pas ça ! SALAUDS !!

Trop tard : d'un geste adroit les boutons de ta jupe sont ôtés et cette vêture jetée au sol.

- Je vous en supplie ! PITIE ! PITIE !!!

« Cheveux ras » te bâillonne de sa paume, sa main coiffe ton pubis. Il ironise pendant que tu te débats :

- T'es attifée comme une PUTE, t'as pas de culotte. Comment trois hommes n'auraient pas envie de toi ??

Il t'interroge, main toujours plaquée à ta bouche :

- Tu prends la pilule ? Fais un signe de tête pour oui !

Tu acquiesces.

- Parfait... Les gars, allongez là ! On va se la violer...

Le jeunot bloque tes jambes qui tentent de donner des coups de pieds, le roux te prends aux aisselles pour plaquer ton dos sur l'herbe puis te saisit aux poignets, très très fort. Le troisième fait tomber son futal aux chevilles, extirpant une pine tout en volume, s'agenouille devant toi. Tu serres les gambettes :

- STOP ! NON !!! NOONNN !

Son genou bute contre ta motte, meurtrit tes cuisses en les écartant. Il empoigne sa bite, énorme :

- C'est ça, plus tu résistes, plus ça me fait bander !

Son gland force l'orée de ta chatte, d'une poussée il te pénètre jusqu'à la garde :

- NON ! NOOOON ! Au VIOL !! AU VIOOOOL !!!

Son corps pèse de toute sa masse, il projette avec violence son dard d'avant en arrière :

- Arrêtes ta comédie, tu mouilles déjà, PUTASSE !!

Et c'est vrai que ta cramouille fond sous ses assauts, que malgré toi tu te cambres pour mieux sentir toute la force de chacun de ses coups de gaules. Il te lime la minette de trois convulsions énergiques :

- OUAH ! T'es un super coup ! Ça te plaît, hein ?

Tu serres les dents pour ne pas lui donner raison mais ne te débats plus lorsque son comparse lâche tes avant-bras. Il plante sa queue, te laboure sans te ménager :

- T'aime la BAISE, hein !!

- SALAUD !

Il prend son élan, te torpille le con vite, fort, loin :

- Allez, je sais qu'elle te plaît, ma grosse queue en chaleur !

- C'est faux !

- Menteuse, elle te fait trop jouir, SALE PUTE !!

- Je... Nnn ... Non.

Ces dénégations sont de moins en moins convaincantes. Coup de lance dans ta fourette :

- Prends donc ça !

- OH... Non, arrêtez...

Mais tout ton corps se tord de plaisir, démontrant le contraire.

- HAN !! T'aime ma bite, CHAUDASSE !

- Nnn ... N... Oui. OUUUUI !

- Prends encore ça, SALOPE !

- OUI ! OUI !! OUI !!!

- Et encore ça.!!

Il accélère :

- Allez, PUTAINE, plein le vagin !

- OH OUI ! Encore ! Encore !! ENCORE !!!