Simone, je te choppe au bureau ! (2)

Tu grognes, vagis. Je te composte l'oignon, te bouscule, te dévaste le clapier à pines.

Tout en te levrettant, je m'aperçois que la porte s'entrouvre ... Te besognant avec ardeur, je remarque un jeunot dans l'ouverture : c'est le coursier de la boîte, un paquet postal à la main. Je lui fais signe :

- Mais entrez donc... Je pense qu'on sera pas trop de deux pour s'occuper de cette FOUTUE SALOPE en chaleurs...

Je lui indique un siège :

- Asseyez-vous là et rapprochez-vous. Une bonne pipe pour commencer ?

A son sourire je vois qu'il apprécie l'invitation. Il bouge la chaise à roulette, s'y installe et délivre sa queue turgescente, fait gigoter une splendide érection sous tes naseaux. Tu cales tes coudes autour de ses cuisses, frottes des nichons contre son dard, lascivement, lentement. Ta dextre masse, malaxe ses couilles. Ton visage descend, tes lèvres embouchent le gland, l'emprisonnent dans un fourreau buccal qui coulisse de bas en haut, de haut en bas, de bas en haut. Je mets une capote, m'approche derrière toi, plante l'index dans ton anus, le fais tournoyer, joint le majeur, fouaillant cet orifice pour le dilater aux dimensions de ma bitasse, tout en poussant ton corps vers l'avant afin que tu pipes le gus en « gorge profonde ». Je t'écarte les cuisses, passe une jambe au-dessus de ta hanche droite, pose le genou gauche au sol, te branlant le derche de plus en plus fort.

- T'aime trop ça, COCHONNE !!!

Tu interromps ta turlutte :

- OUI ! OUIIIIIIIII ! CHOPPE-MOI COMME UNE PUTE, DEFONCE MON CUL !

Le coursier t'a redonné sa bite à pomper. Mes attributs virils sont positionnés au-dessus de ta croupe, j'incline ma bandaison de cheval en direction de ton troufignon, l'engonce dans le trou de balle, lentement, afin que la chair tendre de ce tunnel savoure la progression inexorable de chacun des 17 cm de mon bâton d'amour.

- Une femme qui a autant le cul en mouille que toi n'est qu'une SALOPE qui s'est souvent faite enculer...

Mon piston prend peu à peu de la vitesse, mais avec ampleur afin que mes coups de gaules soient en phase avec ta pipe, ni plus, ni moins vite. De toute façon, l'autre gus t'a bloqué la nuque, évitant ainsi que mes coups de boutoirs ne sortent sa pine de ton bec. Mon vit s'enfonce, recule, t'impacte, prend son élan, te bourre le fion, décule, plonge dans ton méat. Les accélérations effrénées de mes sodos t'incitent à piper de plus en plus vite, profond. Ma pinasse disparaît littéralement, jusqu'au burnes, dans tes sphincters, avant re reparaître au jour pour te défoncer sans pitié ni répit. Je ralentis juste pour que le mec t'éjacule dans le gosier, puis t'encule à nouveau avec violence, à burettes rabattues, jusqu'à jouir en tes tréfonds.

Je me repose la trique un moment, t'ayant pendant ce temps ordonné de branler le type pour qu'il soit en état de te baiser calée sur le fauteuil à roulettes, jambes relevées à l'équerre, avançant et reculant le siège pour te bourriner le clapier à bites. Une superbe baise à la rustre, puissante, bestiale qui te fait jouir dans ton statut de VIANDE A TRINGLER que tu assume à merveille. Mais il doit ensuite partir, à son grand regret, car il a pris du retard dans sa tournée...

Je regarde l'heure :

- Simone, t'as encore un petit moment à consacrer à ma queue, avant de rentrer ?

- Tu rigoles... Bien sûr !!

- Alors, tu vas prendre le temps de me sucer comme il le convient. Accroupie sur les talons, genoux écartés : exécution, SALOPE !!

- Avec plaisir, mon coeur !

J'admire l'obscénité affriolante de ta pose : la nudité de ton corps charnu, la béance de ta chatte juteuse exhibée par l'écart de tes genoux, la lourdeur de tes mamelles aux tétons qui bandent d'envies de ma trique, l'ourlet de tes lèvres de pipeuses. L'angle de mon vit est près de ton visage de PUTE EN RUT, tu t'en lèches les babines, mais ton instinct d'esclave du sexe te fait rester immobile, dans l'attente des instructions de ton maître. Je suis debout face à toi, émoustillé par ta position de soumission.

- Alors, elle te fait trop envie, ma belle queue, hein PUTASSE ?

- Oh oui, mon chéri... S'il te plaît.

- C'est quand je déciderai, compris ?

- Oui...

J'attrape tes cheveux pour bien dégager ton visage que je veux contempler à loisir durant ta prestation de PUTAINE.

- Oui qui ?

- Oui, Maître.

- T'es qu'une SALOPE, tu le sais ?

- Oui, une SALOPE DE PUTE, toute à vous...

- Suces moi les couilles alors, PUTAIN !!

Mains en appui sur mes cuisses, tu m'embouches les grelots, yeux clos, les fais disparaître, les massant des muscles de tes joues, les faisant rouler. Bruits de salive des plus salaces... Puis ta langue se darde, grimpe sur ma hampe, remonte, redescend le long de mes veines dilatées, une par une, léchouille le chibre. Avec une délicieuse lenteur tes lèvres me taquinent le gland déjà poisseux, l'enveloppent. Je te tire un peu la chevelure :

- Regarde moi dans les yeux, SALE PUTE, que je mate comment que ça te plaît de tailler ta pipe !

Tu plonges dans les prunelles de ton nouvel amant ton plus chaud regard de vicieuse. Joues creusées tu maintiens le plein contact de mon membre dans ta bouche, nuque tendue ; ton fourreau buccal coulisse sur ma bite selon un tempo qui épouse avec subtilité la moindre inflexion de mes expressions, la tension de mon corps arqué vers toi qui s'abandonne aux volutes de ta magnifique turlutte. Je gémis :

- Mmmm T'es vraiment bonne. Qu'est ce que t'aimes te manger une queue !!

Ces mots te poussent à me sucer avec encore plus de lubricité. Quel pied de te soumettre en une posture où je te domine... Je choppe ta crinière, pousse ton visage en avant, très fort, t'étouffant de toute l'ampleur de ma pinasse. Tu toussotes, mais j'insiste et tu te régales de cette position humiliante.

- Yes PUTASSE... Que c'est BOOOOOOON !

Esclave de mon dard impétueux, exigeant, tu es complètement en mouille.

- Salope... SALOPE !!! SAAAAAAAAALOPE !!

Je donne des coups de reins, forçant tes lèvres, faisant disparaître ma bite jusqu'aux couilles. Chacune de ces pénétrations orales te fait tousser mais tu me pompes, me pompes.

- Prends, sale PUTE !!

Coup de verge dans ton bec.

- Je te baise le gosier comme si c'était un vagin, PUTAIN en chaleurs !!

Je pousse, pousse.

- SALE PUTE !!

Encore quelques poussées.

- Tiens, POMPE A FOUTRE !!

Je recule, m'enfonce, ressort.

- Comme j'aime te baiser le museau, PUTASSE !!

J'accélère, ma pinasse virevolte entre tes babines. Ses impacts te font tressauter les mamelles. Je me cambre et balance mes giclées de sperme qui dégorgent au bord de tes lèvres. Puis je tends ma pine vers tes miches et finis d'y éjaculer en geysers puissants, chauds, poisseux. Je t'ordonne :

- Lèche mon foutre sur tes nichons, SALOPE ! Jusqu'à la dernière goutte !

Tu t'exécutes en portant tes miches maculées de semence à tes lippes. Je me rhabille, commentant notre (première) partie de jambes en l'air au bureau :

- Et bien, Simone, je pense que nous avons une raison supplémentaire d'être contents de venir bosser ici... Une SALOPE DE CHEZ SALOPE toujours à portée de ma queue : que demander de plus ?

- Un beau SALO à portée de chatte !!!

Voilà Simone, en espérant que ce récit a réussi – une fois de plus – à te faire désirer ma queue.

MICHEL