simone et Virginie (5)

« Hum ! C’était divin ! »Dit Virginie

« Oui ! Absolument fabuleux ! » Ajoutes tu.

« Maintenant que j’ai ces mots dans la tête je suis pas prête d’arrêter de fantasmer ! »Dit Virginie

« Ha bon ? »

« Hum ! Je m’imagine bien aller voir le petit coincé de la DRH qui m’a refusé une augmentation ! J’avais pensé lui sucer la queue pour l’avoir quand même, mais maintenant je m’imagine plus le sucer pour le plaisir de le voir mal à l’aise quand il me croisera dans les couloirs et ne pas être augmentée ! » Dit Virginie en riant !

 « Bon allez ! Je coupe pour de vrai cette fois ! Je t’embrasse partout ma Simone et je te lèche ta petite chatte toute mouillée ! » Dit Virginie

« Hum ! Merci Virginie chérie ! Moi aussi je t’embrasse partout et je voudrais bien partager mon concombre avec toi ! »Réponds tu.

« Arrête !  Tu m’excites ! Sois sage toi hein ! » Dit Virginie

« Oui promis ! Sage comme une image ! » Réponds tu

« Ouais ! Si tu relis le texte, ça promet ! » Dit Virginie en riant !

« Ho ! Tu penses que je serais capable de me faire encore jouir? » Dis tu espiègle.

« Oui ! Tu en es tout à fait capable ! Gourmande comme tu es tu peux bien continuer à manger le concombre avec ta chatte un bon moment ! » Dit Virginie

« C’est vrai ! Tu me connais bien ! Et je vais laisser planer le mystère pour t’exciter en m’imaginant me branler ou pas ! »Réponds tu avec une voix très coquine.

« En tout cas n’oublie pas de remercier ton gros loup pour son texte qui nous ont bien fait jouir » Dit Virginie.

« Toi quand t’as une idée quelque part tu l’as pas ailleurs ! »Réponds tu en riant

« Ben oui ! Mais en l’occurrence c’est plutôt dans son cul à lui que je la mettrai bien. »

« Pff ! T’es incorrigible toi ! »

« Oui ! Et c’est comme ça que tu m’aimes Simone! Non ? »Dit Virginie

« Évidemment ! Allez ! À bientôt ! »Finis tu

Tu raccroches le téléphone avec un sourire sur les lèvres.

Tu ouvres un autre mail ou tu vois les photos de mes fesses que je t’ai envoyées. Tu t’allonges sur ton canapé, attrape ton concombre, le présente au bord de ta chatte et comme tu es toujours trempée il s’enfonce en toi… ressort… s’enfonce… ressort…

 Virginie avait bien vu, puisque tu n’as pas pu résister à te faire jouir encore une fois avec le concombre en regardant les photos des fesses de ton gros loup. Tu es dans un état de bien être après cet orgasme supplémentaire, tu te lèves et range ton ordinateur portable. Tu te diriges dans ta chambre pour prendre d’autres habits avant de te refaire une beauté sous la douche. Dans ta chambre devant ton armoire, tu choisis des nouveaux vêtements,  un soutien gorge en dentelle, et un string jolis et sexy. Tu es encore toute nue quand tu es tirée de tes réflexions par la sonnette de ta maison. Tu regardes par la fenêtre de ta chambre qui est au portail, tu vois jérome et Mathieu des copains de ton fils sébastien. Tu attrapes un peignoir en satin que tu enfiles rapidement et en le tenant tu ouvres ta fenêtre et les appelles.

« Bonjour jérome ! Bonjour Mathieu ! Vous désirez ? »

« Bonjour madame ! On a rendez vous avec Sébastien ! Il est là ? »

« Ha non ! Mais il ne va sûrement pas tarder ! Vous voulez l’attendre à l’intérieur ? »

« Ben ! On ne veut pas vous déranger madame ! On peut l’attendre dehors ! »

« Non ça ne me dérange pas ! Je descends et vous ouvre ! »

Sans plus réfléchir tu fermes ton peignoir avec la ceinture et c’est nue sous le vêtement qui t’arrive  à mi cuisses que tu descends et ouvre la porte. Tu leurs souries et les accueille chaleureusement.

« Bonjour jérome ! Bonjour Mathieu ! Vous allez bien ? Entrez donc ! »

Tu ne remarques même pas leurs regards étonnés que tu soies en si petite tenue. Ton peignoir en satin même bien noué ne laisse pas beaucoup de doutes sur ce que tu as dessous. Le décolleté montre le sillon qui sépare tes seins, confirmant que tu n’as pas de soutien gorge, la seule inconnue qu’il subsiste pour eux c’est de savoir si tu as une culotte ou non. Mais tu fais tout naturellement sans te préoccuper de ce genre de détails. Il faut dire que les copains de ton fils ont toujours provoqué une certaine attirance pour toi, et cette situation n’est pas pour te déplaire, sans l’avoir provoquée. Les bouts de tes seins comme par réflexe pointent à travers le tissu. Et c’est presque involontairement que tu vois leurs regards sur toi.

« Bonjour madame ! Vous êtes sure que l’on ne vous dérange pas ? »

« Non ! bien sur ! Je suis contente de vous voir, ça faisait un moment ! »

« Heu oui ! C’est vrai ! »

Tu sens un peu leur malaise dans leur voix

« Ho ! J’espère que vous excuserez ma tenue » dis tu « j’ai enfilé ça vite fait, je voulais pas vous faire attendre dehors trop longtemps »

« C’est gentil à vous madame ! Mais vous aviez le temps ! On aurait patienté ! »

« Ts ts ! Sebastien m’aurait fait une scène si je vous avais laissé dehors ! » Dis tu.

« Allez entrez et asseyez vous ! »

Ils entrent en te passant devant. C’est une fois qu’ils t’ont tourné le dos que tu réalises que tu es à poil sous ton peignoir, que tu as la chatte encore trempée de tes branlettes avec le concombre. Cette situation te procure un mélange étrange de sensations. Tu te sens à la fois gênée qu’ils sentent ton état et excitée du fait qu’ils s’aperçoivent que leur présence ne t’est pas indifférente. Ils s’assoient sur le canapé cote à cote et toi tu leur fait face de l’autre coté de la table de salon.

« Bien ! Je peux vous offrir un truc à boire pour vous faire patienter ? » Dis tu.

« Oui avec plaisir ! » répondent ils

« Voyons qu’est ce que je peux vous proposer ! Café ? Jus de fruit ? Bière ? »

« Ils se regardent ! Heu bière c’est bien si vous voulez ! » Répondent ils.

« Ok ! je vais vous chercher cela ! »

Tu pars vers la cuisine et tu as l’étrange sensation d’être observée, pas dans ton intégralité en plus, c’est plus sur tes fesses que tu sentirais presque la chaleur de leurs regards. En les observant du coin de l’œil à la dérobée, tu les vois sourire et discuter ensemble. A leurs gestes tu comprends qu’ils discutent de toi et ta tenue. Cette idée trotte dans ta tête et entre le mélange des sensations que tu éprouvais plus tôt, l’excitation prend le dessus sur la gêne. Tu reviens peu de temps après avec un plateau sur lequel il y a trois bières et trois verres. Tu sens leur regards sur tes seins qui ballottent un peu au rythme de tes pas grâce à une démarche plus sensuelle que celle que tu avais adopté en partant à la cuisine. Tu leurs souries et leur regards te scrutent de la tête au pieds. Ils sourient aussi et tu peux même remarquer quelques rougeurs sur leurs joues Tu poses le plateau sur ta table basse en te penchant. Tes seins libres pendent sous le tissu, ouvrant  plus ton décolleté et offrant à leur vus le sillon qui sépare tes nichons, leur confirmant, s’il en était besoin que tes nichons sont nus sous ton peignoir. Vu d’où ils sont placés ils peuvent même aisément deviner le volume de tes seins. Tu restes penchée sur la table pour remplir les verres. Tu t’appliques à cette tache pour ne pas faire trop de mousse. Chacun de tes mouvements pour prendre un autre verre, une autre bouteille, poser le verre plein et la bouteille vide, provoque une danse de tes nichons, ouvrant plus le décolleté et allumant encore plus le regard des copains de sébastien. Une fois le service fini, tu prends ton verre et tu t’assoies dans un fauteuil en face d’eux, ton peignoir est ouvert jusque sous tes seins, montrant le galbe de tes nichons. Une fois assise les tétons, sous l’effet de leurs regards que tu sens, pointent presque au maximum. Tu fais mine de rester naturelle. Tu les regardes en souriant.

« Tchin ! » Dis tu en te penchant un peu pour trinquer.

Ils se penchent également pour trinquer

Il s’en suit une gentille discussion entre jérome, Mathieu et toi au cours de laquelle, dans tes mouvements naturels, les pans de ton peignoir s’ouvrent entre tes cuisses et laissent deviner que tu n’as pas de culotte. Tu n’y a pas fait trop attention mais leurs regards sont très dirigés vers ton intimité. Leurs discussions s’en ressentent un peu ! Au moment où tu le remarques ton excitation augmente et tu ne fais rien pour cacher tes attributs à leurs regards. Tu ne sais pas si c’est la situation ou la bière, mais tu te sens bien, très bien même tu ris de plus en plus et c’est comme si tes inhibitions s’estompaient. Tu entames avec eu une conversation sur les filles et les relations qu’ils entretiennent avec. Tu les sens un peu gênés d’en parler alors que toi tu oses et même laisse dériver la conversation sur le sexe.

« Et vous ? » demandes tu. « Vous arrivez à vos fins avec les filles ? » « Elles sont pas trop cruches au lit ? » dis tu en riant.

« Heu non ça va ! » répondent ils

« Vous êtes bien indulgents ! Je penses que les jeunettes ont pas l’expérience d’une femme mure, et qui sait bien ce que les hommes aiment ! » «  je vois bien avec celles que Sébastien ramène dans son lit ! » «  je suis pas sure qu c’est l’éclate sexuellement »

Ils te regardent avec des grands yeux

« Vous par exemple ! Vous avez déjà eu des expériences avec une femme plus âgée que vous ? »

Ils te regardent et font nos de la tête

« Vous voyez ! C’est ce que je disais ! Vous avez sûrement pas connu les choses les meilleures du sexe ! »

« Comme la fellation par exemple ! Je ne suis pas sure que les filles fassent des gâteries ! Pourtant les hommes aiment ça en général ! » Tu ajoutes «  en tout cas j’en ai jamais rencontré un qui n’aimes pas être sucé !» tu ris de bon cœur

En fasse les jeunes ne savent pas quoi répondre

« C’est comme les jeux érotiques ! Ça s’apprend ! »

« Je vais vous montrer ! »

A cette remarque ils ouvrent de grands yeux. Ils te regardent de lever et marcher vers eux. La bière te fait tituber un peu. Tu passes devant Jérôme et te tourne pour t’asseoir entre eux.

« Et hop ! » dis tu en riant et te posant sur le canapé entre eux. Ils n’ont pas eu le temps de s’écarter et tu te retrouves tout contre eux.

Ils ne savent plus quoi penser.