Simone et Virginie (1)

Simone et Virginie (1)

Simone est tranquillement chez elle à vaquer à des occupations diverses. Comme elle es seule elle déambule en tenue légère. Un débardeur à fines bretelles sans rien dessous laissant sa poitrine libre sous le tissu et bougeant au rythme de ses mouvements sensuels. On devine où sont ses tétons puisqu’ils font une petite bosse sur le tissu au milieu de chaque nichon. Et comme c’est le plein été elle a mis un short très moulant entrant bien dans sa raie des fesses et frotte bien les lèvres de sa chatte en marchant. Au moment où elle passe dans le salon son téléphone sonne, tu décroches.

« Allo ? »

« Salut Simone c’est Virginie ! »

« Ha salut virginie comment vas-tu ? »

« Je vais bien et toi ? »

« Ben écoute ! Je vais bien aussi ! Je fais un peu de ménage avant d’aller profiter du beau soleil dehors. Et toi que fais tu de beau ? »

« Moi je peaufine mon bronzage sur ma terrasse, tranquille. Comme je viens de faire une coupe d’été à ma petite chatte faut que je raccorde le bronzage tu vois ! » Dit virginie en riant

« Je vois très bien ! » dis tu avec un grand sourire «  fais gaffe ! T’es en appartement toi tu vas te faire mater par un voisin ! » Ajoutes tu en riant

« Écoute ! Tu ne crois pas si bien dire ! Je vois un mec en face en haut qui n’en perd pas une miette ! »

« Tu déconnes ! »

« Non pas du tout ! Il regarde bien vers moi ! Et je peux te dire que ça m’émoustille même ! »

« T’es une belle coquine quand même »

« J’avoue ! Je crois que je vais passer en mode chienne en chaleur là ! J’ai la chatte qui mouille et les tétons durs. Je vais me caresser pendant que je te parle, ça ne t’embête pas ? »

« Mais pas du tout ma chérie ! Mais tu vas m’exciter si tu te branles comme ça ! »

« Ho je suis désolée ! Pour me faire pardonner j’ai un truc à te proposer. »

« Ha bon ! Vas y je t’écoute ! »

« Bon ben voila ! J’ai rencontré un mec qui me propose de passer deux jours sur son voilier ce week-end. »

« Ha oui ? Super ! »

« Oui hein ! Mais je me demandais si tu ne voudrais pas venir avec moi ? Il m’a dit que je pouvais inviter une copine si je voulais. »

« Eh ben ! C’est cool tout ça »

« Oui ça te dirait ? Par contre je te cache pas que j’ai l’intention de me le faire pendant le week-end, je voudrais pas que tu t’embêtes ou que ça te gène de nous entendre quand il me baisera »

« Pas de problèmes pour moi t’inquiète pas ! La perspective d’une balade en bateau plutôt qu’un week-end seule me fait plaisir. C’est gentil d’avoir pensé à moi. » Dis tu

« Ben t’es ma meilleure copine et comme on parle de tout toutes les deux je pensais que ça le ferait. Tu prendras des boules quiès alors ! » Dit virginie en riant.

« Tu plaisantes ! Je vais plutôt prendre un gode ou deux et je penses que je me branlerai en t’écoutant gémir quand tu te feras tringler ! Et je parie que le fait de savoir que je t’entends vas t’exciter encore plus »

« Hum ! Ça c’est sur ! T’es vraiment une copine toi ! On va bien s’amuser »

« Je pense que oui ! »

« Bon je passe te chercher demain matin 8h00 ! Ne sois pas en retard ! »

« Alors ça tu peux être sure que je serai à l’heure ! »

« Bon ok ! Allez à demain ! Bon je vais finir de me branler devant mon mateur, suis trop excitée là, il se branle on dirait ! Hum je mouille tu verrais ça ! Vais lui faire cracher la purée vite fait ! Allez bisous ! »

« Je suis sur que ça va aller vite ! Bisous à demain ! Et jouis bien petite cochonne ! »

Tu raccroches et en soupirant tu remarques des signes d’excitation sur ton corps. Le bout de tes nichons marquent plus le tissus tellement ils sont tendus. Tu ne résistes pas à pincer tes tétons en fermant les yeux, tu les fais rouler entre tes doigts. « Elle m’a excité cette cochonne de virginie ! Hum » elle l’imagine à poil sur sa chaise longue les cuisses écartées et ses doigts qui entrent et sortent de sa chatte trempée pendant que son autre main  masse ses nichons aux pointes dures. Au moment où elle ouvre les yeux elle se rend compte qu’elle est dans la même position que celle qu’elle imaginait pour virginie. A part le fait qu’elle est encore habillée, elle masse un de ses nichons qu’elle a sorti de ton débardeur et on autre main frotte ta chatte à travers le tissu du short bien tendu contre ta moule. Tu sens très bien que tu as mouillé le short ton bassin ondule sous les caresses sur ta chatte. Tu dégrafe le bouton de ton short, baisse la fermeture éclair et ôtes fébrilement ton short en te tortillant. Pour ton débardeur, tu préfères sortir tes nichons par le décolleté, une fois tes seins à l’air tu pinces fort les bouts en passant ta langue sur tes lèvres. Tu te cambres sous la caresse et une main descend vers ton entre jambe en passant entre tes nichons et caressant ton ventre frémissant de désir. Quand ta main touche le haut de ta chatte tu te tétanises et un doigt passe entre les lèvres et se pose sur ton clito érigé. Tu halètes en massant ton bouton qui te fait gémir d’envie, tu sens ta chatte dégouliner, tu passes deux doigts dans ta fente, les ressors trempés, tu les portes à ta bouche pour les sucer avec avidité. Tu aimes le goût de ton jus de moule et c’est seulement une fois les doigts nettoyés que tu les replonges dans ton chaudron brûlant. Puis tu les sors encore une fois, tu mouilles tellement qu’un fil les rattache à ta chatte un moment, cette fois tu frottes un téton avec tes doigts trempés. Ton téton qui semble se tendre et durcir encore devient luisant de ta mouille et tes doigts glissent dessus. Tu retournes dans ta chatte recueillir un peu de nectar, le bruit de tes doigts allant et venant dans ta moule en dit long sur ton état. Tu viens mouiller ton autre téton et tu finis de nettoyer tes doigts en les suçant bruyamment avec gourmandise en gémissant.

« Hum ! Bon c’est bien bon la mise en bouche mais là il me faut quelque chose de plus consistant » te dis tu

Tu te lèves et tu marches jusqu’à ta chambre en tortillant ton cul, tu sens ta chatte dégouliner sur tes cuisses.

Tu fouilles dans un tiroir et tu en sors un gode avec ventouse. Tu tournes sur toi-même en réfléchissant ou tu vas le coller. Machinalement tu le portes à ta bouche et entame une pipe magistrale à cette bite, certes en caoutchouc, mais qui est toujours prête à te faire jouir bien comme il faut. Il te vient une idée. Tu vas dans ton couloir, et tu décroches le miroir rectangulaire qui s’y trouve. Tu l’emportes dans ta cuisine et tu le poses sur deux chaises que tu mets face à face. Tu colles le gode bien au milieu et enjambe le tout. Les cuisses écartées tu approches ta chatte du gland et tu frottes les lèvres de ta moule dessus en regardant dans le miroir ta chatte sans poils dont les lèvres entrouvertes vont et viennent sur l’appendice dur prêt à écarteler tes chairs et te pénétrer bien profond. Les coudes appuyés sur le dossier d’une chaise tu mate ta chatte qui au fur et a mesure que tu fais aller et venir le gland le long de tes lèvres te fait intensément mouiller et lubrifie l’engin. Au bout de quelques aller et retours tu te positionnes pour que le gland soit pile sur ton clito turgescent et gonflé de désir. Par de petits mouvements de bassin tu te fais caresser le bouton par le bout du membre. Tu mouilles fort et tes jus coulent sur le chibre tendu, tu te lèches les lèvres en gémissant d’envie, tu sens ton ventre se contracter d’envie et tu as besoin de toute ta volonté pour résister à t’empaler d’un coup dessus. Tu sens le plaisir monter en toi mais tu n’as pas envie de jouir avec ton clito, tu as envie de te sentir remplie par une bonne grosse bite bien dure, de te faire ramoner la chatte bien profond par ce membre qui ne demande que ça. Tu glisses en avant et le gland pointe fièrement à l’entrée de ta grotte trempée, tu laisses ce bout s’enfoncer lentement en toi, écartant tes chairs. Tu te tétanises en poussant un long gémissement au moment ou le gland pénètre entièrement en toi et que tu sens tes lèvres serrer la tige du chibre. Puis tu remontes et la sensation du gland écartant tes lèvres pour sortir te procure un spasme qui se propage à tout ton être. Toujours appuyée sur le haut de la chaise, bouche grande ouverte en haletant tu regarde le gland entrer de nouveau dans ta chatte trempée de tes jus, cette vision provoque une excitation supplémentaire, décidément tu adores ce moment ou ta chatte se fait prendre par une bite aussi dure que tendue, qu’elle fait son passage entre tes chairs en écartant tes lèvres sensibles. « Hum » gémis tu. Tu as tellement bien lubrifié le gland qu’il glisse avec une grande facilité dans ta moule baveuse dont le jus dégouline sur la longueur du chibre. Les sensations irradient de ta chatte brûlante et trempée jusque dans tout ton corps agités de spasmes à intervalles réguliers. Doucement tu t’empales sur le pieu tendu le faisant entrer de plus en plus profondément, bouche ouverte tu respire fort gémissant entre deux respirations les yeux rives sur le miroir ou tu regardes disparaître le gode dans ta chatte. La chaleur de ta chatte se propage dans tout ton corps et même le petit débardeur te donne chaud, tu l’ôte rapidement, tu vois dans le miroir le reflet de ta chatte qui monte et descend sur le chibre qui te ramone bien profond, tes nichons dansent dans le reflet au rythme de tes mouvements de bassin. Tu empoignes tes nichons pour les malaxer vigoureusement, tirer sur les tétons durs, érigés, tu te cambres et t’assied sur le gode qui t’empale jusqu’au plus profond de ton être. Tu sens un moment le froid du miroir sur tes fesses, mais ton cul aussi ardent que le reste de ton corps le réchauffe rapidement. Ton bassin ondule en veillant à rester bien enfoncée sur ce bâton de joie qui procure à ton être des sensations de plaisir en vagues de plus en plus rapprochées. Tu regardes ta chatte et ne vois plus que la ventouse qui dépasse de ta moule, tu remarques que tu mouilles tellement que ça dégouline sur le miroir. Inconsciemment tu reprends tes montées et descente sur cette tige qui te fouille au plus profond avec une force et une puissance jouissive. Tu te fais ramoner la cramouille comme une morte de faim, cette bite te taraude la chatte avec grand train te faisant mouiller comme une fontaine, tu répands tes jus sur ce chibre qui va te faire jouir. Tu aimes ce moment quand la chienne qui sommeille en toi se réveille et se laisse aller aux plaisirs de la luxure quand tout ton être vibre sous la vague de l’orgasme qui t’envahit sans prévenir. Tu te cambres te tétanises, les spasmes de la jouissance agitent ton corps, tu as lâché tes nichons qui bougent sous chaque coup de rein qui propulse le chibre au tréfonds de ta chatte. la tête complètement en arrière, la bouche grande ouverte tu gémis sous les vagues du plaisir. Les spasmes de l’orgasme se font plus distants et moins intenses, tu reprends ton souffle et reviens à la réalité petit à petit. Avec un grand sourire tu te dis que c’était encore un bon orgasme et tu es contente de ton idée du miroir. Ce n’est pas souvent que tu regardes ta chatte se faire écarter par un bon gros chibre qui te fouille les entrailles. Tu remontes le long de la bite qui viens de te faire jouir, le bruit que fait le gode en sortant de ta chatte en dis long sur comment tu as mouillé. De plus les traces que ton plaisir a déposées sur le miroir sont sans équivoque. Tu t’agenouilles à coté du miroir car tes jambes flageolent encore un peu des restes de ton orgasme « hum j’ai pris un putain de pied moi » penses tu pendant que ton index se promène dans les traces de tes jus de chatte sur le miroir. Tu regardes le résultat de tes exploits, le gode est encore plein de ta mouille qui coule lentement, tu suce le doigt que tu as trempé tans tes jus sur le miroir. Tu te penches en avant et tu essuies le chibre en le prenant entre tes nichons en branlette espagnole. Il est tellement mouillé qu’il coulisse facilement entre tes seins, une fois tout propre tu le lâches et tu étales sur tes nichons ce que tu as glané entre tes seins constatant au passage combien tes tétons sont encore tendus. Puis tu empoignes le chibre et tu le décolles du miroir laissant apparaître la trace ou il était collé au milieu de tes jus de chatte que ton orgasme a répandu sur le miroir. L’odeur suave de ta mouille monte à tes narines et tu ne résistes pas à lécher le miroir en te délectant du ce nectar fruit de ton plaisir. Tu te dis que ça fait un bon moment que tu n’as pas avalé une bonne rasade de foutre bien chaud, et que même si le jus de ta chatte est délicieux, il est bien de varier les goûts. Tu te lèves et prend dans ta cuisine de quoi nettoyer le miroir, tu sens très bien en marchant à poil les derniers restes de ton orgasme sur le haut de tes cuisses. Une fois le miroir propre et remis à sa place dans le couloir, tu vas dans ta salle de bain et tu te mets sous le jet chaud de la douche. L’eau qui coule sur ton corps en mille caresses te délasse et tes mains caressent plus qu’elles ne frottent ta peau douce. Un frisson te parcourt quand tu passes ta main entre tes cuisses pour nettoyer les derniers  restes de ton plaisir. Tu pinces ta lèvre quand tes doigts écartent légèrement les lèvres de ton sexe pour le laver. Tu entres tes doigts plus loin dans ta moule toujours chaude et humide. Ce petit geste te fait fermer les yeux et laisse ton esprit divaguer. Tu t’imagines sous cette douche face au mur les mains appuyées contre la faïence, l’eau coule sur ta tête et sur tout ton corps. Il te semble sentir une présence derrière toi mais tu ne te retournes pas. Tu sens deux mains se poser sur tes hanches, tu réagis à ce contact en te cambrant intensément, ton cul entre en contact avec quelque chose de long et dur qui se place juste contre la raie de tes fesses. Le contact de ce membre te fait frissonner, tu fais descendre tes mains le long du mur te faisant te pencher un peu plus. Tes fesses reculent et viennent se presser plus fort contre le membre qui entre un peu plus entre tes fesses le long de ta raie. Tu sens sur ta peau les veines et les contour du gland de ce chibre que tu imagines déjà en train de te ramoner la chatte et même pourquoi pas le fion. Cette idée te fait frémir d’envie et tu en mouilles d’avance en même temps que tes tétons grandissent et deviennent durs. Tu sens les mains puissantes caresser ton ventre et remonter vers tes nichons qui pendent les bouts fièrement érigés. Tu rejettes ta tête en arrière au moment ou les mains empoignent tes nichons et les malaxent. L’eau de la douche coule sur ton dos elle passe sur tes flancs et coule sur les mains avant de finir en cascade. Une autre cascade d’eau coule entre tes cuisses pour moitié l’eau fais le tour de ton bassin, et coule sur ton pubis lisse avant de couler sur tes cuisses et même ruisseler de ta chatte. Pour l’autre moitié elle passe être tes fesses, dans le tuyau que forme ta raie et la bite qui écarte tes fesses passant sur ton fion, ton périnée et rejoignant l’eau de ton pubis dans la cascade de ta chatte. Tu halètes sous les sensations, ton ventre se contracte d’envie de sentir cette bite te prendre et te fourrer jusqu’à la garde, sentir son bassin cogner contre ton cul quand je chibre t’empale bien à fond. Passer ta main entre tes cuisses pour prendre ses couilles, les malaxer, les sentir bien pleines de foutre chaud, ce foutre qui te fais hésiter devant l’embarras du choix ou tu aimerais le recevoir. Dans la bouche pour l’avaler goulûment après lui avoir montré comment tu jouais avec en faisant tourner ta langue, sur ton visage comme une cochonne, sur tes nichons pour les étaler ensuite partout et monter fièrement tes tétons tendus et durs luisants de sperme et finir en léchant tes doigts, écarter ta raie et le faire juter dessus pour le sentir couler le long de la raie, passer sur ton fion , ta chatte et le laisser couler en de longs fils ou le prendre dans la main et en longs fils aussi le faire couler dans ta bouche, ou dans un verre et le faire tourner avant de le boire avec un regard bien salope avide de foutre. Tu sors brusquement de tes rêves en entendant « driiiiiing ! »

La sonnette de ta porte.

 « Mince ! Qui cela peut bien être ? »

Tu attrapes rapidement une serviette et la noue autour de tes cheveux pour que ça ne coule pas partout, puis en sortant de la douche une autre serviette en main, tu veux la rouler autour de ta poitrine. Mais tu t’aperçois que la serviette que tu as prise est petite et qu’elle ne cachera pas ta chatte.

« Driiiiing ! »

« Oui voila  voilà ! »

Tu finis de la nouer autour de ta taille, laissant ta poitrine découverte.

Tu regardes par le judas de ta porte et tu vois un homme en salopette de travail. Tu te mords la lèvre en pensant « il tombe à pic celui là ! » penses tu.

Tu ouvres en grand la porte avec un éclatant sourire. Il te regarde éberlué bouche bée……..

A suivre………