Entretien de débauche

 J'ai trouvé un travail qui conviendrait parfaitement : je t'en narre les détails, MA BELLE SALOPE.

Ce matin là, tu es à peine arrivée au bureau que la secrétaire te signale en entretien avec le Directeur. La courtoisie usuelle de ce quadra au discret embonpoint, d’une classe folle, t’accueille. Dès sa prise de fonction, son esprit de décision et sa finesse d’analyse des affaires ont stimulé l’activité de la boîte. L’effronterie de ses yeux te fixe ; il ordonne à la standardiste d’intercepter toute communication sur son poste.

'' SIMONE, j’apprécie votre travail sur les dossiers - clair, concis, approfondi. J’ai quelques projets d’évolution quant à votre carrière. Vous le savez, l’attention portée aux clients est la clef de la croissance de notre cash-flow. Je pense développer un traitement plutôt… (Tu notes l’hésitation feinte) personnalisé. C’est là que vos qualités de… présentation interviennent. Marchez un peu, je vous prie. '' Prisant en mon for intérieur l’hypocrisie de ses insinuations, tu déambules d’une démarche chaloupée. Son oeil pétille lorsque la douce lumière de la vitre teintée souligne le galbe de mes jambes. '' Oui, je pense que vous ferez l’affaire. Si vous le permettez, je dois vérifier vos atouts ainsi que votre capacité d’adaptation aux aspirations (sic) de vos futurs aficionados. '' Tu le gratifies d’un sourire complice. Ses longues mains se plaquent sur la cambrure de tes lombaires. Avec un naturel confondant, il délivre ta poitrine généreuse du sous-tif à balconnets. Tu laisse tomber ta tenue sur l’épaisse moquette, fais glisser ta culotte mexicaine - tu choisis ta lingerie intime afin de ne point être prise au dépourvu lorsque survient une occase de baise. Hormis une chaînette dorée qui t’effleure les tétons, tu es nue sous son regard lubrique. A l’instar d’un animal domestique que l’on compte acquérir, il te palpe buste, croupe, cuisses. '' Bien. Vous avez le physique de l’emploi. Votre physionomie avenante, vos airs affranchis troubleront la… sérénité de la clientèle. Je me dois toutefois d’expertiser le rayon d’action de vos aptitudes. '' D’autorité, il te fait pivoter.

Ton fondement charnu apprécie la dureté de son épieu au travers du pantalon. Ta cramouille lubrifiée est fouaillée en tous sens. Sa voix de baryton ironise '' Capacité d’accueil optimale. Passons au test d’adresse buccale. Interdiction de profaner la moquette ! '' Retirant sa ceinture il t’entrave les poignets derrière le dos, pèse sur mes épaules, dégaine ses attributs. Tes genoux adoptent la soumission conforme à la manoeuvre sollicitée. En guise de hors d'oeuvre tes nichons moites de désir turlupinent longuement le pénis redressé. Tu te permets ce commentaire salé '' Pomper les dards est mon péché mignon. J’aime autant être aspergée de sperme qu’avaler la lie. '' Ta bouche avide tire suavement sur les poils de ses rognons. Tu lui mordilles la peau des grelots, les fragiles olives, les fins canaux séminaux - à la limite de la douleur. Les méthodiques aller-retour de tes lèvres sensuelles parcourent d’une feinte paresse un noeud boursouflé. Tu recouvres doucement le sommet du phallus. En une lenteur savamment maîtrisée, tes lestes babines coulissent le long de la hampe, couvrent et découvrent le gland écarlate ou suçotent l’étroite fente. Tu déploies l’éventail des variations de ton rythme de virtuose du pipeau. Tu verrouilles le bouquet final en calottant le prépuce, ton palais palpitant aux saccades nerveuses du sperme qui tente de s’évader. Les gémissements du patron rendent hommage à cette pipe d’anthologie '' T’es vraiment LA BELLE SALOPE que je pressentais. Tu suces mieux qu’une diablesse ! ! '' Tu consens enfin à relâcher ta perverse emprise. La consigne est respectée scrupuleusement : tu siphonnes en obscènes déglutitions chacun des vigoureux geysers projetés par cette queue vidée avec tant de maestria. Il te délie avant de caler son séant sur le fauteuil. '' Excellent oral, une fellation de toute beauté ! Passons à la deuxième épreuve, quoique ce mot me semble incorrect compte tenu de votre tempérament d’hétaïre. Pourriez-vous au préalable me donner un échantillon de vos talents manuels ? '' Son vocabulaire châtié forme un subtil contraste avec la crudité des sujétions sollicitées. Traduction simultanée par tes neurones de future call-girl : '' Branle-moi la biroute, que je sois en état de tirer ma crampe. ''

Tu ranimes la flamme de sa chandelle pendant qu’il te malaxe les nibards. Un quidam doté de remarquables capacités de récupération, quoique tes ardeurs en relativisent les mérites. Il t’installe sur ses genoux, marquant ses prérogatives de futur locataire par la poursuite de son insistant pelotage, te glisse sa ceinture autour des miches. Serrant de sa poigne le cuir épais, ce raffiné te meurtrit les nénés. '' Testons l’examen ultime de votre ouverture… d’esprit. Veuillez déposer vos formes voluptueuses sur le bureau. ''

Il admire l’atterrissage de tes airbags entravés sur l’incommode surface du meuble, l’ampleur de la béance de tes jambes étalant la fourrure du petit barbu, les ondulations prometteuses d’un arrière-train friand de pénétrations. Son calme olympien fléchit '' Prends ma grosse trique dans ton fion, Simone, MA GROSSE PUTASSE ! - Oui ! ! Truffe-moi le trou du cul ! '' Ce vicelard t’écartèle les fesses, propulse l'opulence de son braquemard dans un anus affamé de vit en furie. Tu comprends pourquoi il a fait insonoriser son bureau dès son arrivée, et ses longs apartés avec certaines stagiaires délurées. IL T'ENCULE A COUILLES RABATTUES, te dévaste de son interminable piston d’athlète ès sodomie, alterne selon ses inspirations lenteur sournoise et violence déchaînée, cramponne en cadence le soutien-gorge improvisé tel le licou d’une rétive jument.

Des gifles sonores te rappellent qui régit cette houleuse cavalcade. Tu remercies Aphrodite d’être de la sorte ravalée au rang d’instrument de sa créative libido, tunnel du rectum distendu par l’épaisseur de son gourdin. Tes cris étranglés par la douleur escortent l’accélération bestiale de ses saillies. Dans un souffle, il gicle à l’apogée de sa brutalité. Ultime bonus : ton gosier siphonne sa verge après qu’il l’ait dé caoutchoutée.

Sa maîtrise recouvrée, il met un terme à ce chaud entretien professionnel : '' Vous signerez demain votre nouveau contrat. Doublement de salaire compte tenu de vos performances - et des horaires de nuit que vous assumerez. Suppléments conséquents si prestations collectives. Rien n’interdit à vos conquêtes de vous gratifier de bonus en liquide, espèces ou cadeaux divers. Votre intelligence affûtée saura dissimuler au fisc ces juteux extra. A ce niveau de rémunération je puis me permettre de tester, selon mes lubies, la technicité de vos nouvelles attributions ou de vous livrer à certains de mes amis. Je ne tolérerai aucune réticence sur ce point ! La qualification de 'chargée de communication' ne devrait pas soulever d’objection de la part de l’inspection du travail…

- En effet, je doute qu’il existe une convention collective des PUTAINS D'ENTREPRISE. ''

Te rhabillant, tu remarques un discret bourdonnement issu du luxueux miroir, évidemment sans tain. Le premier clip de TES EXPLOITS DE CATIN SALARIEE vient d’être tourné. Tu pronostiques que de prochaines orgies s’inscriront sur nombre de cassettes. Un véritable maquereau masqué par une dégaine de gentleman, gérant à la perfection son entreprise comme la satisfaction de sa virilité, qui sait valoriser les compétences intimes de son personnel.

A sa '' décharge '' tu soupçonnes que les commères du bureau ont dû le renseigner à mots couverts sur TA VERITABLE NATURE DE SALOPE HORS PAIR, SI AVIDE DE … PAIRES !!!