Simone, je te choppe au bureau ! (1/2 )

Simone, MA SALOPE qui a tant le feu à la chatte, je t'offre un récit où je te baise au boulot : imagine que je suis depuis 10 jours dans ta boîte. Depuis mon arrivée, j'ai remarqué tes tenues d'allumeuse...

C'est la fin d'après-midi, je rentre dans ta pièce, étonné que tu sois encore là :

- Heu, pardon Madame, je croyais qu'il n'y avait personne. Je cherche le dossier '' Société Durand ''...

- Appelez-moi Simone, c'est plus sympa. Ne vous excusez pas, je reste parfois un peu tard. Je vais vous le chercher.

Tu te lèves, te penches vers un meuble bas. Ta jupe « ras la touffe » remonte en haut des cuisses. Tu farfouilles un long moment, ondulant suavement de ta croupe dodue. Tu te retournes, me tends le dossier. Je note ton regard brillant, ton souffle court qui meut ta poitrine opulente moulée par un étroit corsage. Tes yeux me fixent, descendent vers une bosse tend l'avant de mon futal. Je pose les documents sur un fauteuil, puis ma veste. Tu installes le bord de tes fesses sur le bureau. Mes prunelles lorgnent ton décolleté plongeant, la tension de tes tétons sous le tissu qui me laisse deviner l'absence de soutien-gorge... Je m'avance près de toi, ironisant :

- Simone, votre tenue souligne à ravir vos formes avantageuses...

- Ah bon ? Et cela vous dérange ?

Je pose une paume sur ta cuisse gauche, parcours le velours de ta chair, remonte, descends, remonte lentement... Tu écartes les cuissots, murmurant d'une voix de gorge :

- Mmmm ...

Ma main droite vadrouille de plus en plus haut, enveloppe ton mont de Vénus, le masse. Tu te cambres avec volupté.

- Simone, j'ai remarqué qu'en début d'après-midi vous sembliez porter des sous-vêtements. Alors que maintenant... Permettez que je vérifie...

Ma senestre dégrafe adroitement ton corsage, libérant tes nichons plantureux. Bien sûr je continue à te taquiner le con.

- ... et ... comme par hasard, maintenant vous ne portez ni culotte, ni sous-tif ! Je suis certain que vous êtes restée tard exprès !

En guise de réponse, tu m'ôtes la ceinture, me débraguettes. Ma bite en érection jaillit comme un ressort pendant que caleçon et futal glissent à mes chevilles dans un bruit mat de tissu. Mes doigts retroussent ta jupe, se cramponnent à ton gros cul de PUTAIN. Empoignant d'un geste possessif ma colonne charnelle, tu sifflotes d'admiration :

- Quelle belle queue vous avez là, Monsieur Michel. Bien dure, longue, épaisse !!!

Je me colle à toi, tu guides mon gland sur ton clito en mouille. D'un coup de rein impérial, fougueux, je te pénètre :

- Hein, t'en rêvais de cette BITASSE dans ta chatte de SALOPE !!!

- Oui, OUI, OUIIIIIIIII. Dès que je t'ai vu, j'ai su que tu j'écarterai les cuisses pour toi, SALOP !!

Je coulisse avec aisance dans un vagin juteux à souhait, d'avant en arrière, d'arrière en avant... Les boutons de ma chemise frottent tes miches que mes pectoraux écrasent. Je t'ai plaquée le dos sur le bureau, pesant sur ta plastique généreuse de tout mon buste ; tes jambes entourent mes reins...

- T'es restée exprès pour te faire tringler, SALE PUTE EN RUT !!

Je tape dans ta motte en fusion.

- OUIIIIII ! Encore, encore, ENCORE !

Recul, impact :

- C'est trop bon, JE SUIS TA CHIENNE !!!

Coups de gaule rapprochés, impulsifs :

- Quelle queue d'étalon ! Quel baiseur !!! OH ! AH !! O... OUI ! O....UI ! OUUUUUUUI !!

Plongeon, retrait, tringlage :

- BAISE-MOI PLUS FORT, MIIIIIIIIIIIIIIIIIIIICHEL !!!

J'accélère, écrasant ton corps de toute ma masse :

- Quel mâle ! Quel biteur !!

Je te ramone en un tempo chaotique, débridé :

- Pine ta PUTASSE ! Fais-la jouir à mort !

Je me tétanise, mon gland frétille avant de balancer la sauce, irriguant ta chagatte qui en palpite :

- OUAH ! SALOPE ! MAIS QUELLE SALOOOOOOPE !

- Je jouis ! Je... JOUIIIIIIIIIIS !

Je te prends par la nuque, redresse ton torse, guide ta face de PUTE vers ma biroute recouverte de mon foutre et ton jus de chatte :

- Nettoie moi la pine, GROSSE PUTE !

Ton regard énamouré plongé dans le vert de mes yeux, tu me lèches longuement la trique, avec servilité. J'ai balancé au sol ton chemisier pour agripper tes belles miches, les peloter, les masser.

- Allez, suce-donc ton mâle, POMPE A FOUTRE !

Tu clignes de l'oeil :

- Oui, mon chéri. Insulte moi, j'adore ça ! Je me sens encore plus SALOPE, au service de ta queue !!

... et tu engloutis mon dard tout poisseux. Ton gosier de PUTAINE s'active avec adresse, je durcis, durcis, durcis sous l'assaut voluptueux de tes babines, tractant avec vice tes nichons pour accroître l'amplitude de tes pipées. Lorsque je bande comme un bourriquot, j'interromps ta chaude turlutte :

- Allez Simone, suffit : mets toi à quatre pattes. Je vais te levretter comme une CHIENNE EN RUT.

Tu t'exécutes en silence, prenant au milieu de la pièce la pose docile du quadrupède. Je vire mon futal et mes groles pour être à l'aise, t'enlève la jupe, mate ta grasse nudité. Genoux au sol, je balade mon gland sur le bord de ton con sirupeux, complètement en mouille.

- Alors FUMELLE, trop envie de se faire BAISER par derrière !

- Oui.... OUIIIIIIIIIIII mon SALOP, bourre-moi le con !!

- Tu en jutes d'avance, PUTAIN !

- Oui. OUI !!! OUI !!!

- Cries le encore, SALOPE !

- BAISE TA SALOPE ! Tringle sa chagatte en feu !!!

- Tiens, prends-toi ça dans la touffe !

Magistral coup de rein :

- HAN, SALE PUTE !!

- OUI !! QUELLE BONNE BITE !!!

-TIENS,CHIENNASSE !

- AH, C'EST BON, C'EST BON, C'EST BON !