Séance de hard au cinéma (1)

MA BELLE SALOPE de SIMONE, chose promise, chose due : un chaud fantasme pour te lubrifier la chatte, pensant à ma verge déployée qui ne rêve que de s'offrir à toi :

Je t'ai donné rendez-vous en centre ville. Avant de te conduire dans une ruelle peu fréquentée, je te bande les yeux puis mes doigts enlacent les tiens pour te guider. Je paye l'entrée en un lieu que tu n'identifies pas. Nous suivons un couloir, grimpons quatre marches, entrons dans une vaste pièce résonnant d'halètements, glissons dans une étroite rangée. Tu t'assieds à tâtons sur un fauteuil, j'ôte ton bandeau : sur un écran une rouquine aux lolos siliconés se fait besogner en double pénétration...

Tu es dans une salle de cinéma porno,au dernier rang, unique représentante de la gent féminine !! La sono résonne des cris jouissifs de l'actrice et des insultes crues de ses étalons... Nous sommes au dernier rang, tu es à ma droite juste à côté d'un barbu qui se caresse la verge sous le pantalon. Sans te demander la permission, je relève ta jupette, exhibant ta chatte rasée. Prunelles étincelantes de désirs aux reflets du projecteur, tu déglutis, murmures d'un ton jouissif :

- Mmmm Michel mon SALOP, quel beau cadeau : je ne rêve que de me faire baiser en public !

Effectivement : ma paume constate que tu mouilles d'abondance, tes cuisses charnues compriment ma main, ton bas-ventre ne peut se retenir d'avancer, reculer, avancer... Je te mordille le lobe de l'oreille, mon bras droit met à la vue de tous tes énormes nichons dont les mamelons triquent déjà :

- Allez, ma chérie, montre à tous ces mecs que tu as le feu à la chagatte ...

Je vire ton haut, défais les agrafes de ta jupe. Tu es complètement à poil, sept types (moi inclus) sont présents : la partouze dont tu seras le point convergent est imminente !! D'un zip de sa braguette le type d'à côté délivre sa queue qu'il pointe vers toi. D'une poussée je ploie ton torse, place tes lèvres de PIPEUSE tout contre un chibre suintant de sperme. De la pine il force l'entonnoir si hospitalier de ton fourreau buccal. Peu discret, je t'interpelle :

- SIMONE, TAILLE MA PIPE, SAAAAAALOPE !!

Tu es émoustillée des racines des cheveux à la plante des pieds, car nous savons tous deux que tu n'attends que d'être offerte par ton amant à tous ces mâles en rut. Ton gosier décrit les arabesques d'une de ces fabuleuses turluttes dont tu as le secret. Je pelote ta croupe, mon majeur investit ta cramouille, je te place en la position adéquate, baisse le futal, d'une impulsion visse ma bite à ton con. Queutée en levrette, bec gorgé d'une biroute, tes miches de rêve frottent l'accoudoir du fauteuil. Entre temps tous les gus se sont levés et s'alignent derrière la rangée de dossiers. Dès que le foutre fuse dans tes babines, j'accélère mes coups de boutoirs, ramone copieusement ta cramouille en fusion, ressorts mon noeud frémissant et l'étrangle pour éjaculer sur ton cul de PUTAINE EN RUT.

Pendant que le barbu récupère de ses émotions, les cinq autres gonzes ont déjà la bistouquette en main. Je te fais passer par dessus la rangée, t'ordonne de t'agenouiller puis te rejoins, extirpant de ma veste des boîtes de capotes que je vide sur le sol. Deux gus attrapent ta nuque afin que tu les biberonnes en alternance. Trois autres commencent à s'astiquer le manche autour de toi. Joues contactées tellement tu pipes à babines déployées, tes lèvres pulpeuses coulissent avec vélocité. De salaces commentaires tintent à tes oreilles :

- Quelle NYMPHO EN CHALEUR !

- Du matos de rêve : vise-moi ces mamelles ! Et ce cul magnifique !!!

- OUAH ! Elle s'est fourré deux bites à la fois dans la gueule !

- Bon sang, je regrette pas d'être venu !

- Tu peux le dire : CETTE CHAUDASSE aime vraiment se manger de la queue !

L'une des pines que tu pompes gicle, tu en sirotes les geysers, provoquant moult sifflements admiratifs :

- OUAH ! ELLE PIPE CHAUD, TRES CHAUD !!!

- LA SALOPE, MAIS LA SALOPE ! En prime elle avale le sperme ! !

- QUELLE POMPE A FOUTRE !!

- Une bonne VIDEUSE DE COUILLES qui n'en laisse pas une goutte !

Ta purge buccale de la deuxième paire de burnes confirme ces compliments... Les poignets de tes nouveaux fans activent leur noria digitale :

- C'est vraiment une PUTASSE de premier choix !

- ... Et gratos !

- Elle est trop cette POUFFE EN RUT !

- Mmm je sens que je viens... AH, OUIIIIIIIII !

Effectivement, une bite éjacule contre tes miches ; stimulé à la vue de ce spectacle libidineux, un autre dard souille ta face de FUMELLE ; l'ultime larron pilote ses jets en direction de ton fion. Ton épiderme dégouline de coulées de sauce blanche. Bon prince, je tends un condom à un chauve qui me semble un peu timide :

- Mon gars, te gêne pas : MA MAÎTRESSE ADORE JOUIR PAR LE CUL ! Je te la doigte pendant que tu t'équipes.

Je te place à quatre pattes, branle copieusement ton derche. Mon invité y enfonce le vit, visiblement épaté que ta mouille rectale facilite à ce point son effraction ! Balançant des hanches il te sodomise tout son saoul à burettes rabattues. Tes meules tressautent sous ses coups de boutoir. Un gonze profite de l'occase pour se faire pomper le noeud. Maintenant tes étalons sont complètement à poil.

- CHIENNASSE, choppe moi ça dans le derche !

- Veinard, encule la bien profond !

- Et fais vite, que je lui explose l'anus moi aussi !

Bousculée, rectum taraudé, ton corps est manié tel celui d'une CATIN BON MARCHE, au point que le pipé est dans l'obligation de te tirer les cheveux pour conserver le contact de ta turlutte. Chacun admire ainsi le tempo régulier, mécanique de la queue qui te ramone, l'avidité de ton pompe-pinette. Le sodomite accélère ses coups de gaule impitoyables, soufflant comme une locomotive, puis décharge sa cargaison. Tu as juste le temps de conclure ta fellation avant de te faire bourriner le troufignon deux fois, douchée par le foutre qui gicle des dards qui t'encerclent - y compris le mien... Je te fais ensuite masturber deux types à la fois tout en t'ordonnant de baiser à la bouche un troisième larron, pendant que je te plante le pouce gauche dans le trou de balle et dilate ton con sirupeux du majeur et de l'index droit. Dès que la bite que tu sirotes s'est délestée dans ton gosier D'AVALEUSE DE FOUTRE, tu t'amuses à tenter de gober les giclées qui jaillissent des braquemards que tu viens de branler.

Je t'assieds à l'envers sur moi, fesses suintant de jus de mec sur mon ventre, cuisses enveloppant mes flancs, t'empalant gaillardement de mon mandrin, mains portées à tes mamelles. Quel panard d'enfer de te sentir vibrer sur mon corps, pine engoncée jusqu'aux burettes, tellement fier de saillir en public le paf de MA SALOPE D'AMOUR !! Ta fourette à peine irriguée par mes geysers abondants je te plaque au sol pour te livrer à la meute, distribuant les capotes aux moments opportuns. Les triques se succèdent entre tes cuisses béantes, sans la moindre pause, clapotent dans la dilatation de ta chagatte gorgée de mouille. Le projectionniste nous a rejoint pour faire le huitième. Tes talents de BAISEUSE HARD font l'unanimité :

- Quel super coup, cette FUMELLE EN RUT !

- Han ! Han ! Choppe moi ça dans la touffe !

- ELLE S'EN PREND PLEIN LA CHATTE !!

- Dépêche toi, c'est mon tour de la tringler !

- OOOOOOOOH, je glisse comme du beurre tellement elle jute du con !!

- QU'EST CE QU'ON LUI MET A LA SALOPE !

- Ça, c'est de la GRASSE PUTASSE EN CHALEUR !!!