Au sauna

SIMONE, je pense que ce nouveau scénario que je t'offre titillera tes instincts, MA BELLE SALOPE. Par un heureux concours de circonstances, nous avons pu nous déplacer tous deux à PARIS. Je t'ai donné rendez-vous devant un sauna coquin que j'ai repéré (j'adore ces établissements libertins), une fin d'après-midi de printemps propice à l'éveil des sens...

Tu es arrivée avant moi, talons hauts rehaussant le galbe de tes gambettes, vêtue d’une jupe bleue pastel enserrant la rondeur de ta croupe et d'un corsage blanc laissant deviner la rigole de tes seins parcourue par une chaîne d'argent. Tu me tends tes lèvres pour un baiser fougueux, frottant en douce ton mont de Vénus contre ma pine, déclenchant la raideur d'une ample bandaison. D'une caresse à ton cul rebondi je t'incite à franchir l'entrée du sauna. Le prix de l'entrée couple acquitté, nous nous délestons de nos vêtures au vestiaire pour enfiler les peignoirs de rigueur. Je prélève quelques capotes disposées sur un présentoir. Petite halte au coin convivial où nous sirotons un café à une table basse, engoncés côte à côte sur une souple banquette. Je caresse ton genou, remonte tout en haut de ta cuisse. Tu ne peux t'empêcher d'écarter les jambes pour que l'assistance (deux types isolés et un jeune couple) ait un aperçu de ta chatte mi-rasée. Je te mordille le lobe de l'oreille en murmurant : '' Chaude Simone, allons faire un petit tour au coin jacuzzi ... - Avec un infini plaisir, il est grand temps de passer à l'action ! '' Main dans la main nous déambulons nonchalamment. Effluves légèrement chlorés et quelques clapotis nous guident vers un bassin. Nous déposons nos sorties (ou plutôt ''entrées'') de bain sur les patères adjacentes, proches de la porte de la zone hammam, et nous nous immergeons dans une eau délicieusement chaude. Cuisse contre cuisse, mon bras gauche contourne tes hanches pulpeuses. Je pose ma senestre sur ton con, caresse la chair de ton clito de FUMELLE EN CHÂLEUR qui saillit progressivement, y engonce le majeur. Pendant ce temps tu me branlotte la queue. Tu me lèches le creux de l'oreille '' Mmm Tu aimes que TA PUTAIN te branle la queue, hein, mon salop ! J'adore exciter mes étalons, leur polir la bite... - En effet, je sais que tu as faim de ma colonne de chair. Continue... '' Maintenant, mon index accompagne le majeur et je m'autorise une mini sodomie par le truchement de mon pouce. Je frotte ton collier sur le velours de tes miches, dont les pointes se mettent à bander. Je t'embrasse (ou plutôt : t'embrase !) sur la bouche en palots langoureux, profonds. '' Direction coin hammam, ma belle, j'ai très envie de te baiser à grands coups de gaule, de pilonner les tréfonds de TA CAGE A PINES !! - Toi, mon gaillard, tu sais trouver les mots justes pour parler aux VRAIES SALOPES !! '' Nous continuons à nous caresser sous la douche, pénétrons dans la pièce emplie de brume tiède, je dispose mon peignoir sur l'une des margelles. Tu t'y installe, écartant les jambes. Je m'agenouille pour t'octroyer une délicate offrande buccale dont j'ai le secret, car j'ai très envie de butiner ton abricot de chair. Mes mains glissent sur ton épiderme moite de vapeur, malaxent tes mamelles, les pelotent. Tu me cramponnes la nuque pendant que j'aspire la chair de ton clitoris à longues et voraces goulées. Tes flancs vibrent de plaisir. A deux pas de nous un mec seul commence à s'astiquer le poireau, ce qui ne fait que croître ton excitation et t'inciter à émettre des gémissements particulièrement indécents. '' Ouuuiii Michel, COMME TU SUCES BIEN LE CON DE TA MAÎTRESSE !! Quel lécheur !! '' De fines gouttelettes perlent au sommet de ma trique déployée. Je revêts un préservatif, t'installe sur mes cuisses, te mordille le lobe de ton oreille. Tes jambes me ceinturent le râble, tu t'empales sur ma verge, mon dard te pénètre bien à fond. Je m’immobilise, tu contractes, décontractes le vagin, savoures les palpitations synchrones de l’ample pylône qui te comble le garage à bites. Nous interprétons de concert la délicieuse symphonie des trémolos d’un code morse si subtilement libertin ! Je ressorts, replonge sans relâche dans ce con si hospitalier, lime une cramouille huilée par le plaisir de se faire fourbir jusqu’à la garde. Notre cavalcade se précipite par paliers ponctués de trêves qui en ajournent l’issue. D’onctueux bruits de ventouses s’échappent de nos bas-ventres tellement tu mouilles, tellement ta matrice s’ajuste à l'épaisseur du mandrin qui te sabre… Nos épidermes sont couverts de suée, mon ouïe se repaît de l’obscénité de tes encouragements. Je te prends aux hanches pour que tu te mues en ascenseur lascif recouvrant et découvrant sans relâche mon dard qui te torpille la moule. Ton clito est tellement lubrifié de mouille que je coulisse sans le moindre effort !! Je prends tes superbes mamelles à pleines pognes, puis redescends vers la raie des fesses pour te cajoler le petit orifice. Mmmm… sentir sous mes doigts la cambrure de tes reins, admirer ta chevelure rouler en tous sens, entendre tes vagissements de jouissance. Inconscients du temps qui passe nous forniquons, tes râles rauques ponctuant les spasmes de mes va-et-vient. Tu te tétanises à l'approche de l'orgasme. Mmm… BELLE PUTE EN RUT, sens-tu maintenant mes vigoureuses giclées de sperme sourdre à travers la fine paroi de la capote ? Ta chair se tétanise puis tu t’apaises, m’embrasses avec fougue, haletant de plaisir. Je ne me retire qu’au couronnement d’une débandaison nonchalante. Notre voisin éjacule dans un cri étranglé. Je vide le contenu de la capote sur tes melons, étale bien ce foutre sur ta peau huilée de sueur et de buée. Une bonne douche apaise nos sens et nous rejoignons le coin restauration. Quelques biscuits accompagnés de fruits et de thé à la menthe reconstituent nos forces. Ton sourire de DEVERGONDEE aux instincts lubriques – très provisoirement – assouvis fait plaisir à voir. Repus de nourriture mais point de sexe, nous errons à nouveau et soulevons une tenture. Sur un grand écran un film porno est projeté, un bonhomme le regarde d'un air blasé, un gobelet de café à la main. Je suis derrière toi et écarte les pans de ton peignoir, cajole tes miches, glisse ma dextre dans les tréfonds de ta motte. Je l'imprègne de ta mouille bien sirupeuse puis porte mes doigts à tes lèvres pour te faire goûter ton propre suc. L'attention du voyeur est maintenant captée. Je m'assois sur les gradins de la pièce, écartant les cuisses pour la suite des opérations. Tu te dénudes et adopte la soumission de la posture agenouillée, car tu vas me gâter en me taillant une pipe bien salace dont tu as le secret, ravie de t'offrir en spectacle au membré qui nous mâte. UNE SACREE SALOPE TELLE QUE TOI NE SE REFAIT PAS... Tu mets un point d’honneur à maintenir à demi entrouvertes tes lèvres frémissantes dont l’ourlet est longuement effleuré par mon gland poisseux. Mais… incapable de réfréner indéfiniment ta gloutonnerie, tu enfournes à pleine bouche ma biroute, la décalottes, la recalottes en lentes goulées. Je désigne ton postérieur dodu à notre voisin, signalant que tu es en ''libre service''. Notre désormais complice te caresse doucement le dos, les flancs, les fesses avant de te doigter la moule bien profond. Tortillant du popotin, tu écartes l'accueil indécent de tes cuisses de velours, ajustant tes ondulations aux mouvements de branlette et à la succion de ma bite. Enhardi, le lascar investit ton troufignon d'un index sodomite, rejoint rapidement par le majeur ; ses doigts coulissent dans ton rectum dilaté comme dans du beurre tellement cet orifice est humide de tes sécrétions. Mon dos s'arque du plaisir de posséder une SI CHAUDE PUTASSE QUI ME BAISE LA QUEUE DE SA BOUCHE VORACE tout en se faisant branler le cul. J'empoigne tes mamelles à pleines mains, les compresse, les malaxe tout en encourageant le quidam '' Cette CHAUDASSE a les babines occupées à me pomper le dard, mais je puis t'assurer qu'elle a envie de sentir ton gourdin ENCULER SON FION DE GROSSE PUTE EN CHALEUR !!! Tu verras, SIMONE EST VRAIMENT UN GARAGE A BITES... '' Il extirpes un condom en gestes fébriles, en chausse son noeud – d'ailleurs plutôt épais car il te faut d'amples gabarits pour te composter séant, chatte, gosier. A coups de reins sauvages, tu fais coulisser ton trou de balle autour de son sceptre exigeant, en huileux bruits de ventouse. Ta technique infaillible épouse les circonvolutions de notre manège à trois : entonnoir pulpeux de tes lèvres au bout de mon gland lorsque tes fesses buttent contre la panse de l'acolyte, ma pine avalée à t’étouffer quand le lascar repousse tes hanches voluptueuses vers le haut. Attiré par l’aubade de nos halètements, un couple s'installe : un type un peu âgé se met à tringler en levrette une adorable eurasienne. Les amples et lents mouvements de notre impeccable machine à forniquer s’activent jusqu’au prévisible épilogue : tirant brutalement tes cheveux en arrière pour signifier que TU ES L'ESCLAVE SOUMISE AUX EXIGENCES DE MON BRAQUEMLARD, MES GICLEES DE SPERME MAQUILLENT TA FACE ET TES MAMELLES DE HARDEUSE. Ô CHAUDE FUMELLE ! Comme tu savoure le sirupeux contact de mon foutre ! L’orgasme du type, couplé au tien, suit de près la douche au musc. Nous filons à nouveau nous doucher, pendant que ton enculeur profite des ébats de l'autre couple pour s'octroyer une pipe par la petite asiatique, avant de rejoindre l'étape suivante : le sauna finlandais. Nous nous asseyons tout à côté d'un couple occupé à se branler lascivement. Le mec est un peu dégarni mais plutôt musclé, la meuf est une blonde très pulpeuse au visage vulgaire mais qui exprime une extrême sensualité. Je lui pelote le cul, glisse vers l'hospitalité de son con, rejoignant les doigts du Jules pour redoubler l'effet de la branlette en cours. Petit à petit, je dirige ton visage vers l'entrecuisse de la blondasse pour que tu lui broute le pistil. Tu en profite bien évidemment pour sucer en alternance la bite de son amant, yeux clos, concentrée sur ce double jeu de caresses buccales. TOUJOURS AUSSI DOUEE A L'ORAL, INSATIABLE POUFFE !! Il ne me reste plus qu'à prendre doucement par la nuque l'autre nymphomane pour qu'elle me pompe le poireau : sa bouche sensuelle est trop tentante pour ne pas en abuser. Le mec éjacule en premier et tu ingurgites son sperme sans l'avaler, pour le recracher sur les seins de l'autre PUTE. Celle–ci gobe mes geysers de nectar jusqu'à la dernière goutte, poussant le vice en me nettoyant la pine à petits coups de langues : UNE VRAIE POMPE A FOUTRE !!

SIMONE, j'espère que ce récit t'incitera à tenter de chaudes parties de baise dans un sauna libertin. Je pense que même si tu y va seule, ton tempérament de catin en rut te fera très vite trouver chaussures à ton pied – ou plutôt verges à ta coupe de Vénus !!