Simone joue la PUTE

Un petit récit de plus pour t'exciter, ma chatte en chaleur. Je suis certain que tu as souvent rêvé que tu faisais la PUTE...

Tu es un peu pompette après un dîner copieux chez des collègues. Cette exquise nuit de printemps t’incite à rentrer à pied. Ton trajet longe les berges du fleuve agrémentées d’une exubérante végétation, en lisière du quartier où la gent féminine monnaye ses charmes. Au loin, un jeune type correctement vêtu ralentissant devant les belles de nuit ne semble point trouver ''chaussure à son pied''. Tu décides d’improviser un jeu de rôle à ta manière, ayant en mémoire quelques précisions dont t’a affranchie un amant - amateur occasionnel de prostituées.

Tu prends une pose lascive, ajustes l’échancrure du fin corsage qui expose la naissance de tes globes opulents compressés par l’étroit sous tifs. A quelques mètres de toi le noctambule sort une cigarette, tâtonne dans tes poches, s’arrête devant moi. Il t’adresse la parole d’un ton intimidé '' Auriez-vous du feu, je vous prie ? '' Lorsqu’il saisit ton briquet, tu notes la présence d’une alliance. Le poisson, ma foi joli garçon, est ferré à tes appâts plantureux. '' Je m’appelle Simone. Un petit extra en compagnie D’UNE CHAUDE PUTE EXPERIMENTEE te tente ? Je suis un très bon coup… Tu peux me demander ce que ton épouse ne t’accorde pas, y compris le petit trou. - Tu bosses en appart ? - Habituellement, on accède à mes faveurs en bagnole. Piétons : option écolo. '' Tu désignes la rive voisine d’un mouvement du menton, bénissant mentalement la manie de stocker des condoms dans mon sac à main. '' Qu’est ce que tu proposes ? - La pipe 40 €. 50 € la saillie par-dessus, par-dessous ou par derrière. Je suce à cru ou tu m’encules, 100 €. Supplément de 10 € je me mets à poil... '' Décoincé, l'oeil égrillard, il passe commande : '' Combien la fellation sans préservatif suivie d’une sodomie ? - Monsieur est gourmand. 150 €. Tarif promotionnel… '' Il hésite '' 140 € et je me déloque gratos. Offre ultime. '' Conquis par ces arguments commerciaux, il sort les devises de la poche de sa veste. Les fourrés vous hébergent.

En un tournemain tu dévoiles la maturité de ton anatomie. Mamelons dardés, agenouillée sur ta veste, tu défais la ceinture, ouvres la braguette, baisses le caleçon maculé de quelques gouttes car il devait bander comme un âne depuis un petit moment. '' T’as une jolie bite, plus grosse que la moyenne, pas trop disproportionnée. Tu as de la chance j’ai décidé de finir mon service en beauté. Tu ne vas pas regretter ton pognon. Préfères-tu que j’avale ou me doucher les nichons ? - Gicler sur toi ! '' Sur ce cri du coeur tu décalottes le client, enfournes le mandrin. La voûte de ton palais effleure le gland, passes le relais à tes lèvres purpurines qui découvrent, recouvre la cime d’une trique congestionnée. Ton tempérament épicurien te pousse à interrompre la turlutte quelques secondes, ensuite à œuvrer de la langue. Tu lèches les couilles, la tige, la fente sommitale, dégustes la saveur de son suc. '' Quelle gourmande ! Qu’est ce que tu suces bien ! J’ADORE COMME TA BOUCHE DE PUTAIN ME BROUTE LA PINE ! ! QUELLE POMPE A FOUTRE ! ! '' Tes babines véloces besognent l’extrémité du noeud, accélèrent le tempo. Lorsqu’il est proche de la délivrance, tu garrottes d’un geste preste la biroute, la pointes vers tes miches qu'il asperge d’énergiques décharges de foutre. Signe prometteur, le braquemart siphonné par ta prestation reste tendu un moment.

Il s’agit maintenant de ranimer la flamme pour passer du stade oral au stade anal !! Décidée à faire appel aux stimuli visuels, tu alternes caresses et succions voluptueuses de tes poupes poisseuses, t’astiquant la chatte, le fixant de ton regard de SALOPE EFFRONTEE. Une active séance de travaux manuels fignole les préparatifs : le drapeau n’est plus en berne... Tu positionnes le latex. '' Tu me sembles bien rétabli. Fourre-moi cette pine bien raide dans le cul ! '' Tu te retournes, prends appui sur un tronc d’arbre, jambes écartées, tortilles du popotin. Son gland te frotte le pourtour de l’anus, vagabonde sournoisement. Attisé par cette pratique vraisemblablement prohibée par sa meuf, il s’infiltre doucement une fois, deux fois, trois fois. Maintenant sûr de son fait, il se cramponne à tes hanches, te sabre le fion d’une secousse appuyée de sa gaule, s’abandonnant à une arythmie convulsive. Chacun le sait, lors d’une sodomie le mâle bien-être est accru non seulement par l’exquise domination d’une femelle mais également grâce à un simple phénomène physique : la queue est davantage serrée par les parois du rectum que lors des pénétrations vaginales, d’où l’intensité des sensations.

Quant à toi, tu raffoles d’être soumise à cette rude besogne. Tu extériorises donc cet état de fait '' Que c’est bon ! Prends ton pied. DEFONCE BIEN A FOND CETTE SALE PUTE ! '' Haletant, il te tronche le trou de balle un long moment, ta précédente vidange de ses burettes tendant à en différer l’issue. Tes luxuriantes mamelles se trémoussent à chaque coup de butoir. Voulant optimiser euro pour euro du prix de la passe il se déchaîne au-delà du possible et après une jouissance tapageuse t'encule tant qu’il peut bander.

Nue pendant qu’il se rhabille tu résumes la situation '' Aucune comparaison avec bobonne, n’est il pas ? En espérant te conduire à nouveau au 7ème ciel… '' Restée seule tu savoures la brise tiède dont les frôlements complices sèchent le sperme étalé sur tes seins, te branlant nonchalamment le con. La tenue d’Eve abandonnée tu t’éclipses discrètement, espérant que tes ''consoeurs'' n’ont pas remarqué cette concurrence des plus déloyales. Te faire passer pour une tapineuse provoque un rire intérieur particulièrement jubilatoire.

Tu n’as jamais renouvelé l’expérience, ayant trop conscience du risque de tabassage en règle par les catins ou leurs macs. Et puis ce métier injustement décrié te pose problème : même si je tu te complais dans le statut d’objet sexuel, tu veux préserver la possibilité de sélectionner tes partenaires de bacchanales et surtout ne pas refiler d'oseille à un proxo !!