Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 14:19

Il te besogne à burnes rabattues :

- T'es qu'une SALOPE a TRINGLER !

- OUI, TA SALOPE !!

- Un garage à bites !!

- YES ! ENCORE ! CONTINUE !!

- Une videuse de couilles !!

- OUI ! OUI !! OUIIIIIIII !!

Il éjacule à plein jets, inondant ta cramouille de foutre, puis remonte sa biroute au niveau de tes lèvres qui aspirent goulûment le sperme mixé au jus de chatte. Il s'assied sur l'herbe, reprend son souffle.

Le rouquin a lui aussi baissé le pantalon, il te tire presque sauvagement par les cheveux, redressant ton buste au nouveau de sa bistouquette qui gigote sous tes naseaux :

- AÎE ! Tu me fais mal !

- Ta gueule, PETASSE !

Un paire de gifle en aller-retour est venue briser en toi toute résistance. Il t'ordonne :

- Taille-moi une pipe, GROSSE SALOPE !

- J'ai pas envie !

Il tracte ta chevelure plus fort, te déséquilibre. Tu te rattrapes paumes au sol, en posture humiliante de quadrupède servile. Tu te sens merveilleusement esclave de leurs virilités. Un gros gland, déjà bien juteux, franchis le goulot de tes lèvres gourmandes. Tu te mets à biberonner cette bite à grandes goulées, savourant, yeux clos, le musc puissant, corsé qui perle. Derrière toi le jeunot ouvre l'angle de tes cuissots plantureux ; tu t'arques pour qu'il loge sa pine dans ta chagatte, pendant que l'autre pilote tes pipées en halant ta crinière. Le jeune pétrit tes mamelles, les masses, les lutine avec paillardise. Excitée comme la NYMPHO EN RUT que tu es, tu te laisses aller aux coups de boutoirs qui te levrettent la moule, la pistonnent, la défoncent, sans qu'à aucun moment ton gosier ne délaisse la turlutte qui te gave à t'étouffer. Une bite dans le bec, un vit dans le clapier à pines, tes miches pelotées : la jouissance déferle en toi comme une vague, du fond de la glotte jusqu'au bas-ventre. Du sperme souille ta bouche, et entre tes jambes ta vulve est maculée de sauce blanche, chaude et gluante. Tu avales tout comme une CHIENNE DE SALOPE, le blondin baptisant ton cul de ses ultimes gerbes.

Tu halètes comme une locomotive, aspirant à une trêve. Seulement, tu sens la présence du grisonnant dans ton dos, visiblement inspiré par ta position de FEMELLE soumise. Il te doigte le fion, incitant tout ton corps à aller d'arrière en avant au tempo de ses incursions digitales qui dilatent le petit orifice. L'ironie point dans la voix de ton partenaire :

- On va varier les plaisirs. Ce serait dommage que tu t'ennuies...

- Mmmm ... Oui ! Continues, c'est bon... Trop bon !

- Trois doigts y rentrent. Tu les sens, SALOPE ?

- OUI ! OUI !!

- Envie de quelque chose de plus gros dans le cul ?

- OUI !

- Quoi, ma belle ?

- TA BITE ! TA BIIIIIIITE !!

- No problem. Je mets juste une capote pour ne pas la salir...

Bruit de l'étui qui se déchire, puis claquement du latex s'ajustant à son gourdin. Tu ondules avec obscénité pour manifester toute ton envie de te faire emmancher le séant. Il t'écartèle les fesses, frotte du gland d'une vicieuse lenteur.

- La PUTE est prête ?

- Oui ! OUI ! OUI !!

- Elle en a vraiment envie !

- Bien sûr, beau SALAUD !

Il attrape la base de ta coiffure, s'y cramponne pour te faire cambrer :

- Dis-le, cries le !!

- ENCULE-MOI !

- Encore...

- ENCULE TA SALO... OUPS !!!

Une magistral poussée t'interrompt : le fumier t'a logé sa bite dans le derche de la cime jusqu'aux burettes, d'un seul coup.

- ARG !! Elle est si grosse !!

- TU VAS JOUIR PAR LE CUL, PUTAIN !

- OUI, explose-le, défonce-le !!

Ton corps est bloqué par sa prise à la base de ta nuque, tu ne peux que subir sa sauvagerie bestiale, c'est lui qui mène la sodo à sa seule convenance, selon SES lubies, seulement attentif à SES envies, à SON propre tempo. Tes miches plantureuses gigotent, ballottent à chaque impact, les burnes claquent contre tes fesses, se collent aux lèvres toutes humides de ton clito. Tu n'es plus qu'une FUMELLE EN RUT réduite à son troufignon qu'il pistonne, culbute, rabote. Tu crispes tes bras pour ne pas t'effondrer au sol tellement il te ravage le trou de balle, le tronche, le nique. Il n'a aucune pitié, n'offre aucune tendresse, n'accorde nul répit. Une sourde douleur irrigue, fouaille tes entrailles. C'est une délicieuse torture qui te brûle le derche, te tord le ventre, envahit chaque fibre de ton corps sculptural. Ses abdos musclés se plaquent à ta croupe, puis se décollent avant que sa bite en furie ne te gave, te truffe. Même avec ta mouille anale, chaque parcelle de tes sphincters ressent toute la mâle dureté de sa trique qui se débride avec barbarie. Ce maître de ta libido te ramone, te composte, te déchire l'anus. Tu as l'impression d'être presque fendue en deux à partir de l'épicentre de ton popotin. Tu ne puis que gémir, ahaner, râler, couiner comme une TRUIE EN CHALEURS, hors de tout langage articulé. Le plaisir primaire, à l'état brut, à l'état cru, absolu, intense !! Tu jouis comme une affolée lorsque ses premières giclées tapent contre les parois du condom ; il donne un coup de rein énergique pour chaque geyser foutral. Tes bras fléchissent, tout tourne autour de toi, tes muscles s'amollissent et tu pars quelques secondes dans les vapes.

Comme une automate tu te laisses guider par le jeunot qui se couche, t'installe sur lui, te pénètre lentement. Tes réflexes de BAISEUSE EN RUT reprennent le dessus, tu meus tes hanches pour capter sa bite, accompagner ses heurts de râbles syncopés, lents, rapides, puis délicats, s'accélérant, ralentissant. Le rouquin s'installe contre ton postérieur, tu n'as même pas la force de s'opposer à une sodomie capotée – heureusement plus calme que la précédente. Corps prisonnier de tes partenaires, tu sens presque à travers la paroi du rectum la biroute qui te lustre la minette. Une ardente mécanique emplit tes deux orifice, gland au fond du cul quand l'autre bitasse se retire, cramouille emplie à ras bord quand la pine arrière décule etc etc etc. Reins creusés, ondulations effrénées de ta crinière, tu es devenue une païenne statue charnelle, ode vivante à la double pénétration qui te dilate cul et chagatte !! Tes deux baiseurs te laissent mener cette danse érotique. L'enculeur déchargera sa livraison en premier, suivi, quelques longues minutes après, de l'orgasme du jeunot couplé au tien. Tous deux se retirent pour badigeonner de leurs queues semi-ramollies ton fion et ton bas ventre.

Le plus âgé – le « violeur » en chef, en quelque sorte – se met à genoux, choppe tes nichons pour commencer à se branler contre ces tendres appâts. Tu attrapes délicatement par dessous ses couilles toutes gonflées, prends ta voix la plus sensuelle :

- Mmmm ! Comme cette pine toute dure me plaît...

- T'es vraiment une SALOPE, juste bonne à tailler des pipes !

- Ouais, mon gaillard. Une suceuse de queue !

- Alors régale-toi, CHAUDASSE ! Pompe ton étalon !

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : blog sexe des amis
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