Simone et Virginie (2)

Simone et Virginie (2) 

… L’homme qui est sur ton pas de porte est comme tétanisé de te voir en si petite tenue il a du  mal de regarder autre chose que tes nichons. Tu le réveilles en lui disant :

« Bonjour ! Vous désirez ? »

« Heu b b bonjour madame, je suis p p p plombier et je répare une fuite chez votre voisin du haut. Je voulais juste m’assurer qu’il n’y a pas d’infiltration d’eau chez vous. »

« Je ne crois pas, mais si vous voulez vérifier par vous-même entrez, rien ne vaut un regard d’expert. »

Il entre en te regardant, tu le sens excité à la vue de tes nichons il a l’air d’avoir chaud. Tu refermes la porte derrière lui. Tu te mets en face de lui et lui dit :

« Maintenant que vous le dites il se peut qu’il y ait des traces humides dans quelque recoins… » Et avec un sourire très coquin « je dois vérifier que vous avez ce qu’il faut pour les trouver »

Il te regarde les yeux grands ouverts et ouvre la bouche quand tu lui dégrafes les bretelles de sa salopette qui tombe lourdement à ses pieds. Tu t’agenouilles devant lui, et caresses ses cuisses, tes caresses ont un effet immédiat sur lui, et tu remarques vite que la bosse dans son slip grandit. Tu caresses son slip chacune de tes mains partant d’un coté pour se rejoindre dur le membre tendu qui déforme le sous-vêtement.

« Hum ! Vous êtes bien outillé apparemment ! »

Tu caresses sa queue à travers le tissu du slip, tu la sens dure à souhaits et agitée de soubresauts de désir. Puis tes mains passent sous le slip en passant par le haut de chaque cuisse. Tes mains partent à la recherche du pieu toujours caché dans le slip mais dont la taille se devine aisément. Pendant qu’une main trouve la tige et la caresse, l’autre passe entre ses cuisses et caresses ses couilles.

« Hum ! Ça a l’air d’un bel outil ça ! » Tu passes ta langue sur ta lèvres supérieure en le regardant. Tu lui fais tes yeux de salope en chaleur, sachant bien que aucun homme ne résiste quand tu le regardes comme ça et celui là ne fera pas exception. « Tu vas te régaler Simone » penses tu

« Tu veux bien que je te la suce un peu ? Hum ! Elle doit être bonne ta queue ! »

Dans ses yeux tu vois bien qu’il ne revient pas de ce qui lui arrive, et il n’arrive qu’a faire oui de la tête. Tu lui fais un grand sourire et sors tes mains de son slip. Tu tires sur le tissu, le slip descend mais la bite tendue le retient jusqu’à ce qu’elle sorte d’un coup comme un clown de sa boite. Elle se tient bien droite juste en face de ton visage l’afflux de sang la fait tressauter ce qui montre le taux d’excitation du bonhomme. La vue de cette grosse fraise te fait loucher et tu passes une langue gourmande sur tes lèvres en approchant ta bouche. En le regardant dans les yeux tu donnes un lent coup de langue sur le frein jusqu’au bout du gland gonflé. Tu joues de la pointe de la langue sur le bout du gland, puis tu approches la bouche tu y poses tes lèvres. Puis tu enfonces le gland en le serrant entre tes lèvres qui se serrent sur la tige juste derrière sa grosse fraise. Tout en ne quittant pas ses yeux, tu gémis de quelques « hum ! » qui ont un effet palpable sur son excitation et la tienne au passage. Ta langue explore le gland sous toutes ses coutures, dessus, sur les cotés, sur le frein, en salivant elle glisse sur la fraise. Puis tu entames un va et vient le long de sa bite en veillant à ce que le gland ne sorte pas de ta bouche gourmande et experte. Tout en lui suçant le poireau, tu caresses ses cuisses, les mains remontent et tu lui tâte les couilles avec un « hum ! » admiratif. Tu malaxes en douceur chaque boule alors que ta bouche s’enfonce sur le pieu au maximum. Ton nez vient se ficher dans ses poils et tu restes ainsi un petit moment en bougeant la tête, ta langue caressant les veines de sa tige que tu sens gonfler encore. Puis tu lâches sa queue d’un coup et bouche ouverte tu respires bruyamment comme si tu cherchais ton souffle. Tu en profites pour le branler d’une main en jouant du pouce sur le gland quand ta main arrive au bout. Ton autre main a pris un de tes nichons que tu masses vigoureusement en tirant sur le téton.

« Hum ! Quelle belle bite tu as mon chéri ! J’adore sucer des chibres bien raides comme le tien hum ! »

« Hum elle est bonne ta queue tu sais ! »

« Hum ! Ça me rend toute chaude de te bouffer le poireau comme ça ! »

Tout en continuant de lui astiquer le manche, tu te penches et tu entames un léchage de couilles d’anthologie. Ta langue danse sur les bourses bien pleines, tu les gobes une a une puis fais semblant de t’étouffer en les mettant les deux dans ta bouche.

« Hum et tes couilles sont grosses, bien pleines de foutre chaud ! Hum ! Vais te les vider moi tes couilles mon chéri, tu vas m’en mettre partout  sur ta Simone du foutre hein ! »

«  Je sens que j’ai la fontaine qui coule ! Tu vas me mettre ton outil pour trouver la fuite hein ! Tu vas me sonder bien à fond ! »

Tu te lèves et tu l’entraînes à ta suite en le tenant par la bite, de ton autre main tu fais voler la serviette qui t’entourait les reins. Tu t’allonges sur le ventre sur ta table de salle à manger, les pieds par terre cuisses écartées, cul offert, tu poses sa bite juste à l’entrée de ta chatte. Tu lâches son engin, tu sens ses mains sur ta taille.

« Vas y chéri mets la moi bien à fond ! Bourre moi la chatte avec ton gros outil ! »

Tu ouvres grand la bouche quand tu le sens s’enfoncer d’un coup en toi jusqu’à ce que son bassin appuie sur tes fesses. Il commence à te bourrer et à chaque fois ses coups de reins puissants te font cogner contre la table. Tu halètes et gémis.

« Hum ! Oui ! Vas y comme ça bien a fond ! Ho ! Elle est bonne ta queue ! Hum oui prends moi comme ça comme une chienne ! Tu sens comme je suis en chaleur ! Hein tu la sens ma chatte brûlante ! »

« Hum oui j’aime ça la bite ! J’aime me faire tarauder par ton gros chibre ! »

Tes encouragements le fond redoubler d’effort et c’est a grand coups de rein qu’il t’empale jusqu'au fond des entrailles, son bassin cognant vigoureusement contre ton cul.

« Hum ! Oui ! Prends moi fort comme ça j’aime ! Hum je te sens bien gros en moi ! »

« Ha oui c’est bon de se faire ramoner la chatte par une bonne bite ! Hum »

« Ha ! Ho ! Hum ! J’aime sentir un chibre qui me taraude comme ça : »

 « Mais tu es là pour vérifier les conduits non ? » « Tu veux bien vérifier mon autre conduit là ? »

« Je serai rassurée si tu contrôlais mon trou du cul, tu veux bien ? »

« Vas y prépare moi le fion avec ton doigt ! »

Sans qu’il ne cesse de te tarauder la chatte tu sens un doigt se poser sur ton œillet frémissant. Tu t’allonges complètement sur la table en posant tes nichons sur le plateau. De tes mains libres tu empoignes tes fesses et les écartes largement. Ton trou du cul s’entrouvre et laisse pénétrer une phalange.

« Hum oui ! Vas y prépare moi bien pour m’enculer après ! »

Tu sens un liquide couler dans ta raie, il a lâché un gros filet de salive qui coule en direction de ton trou. Il prend le liquide et s’en sert pour te lubrifier le fion. Tu sens au fur et a mesure ton cul se détendre et s’ouvrir au fur et a mesure que son doigt va et vient dans ton cul.

« Ha oui c’est bon ! Continue ! En plus je sens mes chairs entre ton doigt et ta bite se faire masser c’est divin ! »

Il laisse couler plusieurs fois de la salive couler, ton cul reste bien ouvert et la salive y entre directement, il continue de te lubrifier le fion. Au bruit tu sens ton trou bien humide ;

« Vas y maintenant mets moi ta queue dans le fion ! »

« Allez encule moi comme une bonne chienne ! Tu vas aimer m’enculer je te promets ! »

« Je vais te serrer ton chibre dans mon fion tu vas voir ! »

Tu le sens sortir se ta chatte trempée, ça va l’aider à t’enculer bien comme il faut. Il pose son gland contre ton trou du cul et pousse. Tu te cambres en gémissant.

« Hum oui vas y pousse moi ton chibre tout au fond ! Ho oui empale moi sur ton pieu infernal ! »

Tu sens ton fion s’écarter sur la poussée, tu écartes bien tes fesses pour faciliter le passage. D’un coup le gland entre en toi et ton fion vient serrer sa tige dure. Tu halètes, il ressort son gland, mais avant que tu aies pu protester tu sens qu’il le repose contre ton œillet et le fait de nouveau entrer lentement. « Il sait y faire le cochon » penses tu. Puis il entame des va et viens sans sortir de ton trou brûlant. A chacun des aller il entre de plus en plus loin en toi. Il faut peu de temps pour que tu sentes de nouveau son bassin cogner contre tes fesses. Ses mouvements se font si puissants que ses couilles tapent contre ta chatte dégoulinante. Il grogne en te taraudant le fion à grands coups de reins, tu le sens écarter tes chairs à chaque entrée et les sensations se propagent à ta chatte qui ne cesse de mouiller.

« Hum t’as vu hein que je suis bonne à enculer ! Ho que je sens bien ta queue, elle est bien serrée la hein bien au chaud ! »

« Oui vas y ! Encore ! Bourre moi le fion avec ta grosse bite ! Vas y encule moi à fond avec ton chibre ! »

Tu lâches tes fesses pour que sa bite soit encore plus serrée dans ton cul. Tu en profites pour passer une main sous toi entre tes cuisses et lui attraper son sac a couilles. Tu commences à lui malaxer les noix en même temps qu’il te taraude de son pieu. Tu t’en sers pour frotter l’entrée de ta chatte qui dégouline toujours. Il raccourcit ses mouvements et tu sens sa queue au plus profond de toi. Tu contractes tes muscles pour serrer au maximum le chibre qui te défonce copieusement le fion. Soudain tu le sens arriver. Venu du fond de tes entrailles l’orgasme monte comme une vague irrésistible. Tu respires fort, bouche ouverte, cherchant l’air.

« Oui vas y continue ! Tu vas me faire jouir du fion comme une chienne oui ! »

« Ha oui défonce ta Simone c’est bon! Je viens oui haaaaaaaa ouiiiiiii ! »

Tu te tétanises sous ses coups de reins qui viennent claquer contre ton cul. Tu es agitée des spasmes de l’orgasme et les vagues de plaisir se succèdent. Le dernier te tétanise et te fais te cambrer propulsant tes nichons vers l’avant tes tétons tendus agités de soubresauts.

« Hum c’était bon ! Vas y mon chou ! Tu veux jouir dans mon cul de chienne en chaleur je parie ! Tu vas m’inonder le fion de foutre bien chaud ! Hum oui remplis moi le cul de jus ! »

« Hum continue oui ! Je te sens bien au fond ! Tu vas jouir dans mon cul hein ! Allez vas y remplis moi ! »

Evidemment il ne peut pas résister a un tel appel et en grognant il donne de grands coups de reins contre ton cul. Tu sens les jets de foutre accompagner chaque coup de reins.

« Allez vas y vide moi tes grosses couilles dans le fion ! Hum je vais te les vider avec mon cul bien chaud oui ! »

« Hum je te sens te répandre tu me remplis bien mon cochon ! T’avais envie de te faire un fion de salope toi hein ! »

Au bout d’un moment tu sens que plus rien ne bouge derrière toi, tu le repousses et sa queue sort de ton fion avec un bruit qui évoque bien ce que ton cul vient de subir. Le plombier semble avoir du mal à retrouver ses esprits, tu l’attrapes par la bite et tu le tires derrière toi. Il te suit tel un zombie c’est quand la porte de chez toi claque qu’il se retrouve bite à l’air sur le palier qu’il se réveille. Par le judas, tu le regardes se rhabiller vite fait, car des bruits dans l’escalier montent vers les étages. Tu le laisses à ses questions et tu retournes sous la douche. Tu retrouves avec plaisir les caresses de l’eau chaude qui coule sur ton corps. Tu te mets dos au jet et avec tes mains tu écartes franchement tes fesses. Bien cambrée tu contractes tes muscles du ventre et tu expulses de ton fion le foutre que le plombier t’a mis. Il coule le long de ta raie et le long de tes jambes rincées par l’eau de la douche. Tu regardes le sperme disparaître dans l’évacuation de la douche. « Finalement c’est une belle fin pour du foutre de plombier» penses tu en souriant. Tu prends un gel douche et tu laves ton corps de toutes les odeurs musquées que la partie de jambe en l’air a laissé sur ta peau. Quand ta main frotte ta chatte tu as du mal à résister à te donner un petit bonus avec un orgasme clitoridien. « Je vais en garder un peu pour demain » penses tu. « Le week-end sur le bateau avec virginie promet d’être chaud il s’agit pas d’arriver fatiguée. » tu sors de la douche et tu te sèches devant ton miroir. Tu passes un lait parfumé sur ton corps qui te fait la peau merveilleusement douce. Puis tu vas dans ta chambre et tu choisis d’autres habits. Une jolie robe légère plutôt courte, un string en dentelle et pas de soutif. Tu te regardes dans le miroir, tu vois tes tétons qui, même quand ils ne sont pas tout tendus, marquent quand même le tissu de ta robe. « Hum tu es très sexy comme ça » penses tu. « Je vais aller faire un tour dans le parc cet m’amuser du regard des hommes que je vais croiser » tu souries « je vais marcher en tortillant du cul et me régaler à sentir leur regard sur mes fesses ». « Foi de Simone, je vais bien m’amuser ! »

Tu prends un livre et ton sac à main et tu sors de chez toi. Une fois dans la rue tu vas en direction du jardin public près de chez toi. Tu te régales du regard des hommes que tu croises et qui en baveraient presque tellement tu es bandante quand tu les allumes comme ça. Comme prévu tu sens leurs regards sur ton cul une fois qu’ils t’ont dépassé. Une fois arrivée dans le parc tu t’assieds sur un banc et te détends un petit peu. Tu profites de la chaleur du soleil que tu aimes sentir sur ta peau. Puis tu te plonges dans ton livre et au bout d’un moment tu sens que l’on t’observe. Tu lèves les yeux de ton livre et tu remarques un homme sur le banc en face de toi. Il lit un magazine et t’observe à la dérobée en faisant attention de ne pas montrer qu’il te mate carrément. Tu sens d’un coup tes tétons grandir et durcir……..

A suivre……