Mercredi 8 octobre 3 08 /10 /Oct 13:34

SIMONE, voici la suite de mon récit
(la tournante que ton fils avait organisée pour que ses potes puissent abuser de ton tempérament de SALOPE EN RUT).

Depuis cette partouze, il te regarde de temps à autres avec un air particulièrement ironique quand il évoque ses copains, se permettant devant ton mari des allusions à double sens à la limite de l'insolence. Tu ne mouftes pas mais lui réserves un chien de ta chienne qui lui clouera le bec. Il te reste juste à attendre le moment propice pour te venger !! Il ne s'y attend pas car il te sous-estime...

Ce dimanche Sébastien amène chez toi sa dernière conquête, à laquelle il semble vraiment accro. Appelons la ''Elisa''. Honnêtement il a du goût : une lycéenne de 18 printemps, de la classe sans affectation. Assez grande, mince, mais avec des formes sculpturales et des jambes superbes sous sa jupe un peu courte. De longs et foisonnants cheveux roux coupés à la garçonne, le vert pâle de ses yeux en amande illumine un visage d'ange paré de lèvres charnues de suceuse. Tu t'arranges pour lui faire tourner la tête en emplissant son verre d'alcools divers de l'apéritif inaugural au digestif clôturant le repas. Elle contrôle son ivresse mais ses prunelles pétillent quand elle regarde son amant. Il faut dire que le fiston est beau mec, et puis côté galipettes, il a de qui tenir - il s'en vante parfois à mots couverts. En revanche, tu t'abstiens de boire pour garder l'esprit affûté. Pour la suite des évènements, tu connais un détail qui va te servir : elle a horreur des sports collectifs, avec assez de personnalité pour le signifier – au grand dam de Sébastien. Or tes hommes, fans de foot, ont projeté d'aller voir un match de suite après le repas. Tu prétextes de la solidarité féminine pour proposer que les femmes restent à la maison, au chaud, à papoter de sujets qui n'intéressent aucunement les mecs. Ils en sont ravis, revêtent leurs tenues de supporter, vous font la bise et décampent. Il est 13 h 30, ils ne seront pas de retour avant 16 h 30.

Fine mouche, tu indiques que tu aimes être à l'aise chez toi et que tu vas te changer. Tu t'éclipses dans ta chambre, vires tes fringues sur le lit, plonges tes formes épanouies dans le peignoir vert pastel que tu portais lors du gang-bang des potes à Sébastien. Elle va te porter chance, tu en es convaincue ! Pieds nus, de retour au séjour, tu lui offres un café. Comme tu as noté qu'elle semble avoir l'alcool loquace et plutôt tendre, tu lui sers un autre digestif. Elle semble à l'aise, tu entâmes la conversation, t'asseyant à sa gauche :

- Alors Elisa, si je ne suis pas trop indiscrète, cela se passe bien avec Seb ?

- Très bien. Il est vif, drôle. Il adore faire la fête. Il danse très bien.

- C'est curieux, je trouve que son style un peu voyou fait un contrepoint charmant avec votre côté particulièrement classe.

Elle sourit :

- Les contrastes s'attirent.

- J'en suis convaincue, aussi. Il doit médire de ses parents, comme tous les jeunes de son âge ?

- Il trouve son père bourru, mais il dit que vous comprenez les jeunes, que vous lui laissez depuis longtemps la bride sur le coup, plutôt libre. Que vous avez le sens de la fête, comme lui. Et que vous êtes... peu sérieuse.

- C'est à dire ?

Son regard espiègle se polarise sur ta tenue d'allumeuse, comme si elle cherchait une confirmation à ses dires :

- Ben... Assez libre. Beaucoup d'aventures d'après ce que j'ai compris. Même s'il reste assez discret.

- Vous trouveriez cela choquant ?

Elle rit de toutes ses dents, parfaites, si blanches :

- Votre mari a l'air un peu coincé. Je peux vous comprendre, surtout après tant d'années de mariage.

Un long silence s'installe pendant que vous sirotez vos kawas. Tu changes de sujet, te rappelant un détail sur sa vie scolaire :

- C'est pas trop dur d'être en internat ?

- Je suis majeure, tout de même. Je peux donc peut sortir assez tard, et lorsqu'il n'y a pas de cours.

- Et la promiscuité entre filles, pas trop « collante » ?

Pour toi, c'est une question clef. Tu as glissé en douce ton bassin contre elle. Ses paupières clignotent, comme si elle se remémorait des scènes de dortoir. Aussi finaude que toi, elle biaise :

- Les conversations sont souvent superficielles, mais cela fait le vide dans la tête. Je me « débranche » quand j'en suis un peu saturée.

- Aucune n'a tenté d'avance, comme cela arrive parfois ? Comme vous êtes séduisante, certaines filles y sont peut-être incitées.

Clignotement plus intense de ses superbes mirettes, qui ne se détachent pas de l'échancrure de ton peignoir. Tu insistes :

- Ma question vous gêne ? Vous n'êtes pas obligée de répondre. Je suis tellement curieuse... Mais j'ai des souvenirs un peu « troubles » de ma vie d'interne, jadis... (là, tu ment à dessein, car tu as toujours été externe ou demi-pensionnaire)

- Heu... Ça n'a pas trop changé. Des fois on se couche sur le même lit après l'extension des feux. On papote.

Elle rougit. Tu portes l'estocade :

- Parfois on parle avec les mains, non ? Un peu de contact affectueux quand on se sent prisonnière dans un dortoir, loin de son petit ami. Surtout quand il est aussi comment dire... ardent que Seb.

Regard de défi d'Elisa :

- Entre copines, il y a pas de mal... Vous ne raconterez pas à votre fils, il est un peu jaloux. Même si je sais qu'il est coureur.

- Voyons, cela restera un secret entre femmes.

Tu prends finis ton café, reposes la tasse, t'étires en posant comme par hasard le bras droit le long du dossier du canapé, sans la toucher. Pour l'instant.

- J'aimerai être jeune comme toi, dans la fleur de l'âge, découvrant la vie. La sensualité...

Temps d'arrêt. Tu croises les jambes. Haut. Ses lèvres tremblotent. Elle semble hypnotisée par ta voix qui est devenue de plus en plus rauque au fil de la conversation. Ton bras se pose délicatement autour d'elle. Ce mouvement ouvre l'échancrure de ton vêtement. Elle peut voir tes seins plantureux jusqu'à la limite des aréoles. Elle frissonne, tu la serres avec une affection presque maternelle. D'un geste infiniment adorable elle pose sa tête sur ton épaule, yeux clos, frotte sa joue telle une délicieuse féline. Tu murmures comme à regret :

- Je sais je ne suis pas précisément une jeune mannequin, alors que tu es si belle, tellement sexy, Elisa.

- Ne dites... pas cela. Vous .... heu ... tu as quelque chose, un charme mâture, une assurance qui incitent aux désirs. A tous les désirs.

Ouvrant en grand ton corsage, tu guides sa main fébrile, brûlante sur tes mamelles :

- Caresse-moi les seins. Mmmmmm, comme mes tétons sont durs de mes envies de toi, chérie !!

- Ouiiiiiii, ils sont doux, moelleux. Ils me plaisent beaucoup, Simone.

- Suces les, mon bébé... Je vais bien m'occuper de toi, t'apprendre beaucoup de choses...

 

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : SM: Domination/Soumission
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