Perverse vengeance !! (3)

Puis il la besogne en énergiques coups de gaule. Philosophe, la PETITE CATIN serre ses mollets à ses fesses, se cambre : à se faire tringler, autant prendre du plaisir à ce viol qui lui taraude la moule. Le beur te fait accroupir, te fourre sa trique dans le bec – il a la prévenance de t'avoir placée en vue du coït animal qui se déroule sur le sofa. Tu le pipes à fond de gosier deux fois de suite pendant que l'autre PUTASSE se fait sabrer la moule par le grand échalas puis le rouquin. Leurs larges pines dilatent à fond la vulve de la PETITE PUTE EN CHALEUR, vulve que tu avais gorgée (avant leur arrivée) d'un concombre encore plus volumineux ! Tu comprends que devant cette beauté ils te délaissent un peu, jusqu'à l'avoir tronchée une à deux fois chacun, clapotant dans sa mouille, daignant de temps à autre se faire pomper la biroute par LA SIMONE. Comme toi l'autre jour, elle en prend plein le CLAPIER A BITES, sans trêve ni répit, douchée de foutre de temps à autre sur les miches ou la face. Lorsque l'un la levrette, son gosier véloce pompe un dard – exhibant ses talents indéniables d'avaleuse de sperme. Pour lui reposer la touffe et se relaxer la queue, il la font te gouiner à babines rabattues. Puis le beur te claque le fessier avec familiarité :

- Allez, BONNE PUTASSE, mets toi à quatre pattes comme l'autre SALOPE. On va vous torpiller le cul.

Servile esclave de leurs juvéniles pines, tu obéis avec empressement, ondulant de la croupe. C'est le beur qui à la primeur de t'enculer. Le roux écartèle le globe fessier pour dégager la raie de la petite rouquine, qui fait mine de s'offusquer :

- Non, pas ça...

- Je vais me gêner, PUTAIN. Tiens, prends ça dans le derche !

Il s'enfonce dans le fion d'un coup de lance impératif et sans appel.

- Aïe !! Elle est trop grosse.

- J'ai l'impression de te violer le cul, PETITE PUTE. Continues de résister : ça me fait encore plus bander !!

Coup de rein :

- Han ! Tu commences à pas mal juter du trou de balle, je glisse mieux !

- Ouille ! (mais l'interjection semble un peu formelle)

- Prends encore celle-là !

- Ouille (vraiment timide de la part de la belle...). Je la sens si fort !

- T'aimes que je t'éclates le fion, hein PUTASSE !!

- OUUUUIII ! Je... mmmm !!! C'est trop bon !! Encore ! ENCORE ! ENCOOOOOORE !! Défonce, éclate ta PUTE EN RUT !!!

Successions d'insinuations vigoureuses du pal, dont les tressautements sont jumelés par celles de la bite qui te gave de sodos. La PISSEUSE commence à y prendre de plus en plus goût, coordonnant à merveille ses mouvements de bassin pour doubler les impacts qui lui perforent le derche. Tu accélères de plus en plus tes heurts de hanches dans l'intention de faire jouir ton mâle avant le sien : dans ta tête tu as fait le pari de prendre dans ton gros derche encore plus de coups de biroutes qu'Elisa ... Vous n'êtes devenues tous deux qu'objets sexuels de leurs lubies lubriques, de simples trous de balles à ravager, truffées jusqu'à la garde de bitasses en chaleur, fourreaux rectals distendus, criant, hurlant, gémissant vos jumelles jouissances. Ton anus sort vainqueur du challenge, d'une encolure : Simone 6 sodos, Elisa 5. Elle a dû pas mal se faire culotter le derche par ton Seb pour supporter ainsi ces enculages en rafale !

Mais l'heure tourne... Vous pipez chacune deux braquemards en parallèle, avec une consigne stricte que tu as définie : chaque verge vidangée doit éjaculer sur la PETITE SALOPE, pour l'avilir, la rabaisser au rang de FUMELLE à souiller. Ils partent enfin, tu allonges la jeunette maculée de foutre sur le sofa et lentement, tendrement, léchouilles chaque gouttelette de sperme déposé sur sa peau. Mmmmm les giclées ont épaissi en séchant, tu savoures avec paillardise ce mets gluant, sirupeux, gouleyant, encore tiède !! Vous vous offrez une petite séance de double baise au concombre, puis une salace douche égayée de défonce-chagattes et pine-rectums à coups de goulots de flacons. Si tu délaisses le peignoir coquin pour remettre tes habits, tu t'arranges pour te faire grignoter la moule à tire-larigot, la godant du concombre. Interrompue en plein milieu d'un torride cunnilinctus, l'hypocrite GOUINASSE a juste le temps de prendre une posture innocente et de fermer le chemisier lorsque la bagnole se gare. Tu remontes ta culotte, fais disparaître le légume vert dans le frigo et jettes la carotte. Le soir, tu sers en entrée une salade accompagnée du concombre qui a batifolé dans vos cramouilles. Seb et ton mari décèlent un arrière-goût qu'ils semblent reconnaître sans pouvoir l'identifier : tu leur expliques que c'est une recette que seules les femmes peuvent réussir. Elisa manque de s'étrangler de rire !

Tu attendras que Sébastien ait rompu avec sa NYMPHO, quelques semaines plus tard, pour lui narrer ce qui s'est passé ce dimanche. Sa fierté de jeune macho en prend un coup, mais depuis il te considère désormais avec plus de respect. Il voit toujours ses quatre potes et tu soupçonnes qu'ils se partouzent ensemble quelques CHAUDES PETASSES. Quand à Elisa, elle se fait de l'argent de poche en jouant de ses charmes affriolants dans un bar à entraîneuses... Elle te confiera un jour sur l'oreiller qu'elle envisage une carrière d'actrice pour films pornos bien hardos. Au fond, c'est un peu toi qui a éveillé cette vocation... C'est quand même sympa ce métier où l'on se fait payer pour se faire farcir tous les orifices par de superbes mandrins !

MICHEL, BEAU SALAUD AU SERVICE DE SA BELLE SALOPE...

FIN