Tringlée dans le train

SIMONE, MA SALOPE tellement bandante,
 je t'offre un chaud plan baise :
il met en valeur tes talents de PUTAINE EN CHALEUR !! ...

Tu es dans le dernier compartiment d'un train vers Lille, lunettes fines sur ton nez, lisant une revue érotique. Tu portes une jupe fendue sur le côté montrant tes jambes, ton corsage compresse tes nichons plantureux. Un contrôleur s'approche, il est moustachu, petit mais musclé, aux larges épaules :

- Billet s'il vous plaît, Madame...

Tu fouilles ton sac à main : pas de ticket ! Un peu énervée tu l'ouvres en grand, ne le trouves toujours pas. Le type a le temps d'apercevoir moult capotes et la culotte mexicaine que tu as enlevée pour avoir la cramouille à l'air. D'ailleurs, tu ne portes pas de soutien-gorge non plus...

- Alors ?

- Heu ! Je l'avais pourtant, j'ai du le perdre.

- Je vais être obligé de vous faire payer le trajet le plus long, plus l'amende.

- Je vous assure, Monsieur, je l'avais en montant dans le train !

- Tout le monde me dit ça...

Tu poses les lunettes, te penches en avant pour qu'il mâte tes miches qui pointent sous le décolleté plongeant, croises tes gambettes bien haut. En cet instant tu sens monter en toi une furieuse envie de TE FAIRE BAISER !! Tu murmures, le fixant dans les yeux :

- Il n'y a pas d'autre possibilité ?

Il écarquille les yeux, puis sourit :

- Peut-être. Je réfléchis.

Ses doigts montrent la femme nue en couverture de ton magazine, puis, discrètement, se posent tout près de l'hospitalité béante de ton con. Tu le laisses faire, passant ta langue sur tes lèvres de SUCEUSE... A voix basse il te parle :

- Oui, vous avez raison, il y a une issue possible, qui me plairait bien.

Tu vois une grosse bosse qui tend son pantalon au niveau de sa queue et cela commence à vraiment t'exciter. Tu viens de te rappeler que ton ticket est dans ta petite valise, mais une occasion de te faire tringler ne se refuse pas... Tu poses ta main sur la sienne, la guide sur ta chatte, lui faisant comprendre que bien évidemment tu es prête à payer ''en nature''. Il reprend la parole d'une voix étranglée :

- Vous vous appelez ?

- SIMONE ...

- Moi c'est Paul. Allons dans la cabine des contrôleurs...

Tu approuves d'un signe de ta tête, te lèves et le suis. Il ouvre une porte au fond du compartiment. A l'intérieur : des chaises, une couchette, une table sur laquelle deux de ses collègues remplissent le registre de contrôle. Paul ferme à clef, prend ton sac à main, vide tes capotes sur la table. Il te présente à Henri (un grand antillais, superbe) et à Jacques (rouquin presque adolescent et très mince, élégant dans son uniforme) qui en sont bouches ouvertes d'étonnement :

- Voilà Mme heu SIMONE. Elle a un petit problème de billet. On va régler ça ensemble... tous les trois !

Il se place derrière toi et se met à te peloter sous tes habits, caresse tes seins dont les pointes bandent, masse ton cul de rêve, te choppe la motte. Le black s'approche, défait ton corsage, fait jaillir tes mamelles, glisser ta jupe : il t'a mise complètement à poil, à part tes talons aiguilles ! Il siffle d'admiration en matant ton corps splendide de reine de la BAISE, tellement bandant dans ta quarantaine épanouie :

- Hé bien, Paulot, tu nous as livré une BONNE SALOPE, chapeau !!

Il te fourre le majeur dans le con, le dilate :

- Les mecs, la CHAUDASSE mouille déjà comme une fontaine ! Qu'est ce qu'on va lui mettre !!

Ils ont parfaitement compris qu'ils ont affaire à une NYMPHO AFFAMEE DE GROSSES QUEUES EN CHALEUR, prête à faire crachouiller le jus des étalons !! Ils t'écartent les gambettes, font pencher ton buste en avant. L'antillais passe un préservatif au moustachu, fait tomber pantalon et slip aux chevilles, tire tes cheveux pour redresser ta tête au niveau de sa bite, énorme, épaisse. Elle bande sur 25 cm, gigotant sous tes lèvres :

- Pour commencer, tu vas me sucer à pleine bouche, en te faisant tringler la moule en levrette.

Ton gosier de PIPEUSE décalotte le gland, embouche le chibre tout gluant. Il met les mains aux hanches et commence à donner des coups de reins pour s'enfoncer tout au fond de ta bouche. Des mains écartent tes fesses, une biroute caoutchoutée se glisse au creux de ta cramouille toute fondante de désirs lubriques. Popaul, car c'est bien lui, te queute la chagatte en tirant et poussant ton corps, doigts plantés dans tes nichons qu'il serre comme un malade. Il te défonce puissamment la cramouille mais fait toujours attention à ce que le dard d'Henri ne quitte ta bouche à aucun moment. Pendant ce temps, Jacques prend des clichés avec un appareil numérique, se caresse le noeud sous le pantalon en attendant son tour. Dans un cri, Paul éjacule dans le condom, donnant un coup de rein pour chaque giclée de sauce, se retire, il t'asperge le cul du jus sorti de sa trique et de la capote qu'il vide sur tes fesses. La pine antillaise décharge son foutre dans ta gueule de POUFIASSE EN RUT, déborde de tes lèvres tellement il a balancé de purée ! Il commente, pendant que chacun ôte chaussures et pantalon :

- Ma belle, on peut dire que tu en veux !

- OUI, réponds-tu avec fierté.

- Avec une telle tenue d'allumeuse et ton corps de PUTE, tu dois souvent voyager '' à l'oeil ''. Ou ''à LA BITE '' devrais-je dire, hein SALOPE !!

Le moustachu l'interrompt, claque dans les mains :

- Allez PUTAIN EN CHALEUR, pas de temps à perdre en bavardages, allonge-toi sur la table pour te faire sauter par le jeunot !

Jambes écartées tu t'installes sur le meuble. Le rouquin te prend aux hanches, se penche, passe la langue sur ton con bien juteux, te suces le clitoris. Un tendre, celui-là (du moins pour l'instant...) Tu te cambres de plaisir, te pelotes les seins pendant qu'il te bouffe la chatte. Il se relève, place un préservatif, frotte en tournant son gland sur ta chagatte, longtemps, longtemps. Puis il fourre ton vagin jusqu'aux couilles, attrapant tes talons pour que tes guibolles serrent ses reins. Sa biroute glisse dans ton jus tellement tu es trempée, il te baise en coups de gaule lents, profonds, puis accélère, accélère. Ton corps frotte contre le bois tellement il te bourrine le con avec une paillarde conviction. Il te nique, te truffe, te cartonne la motte, ses couilles tapotent contre les lèvres juteuses de ton clitoris. Il ralentit parfois, pour te reposer la touffe et retarder l'orgasme. Visiblement il aime que les FUMELLES prennent le temps de jouir. Ses copains sont à tes côtés, se branlent sous tes naseaux pour prendre le relais... Tu mates leurs doigts agiles qui coulissent sur leurs chibres tout poisseux de sperme, astiquent leurs glands, sens la mâle odeur de ces pines si proche. Du coup tu bouges tes reins de plus en plus vite, répondant parfaitement au piston qui te bourre le mou, te gave la paf. Le mandrin de Jacques explose, décharge dans ton vagin. Tu jouis pendant qu'il continues de te sabrer tant qu'il peut rester raide ! Essoufflé, il se retire, rajoute du sperme sur ton buste en vidant le condom.

Paul te prend par la main, te conduit sur la couchette, heureusement un peu large. Tu le masturbes ainsi que le black, places des ''caoutchoucs'' sur leurs membres tendus à craquer, puis les mets à poil. Henri l'antillais se place sur le côté, au fond du lit, passe ta jambe droite sur lui, fais glisser son énorme queue dans ta fourette, centimètre par centimètre. Qu'elle est énorme ! Heureusement qu'il ne te la mets pas dans le cul : il te l'éclaterait !! C'est le moustachu qui par derrière, perpendiculaire à toi, enfonce son gland dans ton anus. Sauvages coups de bite dans la chatte, Paul te bourrine le derche. Tu es emprisonnée entre leurs corps, compressée, leurs coups de boutoirs te dilatent, te fourrent cul et cramouille. Après un long et intense moment de cette torride pénétration en doublé, Paul gicle en premier, puis tu orgasmes juste avant le black. Ôtant leurs préservatifs ils frottent longuement leurs pines gluantes de sperme sur ta peau de CHAUDE SALOPE.

Jacques a plié ses fringues sur une chaise. Il s'approche de toi, bite raidie. Tu t'assieds au bord de la couchette, attrapes tes nichons luisant de foutre, y lèches le jus de mec. Regardant le jeunot droit dans les yeux d'un air d'allumeuse, tu le tires par la queue, l'enfouis dans tes mamelles de PUTASSE et le masturbes de tes seins, frottant sa jolie pine très lentement, jusqu'à ce qu'il éjacule. Tu jouis en même temps, car pendant ta chaude « cravate de notaire », Paul et Henri te branlaient le con.

Pour ne pas perdre de temps d'ici la fin du voyage, ils t'allongent sur le lit, cuisses écartées, talons aux fesses et t'ordonnent de t'astiquer la moule. Tu le fais avec plaisir, à pleines mains, suçant la mouille déposée sur tes doigts. Puis l'un après l'autre ils baisent ta chatte de CHIENNASSE EN RUT, sans répit. Ceux qui ne te tronchent pas prennent des photos... Leurs pines déchaînées clapotent dans ton jus de FUMELLE, les capotes se vident sur ton ventre, ton visage, dans ton gosier, sur tes cuisses, sur tes nichons.

Vous avez à peine le temps de vous rhabiller avant l'arrivée du train en gare. Tu donnes ton adresse mail pour qu'ils t'envoient les clichés numériques de cette partouze impromptue... Tu files dans le bus. Sur le trajet quelques types ne se gênent pas pour te peloter, car en plus d'être vêtue comme une NYMPHO EN CHALEUR, ta peau exhale les odeurs tenaces de foutre et de mouille.

J'espère que cette histoire t'a beaucoup plus, que sa lecture te lubrifie la chatte. Dans l'attente de tes mails torrides.... MICHEL, fou de SIMONE, SALOPE D'ELITE !!