Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 14:21

Et il te fourre son engin tumescent entre les babines. Tu lui suces le chibre de tout ton art de fellatrice, cou ployé, joues creusées, yeux clos de plaisir de te soumettre à ce mâle, lentement, très lentement. Puis millimètre par millimètre ton fourreau buccal progresse le long de sa queue, du plus loin, au plus profond que tu le peux. Il vagit, gémis, vibre à ta langue qui parcours son membre insatiable, des couilles au sommet écarlate, boursouflé, en passant par la hampe déployée. Surexcité, il se cambre, donne des coups de reins amples pour t'emplir la bouche, frotte son gland boursouflé, poisseux de jus d'homme contre ta glotte, t'étouffe presque. Qu'est ce que tu aimes, adore te manger cette pinasse, la gober, de plus en plus vite ! Tu la sens enfin vibrer, alors tes lèvres taquines recalottent le mandrin, bloquent les flots de sperme qui s'y précipitent. Puis tu recraches cette biroute congestionnée, étreins tes mamelles pour les offrir aux gerbes de foutre qui bondissent, éjaculent sur ta peau.

L'homme reprend son souffle :

- On a touché le gros lot, avec toi. Allez, tends ton cul de PUTAIN au jeunot.

- Ah non, j'ai encore mal !

Impératif, il tire tes cheveux avec violence :

- C'est le seul d'entre nous qui ne t'ai pas enculée. T'as pas le choix, GRASSE PUTE !

- Non, je dois rentrer.

- On en a pas fini avec toi : mets toi à quatre pattes, SALOPE !!

Tu t'exécutes en maugréant. Pour la forme, en fait, car tu jouis littéralement de leurs exigences crues, de ton statut d'esclave de leurs sexes en rut. De toute façon tu n'as pas le choix, alors autant participer, prendre tout le plaisir possible !! Une biroute latexée prélève de ta mouille dans le vagin, puis se frotte à la raie de tes fesses. Le blondin empoigne ensuite son gourdin et force l'orée de ta rosace, parcourt progressivement ton rectum en feu, le dilatant au passage. Il recule, avance, se plante dans ton fion, décule, prend tout son élan, te défonce, ripe pour ressortir, te ramone le cul, sort, rentre à nouveau, s'extirpe, cartonne l'anus, se retire, te tringle avec violence. Ses heurts de gaule sont puissants, lents, provoquent en toi une exquise douleur, infinie, interminable. Il a planté ses ongles dans tes miches, qui lui servent d'appui pour te défoncer, te dévaster le derche encore plus sauvagement. Tu te sens animale, machine sexuelle soumise à ce maître de la sodomie, fion déchiré, nichons griffés, pincés, écrasés sans la moindre once de douceur. Telle une poupée mécanique tu redoubles à coup d'échine la dureté impitoyable des impacts qui te taraudent le troufignon, accélérant de toi même l'infernale cadence. Oh comme tu raffoles de te faire ainsi ENCULER à burnes rabattues, ce plaisir absolu !! Tu en grognes, en gémis, cries comme une damnée pour encourager ton partenaire, le suppliant d'accélérer, de te BAISER LE FION encore et encore... Il réussit à te faire JOUIR DU CUL par deux fois avant qu'il n'orgasme à son tour, bite tétanisée dont les jets de foutre tapent dans tes sphincters endoloris au travers de la capote.

Tu t'écroules au sol, à nouveau au bord de la syncope, te roule en boule, ton trou de balle quasi dévasté palpite encore de douleur et de jouissance primales. MAIS tes violeurs ne sont pas lassés de toi... Le rouquin te met sur le dos, tu ne peux qu'esquisser un vague geste d'opposition :

- Comme t'es une BELLE SALOPE, on va encore te faire plaisir en te baisant à tour de rôle...

- Non, pitié, arrêtez, j'en peux plus ! Murmures-tu.

- Ecarte les cuisses, PUTAINE en chaleur !!

Ton corps réagit mollement, comme dans un rêve. Tu ne puis résister à ses désirs, d'ailleurs tu n'as pas d'autre envie que de bites en rut dans ta chatte qui en mouille d'avance, de te laisser complètement aller à leur BAISE EN TOURNANTE, telle une droguée de sexe. Il te couvre de toute sa masse, torpille ton con d'une vigoureuse impulsion. Par réflexe tu enlaces ses épaules musclées, ceins ses reins de tes mollets pour intensifier ses heurts de biroute, sentir toute la fermeté de son vit au contact de ta douce intimité de FEMELLE. Il te laboure, te lime, te fourbit la cramouille, accélérant par paliers entrecoupés de courtes pauses, haletant comme une bête. Son corps te couvre, avance et recule, son haut de jogging râpe ta peau luisante de sueur. Tu jouis mais il continue à te limer comme un malade jusqu'à éjaculer ses flots épais de semence qui baptisent ta vulve. Sans transition ni – bien évidemment – le moindre préliminaire « Cheveux gris et ras » prend le relais. Il relève tes jambes à l'équerre pour te tringler tout au fond de la motte, te dominant de son buste, paumes en appui au sol : il matte ainsi à loisir sa grosse queue qui plonge, ressort, te bourre le clapier à pines. Ses saillies sont compulsives, sa queue déchaînée clapote avec indécence dans ta moule saturée de mouille et de sperme gluant, coulisse comme une arrogante lance charnelle, une torpille qui te défonce le vagin, sature, gave ta fourette en fusion. Avec lui, tu te sens comme un tas de VIANDE A BAISER, une pulpeuse poupée, un simple objet sexuel soumis à sa volonté, au service de sa rudesse brute de macho despotique. La tyrannie de sa pine te gave le paf, le fourre, le sabre. Il est vraiment long à atteindre l'orgasme - il est vrai que tu lui as vidangé les couilles à plusieurs reprises – ce qui t'offre deux intenses jouissances avant que les flots de foutre ne t'inondent la touffe, dégoulinant du clito sur tes cuisses. « Blondin » place tes cuissots à la perpendiculaire de tes flancs, arrime ses doigts sous tes épaules et t'empale la fourette jusqu'à la garde, bloquant ton corps, immobilisant une longue minute son érection dans la forge de ta cramouille chauffée à mort par ces BAISES A REPETITION. Tu ne peux retenir une première extase dont l'onde crispe ton ventre, fait vibrer chacune de tes fibres. Lentement, lentement, son piston emplit ta vulve, recule, se projette. Il tire sa crampe selon un tempo merveilleuse régulier, quasi mécanique, mais toujours ample et tout en puissance. Tu te cambres, creuses le dos pour savourer chaque seconde de ce coït qui ne semble pas s'achever. Il parviens à te faire jouir deux autres fois avant de balancer la sauce. « Balèze rouquin », surexcité plonge littéralement en toi, écrasant tes formes, jouant du pénis en une noria syncopée – multiplication de saillies nerveuses, pauses, lents glissandos de bite, rapides cogne-fourette, sortie de queue, pénétrations de barbare, prise d'élan. Ton corps, tes mamelles tressautent sous ses saillies athlétiques, lorsqu'il accélère tu vois à peine entre tes cuisses plantureuses le manège de sa bite qui fouaille, fouette presque, ta chatte. A peine as tu orgasmé qu'il se retire, visage écarlate et souffle heurté, étrangle sa biroute pour balancer son jus de mec sur tes nichons. Le « chef », sûrement le plus vicieux de tes étalons, choisit de finir en beauté : il frotte sa bitasse sur tes miches couvertes de foutre, se branlant en cognant la dureté de sa verge sur ces appâts de velours, reins creusés. Puis il glisse en avant, plante sa queue dans ta bouche pour la BAISER, t'étouffant de ce sceptre de Mars. Soumise à ce traitement humiliant qu'une PUTE DE BAS ETAGE n'accepterait même pas, tu prends quand même la peine de ne pas blesser de tes dents son pénis. Enfin il te jute dans le bec, le souillant sous ses flots de foutre épais, visqueux qui coulent hors de ton gosier, le long du menton. Pendant que lui et le rouquin se rhabillent, jambes flageolantes, le petit jeune te choppe en levrette, te baisant ainsi comme la CHIENNASSE que tu es. Puis les trois mecs repartent en petites foulées, sans un mot de remerciement pour celle qui leur a si bien vidé les couilles.

Allongée sur le dos, tu récupères, environnée des fumets de foutre s'évaporant de ta peau, des senteurs de mouille s'exhalant de ta fourette en feu après cette BAISE D'ENFER. Lorsque tu te sens à peu près d'attaque, tu relaces tes tennis, glisses tes fesses charnues dans ta jupette, mets le haut déchiré qui ne cache plus grand chose, constatant que tes tétons sont encore tous durs de cette torride séance de VIOL collectif. Ta chatte et ton cul ont tellement été défoncés que tu es obligée de rentrer chez toi comme si tu marchais sur des oeufs, t'appuyant de temps à autre contre un arbre. Ouf, ton mari n'est pas rentré, ce qui te permet de planquer dans la poubelle le tee-shirt lacéré puis de prendre un bain. Pendant plusieurs nuit, tu feras des rêves érotiques où des fantasmes de viols tremperont ta chagatte de SALOPE EN RUT...

SIMONE, voilà un récit qui, je l'espère, est digne de ton tempérament de PUTAIN puissance XXXL ! Michel, maître absolu de ta libido.

 

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : Maitre Gone
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