Des jeunots en chaleur te violent !! (2)

- Ouais, nous t'offrons le goûter, POUFFIASSE !!

- Et t'as intérêt à gober TOUT notre foutre, SIMONE !

- Oui...

- OUI QUI, RADASSE !

- OUI MES MAÏTRES.

- Allez, boucle-là et suce, SALE PUTAIN !!

Les deux glands distendent tes joues, on dirait un hamster affamé, tu as placé les bites serrées l'une contre l'autre, chibre à chibre. Tu te régales de ce statut servile de POMPE A SPERME, goulot buccal coulissant sur ces triques jumelles tel une impeccable mécanique, biberonnant à bouche-que-veux-tu. Dans ton dos tu ouïs un latex claquer sur de la chair durcie, tu te raidis lorsqu'un majeur inquisiteur explore ton troufignon :

- SON GROS CUL mouille presque autant que sa chatte !! JE VAI TE ME L'ENCULER A DONF, LA SIMONE !

Pas le temps de te préparer, un gland tout rond pénètre ton oeilleton, prolongé d'une trique dense qui force le passage. Tu as à peine le temps de mettre à quatre pattes. Le petit salopard te farcit le derche quasiment à sec, s'agrippant à tes lourdes pastèques, ongles plantés dans leur tendre velours. Il faut très peu de temps pour que le passage s'élargisse. Les deux autres vicelards te tirent par les cheveux pour te bourrer le bec à coups de lance, cimes engoncées contre ta luette à t'en faire toussoter. Le sodomite te tire par les seins pour prendre tout son élan, te défoncer le fion, te l'éclater et tu A-DO-RES !! Ses couilles claquent en butée contre les lèvres suintantes de ton vagin, tu sens ses poils y adhérer lorsqu'il s'immobilise, planté jusqu'à la garde. Au moment crucial il se retire, ôte le condom et souille tes fesses de son foutre gluant. Tu reprends la base de tes sucettes charnelles en main et les lutines à babines rabattues, jusqu'à leur faire crachouiller la purée. Deux geysers épais explosent dans ta bouche, dégoulinent : tu prends tes seins à pleines pognes pour y recueillir les flots de ce jus de mecs puis le lécher sur ta peau à salaces coups de langue. Le rouquin s'exclame :

- Allez, POUFFIASSE, fini la récré. Garde la pause : on va te récurer l'arrière-train à tour de rôle !!

- Mais je...

- Collez-lui donc une bite dans le clapet, la GROSSE COCHONNE commence à me gonfler...

Et une noria de pines endiablées t'explose l'anus – à part les petits malins qui de temps à autre te levrettent la chagatte ou se font pomponner la biroute. Ces jeunots ont vraiment une capacité de récupération qui ne te laisse ni trêve ni répit... Mais tu comprends parfaitement leur enthousiasme : c'est pas tous les jours qu'ils tomberont sur une SALOPE à 200% qui ne demande qu'à se faire violer à couilles rabattues !!! Tu ne comptes plus les éjaculations soit faciales, soit souillant ton corps, tu te sens CHIENNE EN RUT soumise intégralement aux lubies hardos de ces fougueux étalons. Ils s'accordent tout de même quelques minutes de pause, éclusant du jus de fruit et de l'eau minérale sans te demander la permission. Le beur t'interpelle :

- Ta chatte s'est un peu trop reposée, FEIGNASSE : on va te la fourrer à nouveau.

Il pose son postérieur sur la table, te tend une capote que tu lui mets :

- Allez, LA PUTE EN CHALEUR, qu'on te chauffe la motte à la rendre ECARLATE DE BAISE !

Il t'ordonne de t'asseoir à l'envers sur lui, ton con baveux s'empale d'un vigoureux coup de rein autour du vit boursouflé. Il pétrit tes mamelles en te bourrinant. Le plus grand choppe ta nuque pour se faire turlutter un brin puis se caoutchoute. Tu fais mine d'être choquée :

- Mais qu'est ce que tu fais ?

- T'es pas conne à ce point quand même ? Tu vas te prendre deux gaules dans la touffe, c'est évident. Moi et mon pote allons tester les limites de ton CLAPIER A BITES – au pluriel, tu l'auras noté... Ta contribution à la recherche scientifique.

- Mais je vais avoir trop mal ! NON, s'il te plaît...

- Rien à foutre, PUTASSE.

- Pitié, pitié ! Pas ça !!!

- T'es juste UN TAS DE VIANDE A BAISER !! De toute façon, on fait ce qu'on veux de toi, SALOOOOOOPE !

Tout en s'immobilisant en toi jusqu'aux grelots le beur te force à écarter les cuisses que tu as resserrées. Pieds campés au carrelage, l'autre petit mac frotte sa cime sur l'érection des lèvres de ton clito, son gland s'introduit avec quelques difficultés. Tu serres les dents. Peu à peu la moitié de sa queue trouve sa place au côté de sa copine. Son complice déloge son dard pour partie, l'autre bitasse s'enfonce en entier. Après quelques tâtonnements, ils trouvent leurs marques, adoptent un tempo coordonnée, l'un t'empalant, l'autre laissant de la place et ainsi de suite. Jamais ton con n'a été autant dilaté ! Tu te sens écartelée, comme si ton paf distendu se fendait en deux : jamais ta fourette n'a été à ce point gavée, tu savoures chaque seconde DE CE QUASI VIOL – si ce n'est que tu es parfaitement consentante. Par pallier ils accélèrent leurs coups d'épieux, faisant tressauter tes nichons. Si le roux éjacule le premier, il persiste à te torpiller jusqu'à la vidange de la deuxième verge. Ils te virent de la table, vident les condoms sur ta face en se faisant lécher les chibres. Puis le grand échalas prend place sur la table, te fait accroupir sur lui (de face) pendant que le barbu t'encule. Saillie du derche. Baise-vagin. Trou de balle torpillé. Pinage du con. Défonce du rectum. Tu te fais fourrer la foune. Abordage du fion. Tringle dans le mille-feuille etc etc etc. Cette double pénétration menée vitesse grands vits te fais jouir trois fois !!

Lorsqu'ils ont cessé leur manège barbare, couilles vidangées à la lie, tu t'appuies sur la table, hébétée, au bord de l'évanouissement, guiboles flageolantes, souffle chaotique, coeur cognant dans ta cage thoracique. Tu leur fais remarquer en haletant que ton Jules devrait rentrer d'ici peu. Ils t'imposent quand même de les sucer tous pour les faire à nouveau bander et te « forcent » (sic !) à t'allonger au sol, cuisses béantes pour en cercle très vicieux autour de toi se branler en cadence jusqu'à l'orage foutral. Ils se remettent le pantalon, te saluent d'un coup de tête. Avant de partir, le barbu t'extorque ton numéro de portable pour organiser d'autres séances collectives de vide-couilles. Tu ne leur avoues pas, mais tu en jutes d'avance...

Sous la douche, tu te dis que tu engueuleras Sébastien dès son retour, puis changes d'avis. Après tout il n'a fait que dire la stricte vérité : SIMONE est sans conteste une '' GROSSE SALOPE A LA CHATTE TOUJOURS EN FEU '' !!! Tu devrais presque le remercier pour cette tournante impromptue que d'une certaine manière il t'a offert, mais une idée de vengeance très perverse commence à germer...

Voilà donc mon oeuvre : que tu t'en lustres la chatte pour NOUS, SIMONE ! Je n'ai pas voulu mettre directement ton fils en scène, car l'inceste reste un de mes tabous. Disons que c'est un bon compromis entre mes limites au vice et tes envies de transgression. En tout cas j'ai bandé comme un cerf en t'écrivant ce « texticule » : jouis en, MA CHIENNASSE A SAILLIR !

MICHEL, ton virtuel amant