Mardi 16 mars 2 16 /03 /Mars 12:45

6.

FRANCE ET IRENE



Quinze jours passent. Elle se sent prête à revoir l’autoritaire jeune homme d’autant que leurs derniers dialogues sont pour elle de bons exercices. En effet, il questionne beaucoup et se montre intransigeant sur les réponses. Ils se sont entrevus, certes mais il veut aller plus loin et en ce sens, il donne de nouvelles directives. Elle ne saurait se masturber sans qu’il en donne l’autorisation car elle comprend bien que, par là, il tente de contrôler ses pulsions intimes et devient celui qui, au matin, au moment où elle glisse sa main entre ses cuisses pour vérifier la douceur et l’humidité de sa chatte, intervient. Elle tente bien de flatter cette petite excroissance de chair qui, bien cajolée, donne tant de plaisirs mais il semble que l’interdiction qu’il a posée joue son rôle car, déjà excitée, elle s’arrête et regrette. Toutefois, elle n’ose le lui dire, elle enfreint souvent les règles et jouit vivement dans les draps frais, ses doigts ou un gode ayant bien œuvré. Naturellement, elle n’ose le lui dire. Il la punirait ou tout au moins la remettrait à sa place par des paroles circonspectes. Il sait tellement bien parler…

 

Toutefois, là, elle reste tout autant que lui, légère.

Ce qu’il veut est d’un autre ordre :

- Obéis-tu ?

- Monsieur, oui.

-  Alors, sache que j’ai de nouvelles exigences.

- Monsieur ?

- Je t’écris.

A la lecture du texte envoyé, elle est sidérée. Chez elle seule, le jour, elle doit être nue et, la nuit, elle dormir avec un collier. Ces propositions sont reçues par elle comme des ordres auxquels elle essaie immédiatement d’obéir. Cependant, les obstacles sont immédiats. La nudité ne lui déplait pas mais elle est en ville, elle  a des voisins qui pourraient se montrer à un balcon ou dans leur cour… Sans cesse, elle va et vient et dans une contrée où il fait toujours beau, il se trouve toujours une fenêtre ou une porte ouverte pour vous dévoiler ; aussi a t-’elle recourt à une demi-obéissance. Elle le lui dit. Il l’accepte.

Pour le collier, la chose  est plus simple. Elle le met à son cou, la nuit venue quand elle a refermé la porte de sa chambre et qu’il lui reste comme lieu intime l’espace clos et fantasmatique de sa chambre. Allongée dans les draps frais, vêtue d’un paréo et d’un corsage sombre, elle en palpe la matérielle rugosité avant de s’endormir. Par la fenêtre ouverte, elle regarde l’espace d’un instant le ciel brouillé de la saison des pluies puis se laisse aller jusqu’au matin. Alors, elle guette avec fierté les sensations que procure le fait de porter un collier inattendu puisque habituellement, il va aux bêtes. De fait, elles sont diffuses puis exaltantes ces sensations. A un collier, on met une laisse. Et au bout de la laisse, se trouve un Maitre avisé qui sait guider.  Ainsi, elle est dans la bonne ligne et de cela, il est content. Irène en obéissant constate qu’elles modifient son mode de vie. Dans le jardin aux herbes humides, elle trouve sur l’herbe, des pétales de frangipanier et de jacaranda qui entrecroisent leurs teintes rouges et mauve et les rapporte dans sa maison, où dissimulée derrière les murs ou une tenture improvisée, elle marche nue. Il fait doux et humides. Les pluies sont arrivées depuis plusieurs semaines et éprouve souvent une agréable sensation de fraicheur.

Dans les dialogues qu’elle a avec lui, elle transmet son contentement. Sans doute est-ce parce que celui-ci est très perceptible qu’il formule de nouvelles exigences. Cette fois, il lui demande maintenant de dormir avec un oblong simulacre de sexe masculin. Avant de rejoindre sa chambre, elle l’enfoncera avec précaution dans son anus puis s’allongeant vérifiera qu’il procure les sensations attendues. Brutales puis plaisantes. Très précises. Très érotiques. Ainsi « mise » elle ne peut que comprendre l’importance et la réalité d’un enfoncement. Elle est dominée. Il n’y a pas à dire et celui qui orchestre cela est à même de lui dire combien il désire d’elle cet orifice que, forcément, il pratiquera. Rougissante, Irène enfonce…C’est bon malgré la surprise du départ. Il n’y a pas à dire. Lui confiant ce qu’elle vit, elle s’étonne à peine qu’il exige plus. Qu’elle place un objet dans son vagin la déstabilise peu. Elle avoue sa surprise : ce n’est pas le même consentement car là c’est très simple. Là encore, elle enfonce. Son corps se plie. Une  jambe posée contre la paroi de la baignoire, une autre bien droite, elle pousse en elle, l’objet qui donne le plaisir et se retient de gémir.

Comment admettre qu’au fond, l’une ou l’autre de ces pénétrations sont bonnes et efficaces ? Comme elle semble confuse, il la rassure. Au fond, il doit être « chez elle ».

Alors, deux jours durant, elle reste dans sa maison en ayant la sensation abrupte qu’elle est doublement pénétrée et qu’être mise par devant et par derrière est une chance inattendue. C’est si humiliant et bon. 

Elle s’endort et s’éveille dans le plaisir. Elle jouit beaucoup.car il l’autorise. Elle crie.

Pendant cette période étonnante, Irène prend des photos d’elle. Elle change et le sent. Son corps et son visage « bougent ». Ses seins sont lourds et doux, ses hanches larges et offertes tout comme sa peau à la teinte claire et à ses mains effilées. Tout semble prendre une direction. Les photos le montrent. Cette jupe qu’elle a relevée et qui montre ventre, hanche et cuisse en laissant entrevoir la douceur d’une chatte rasée. Cette croupe soudain tendue. Cette robe noire qui laisse deviner sa belle gorge renflée. Ses mains…

Terrain d’attente et de jouissance.

Et elle ne parle pas des traits de son visage. Le regard aux aguets, la bouche plus sensuelle, les joues rosies comme après le plaisir. Les yeux surtouts comme aimantés par une recherche secrète. Parviendra t’elle à contenter XX et par là même à se contenter ? Elle est dans l’expectative et cela se ressent. Enfin pour quiconque regarderait la photo, ce qui n’est pas le cas. Elle porte un secret. Personne ne sait mais lui, le jeune dominateur opiniâtre verra ces changements. Elle est offerte, bien plus sensuelle, encore craintive, prête à donner. Elle est sûre qu’il en sera heureux ou l’escompte.

Les jours où elle est nue. Le collier effleuré le matin. Les objets en elle enfoncés. Le plaisir retenu puis autorisé. Les photos. La surprise.

La beauté.

Et puis le rendez-vous.

Les jours qui précèdent l’entrevue arrivent. Irène s’étonne de la fatigue qu’elle rencontre. Elle se sent engourdie et constate que son ventre est plus renflé qu’à  l’accoutumée. Elle est un peu fébrile aussi mais met cela sur l’appréhension qu’elle a de la rencontre. Oui, elle a peur d’elle et de lui et cela est légitime.

Toutefois, elle fait fausse route.

Irène a oublié son âge et ses conséquences. La cinquantaine transforme les habitudes de son corps. L’adolescence et l’âge adulte l’avaient habituée aux menstruations, périodes que, contrairement à bon nombre de ses amies, elle n’a jamais trouvées révoltantes. Au contraire, malgré la fatigue engendrée, elle a aimé souvent ces forts écoulements et même aimé les voir se matérialiser sur ces grandes serviettes de coton qu’elle plaçait périodiquement entre ses cuisses. Dessins rouges aux méandres dégradés. Odeurs à la fois fades et fortes. Paradoxe. Corps alourdi, sexualité ralentie, sensation de déperdition et en même rencontre à ce que la féminité a de vrai et de déconcertant dans sa fragilité.

Elle se souvient de ces jours récurrents où elle a oscillé entre contentement et lassitude. Elle les sent s’éloigner. Depuis quelques temps, en effet, elle est irrégulièrement réglée. Elle ne rencontre plus les signes avant-coureurs, la langueur montante, le renflement du ventre et les lancinements répétés dans le bas-ventre. Comme elles avaient eu du mal à s’installer, les règles s’espacent avant de disparaître. Irène est dans une période où elle pense qu’elle ne les aura plus. Aussi est-elle surprise par son mal être au moment où elle va revoir XX. Les signes physiques sont reconnaissables. Elle pense cependant à des signaux sans objet, ce en quoi, elle se trompe car la réalité la rattrape. Un matin, elle se lève fébrile et en s’essuyant dans la salle de bain, après la douche, constate que la serviette a rougi. Ainsi, le sort est contre elle. XX. Que dira-t’ elle ? Le rendez vous est imminent. Elle prend des médicaments qui se révèlent sans effet et se désole. Le sang persiste. Les jeux reculent.

Il se met en ligne pour confirmer leur rencontre. Elle aura lieu deux jours plus tard.

- Vas-tu bien ?

- Oui, Monsieur.

- Es-tu nue ?

- Non, Monsieur.

- Tu me désoles. Te voilà désobéissante. A cette heure-ci, tu es seule. Tu peux être nue.

- Je le suis partiellement.

Elle est navrée et sa voix est tremblante. Il faut bien lui dire que cela est arrivé sans qu’elle ait rien prévu et qu’elle ne sait que faire car les comprimés qu’elle avale, s’ils ralentissent les flux, ne les supprime pas. Ils sont trop violents.

- Je ne pourrai pas. Je suis désolée. Je crains que ce ne soit pas terminé.

- Tu as mal ?

- Un peu.

Elle attend qu’il s’irrite mais tout à l’opposé, il s’enquiert d’elle, lui conseille de voir un médecin et propose de reporter la séance d’une semaine.

Irène, quand elle l’entend parler ainsi, s’en veut de saigner. Elle veut voir XX et tente de le lui dire. Mais il postpose sans pour autant montrer le moindre agacement. Surprise, un peu blessée, elle est contrainte d’accepter.

- Je te verrai dans une semaine.

- Oui, Monsieur.

- Ce n’est rien, cela arrive.

- Vous êtes compréhensif.

D’ici là, il la rassure, il la contactera.

Et de fait, les jours passent vite. Chaque matin, elle vérifie qu’elle saigne encore mais elle voit bien que son corps s’apaise. Quand elle introduit son doigt dans le doux conduit intime par où passe le sang et l’en retire, elle ne voit plus que minces traînées rosées qui matérialisent le recul de ses menstruations. Et puis, le doigt est lisse, juste empreint de ses sécrétions naturelles et elle sait alors que son attente est finie et qu’elle peut aller dans le sud. Quand elle le lui annonce, il marque quelques réserves, craignant qu’elle ne soit pas vraiment d’attaque et lui enjoins de bien réfléchir ; se sentant attaquée, elle affirme qu’elle va bien. Elle viendra. Comme à l’accoutumée, sa fille restera à l’hôtel où elle vagabondera entre la chambre, le jardin tropical, le salon et la piscine. En général, cela se passe bien. Toutefois, au dernier moment, le scénario se modifie. D’une part, sa fille est conviée chez une amie et de l’autre l’hôtel habituel est plein. Elle doit donc se replier sur un autre, tout aussi charmant et s’en réjouit. Elle le lui dit au téléphone. A ces mots, le jeune dominateur au visage grave impose un dernier exercice préparatoire.

- Tu seras seule, alors ?

- Oui, Monsieur.

- Oh, alors avant de me rejoindre, tu feras un exercice. Tu as un appareil photo, n’est- ce pas ? Et bien, prends-toi en photo avec le collier.

Des photos, encore ! Elle s’amuse de la coïncidence, tout en trouvant plaisir à chercher comment elle accomplira au mieux sa petite. Celle-ci s’avère en fin de compte délicate car l’intérêt est qu’on la voit, elle, avec le collier. Toute photo qui met celui-ci en valeur amène à tronquer son visage. On ne voit plus que le menton et les lèvres or, ce qui importe, c’est qu’on devine dans son regard le contentement qu’elle éprouve, la légère peur aussi. Et là, les difficultés sont multiples. Tantôt la photo est floue, tantôt mal cadrée, tantôt gauche car elle sourit trop ou trop peu. En fin de compte, il faut quasiment deux heures pour qu’enfin, elle trouve devant l’armoire vitrée de sa chambre d’hôtel, le bon cadrage et la pose qui convient. Debout, drapée dans un paréo noir et blanc, pieds nus, cheveux libres et léger maquillage, elle offre un visage doux et légèrement rieur où enfin sont perceptibles cette fierté et cette joie qu’elle veut rendre lisibles au jeune dominateur. Le collier brun enserre son cou et marque l’abandon et l’appartenance. Oui, décidément, ces deux photos sont réussies et assise sur son lit, elle les contemple longuement. On dirait presque qu’elle danse et son corps assez rond paraît gracieux comme conduit par des mouvements harmonieux. Il devrait aimer la voir ainsi.

Ensuite, l’heure vient où elle part. Elle est nue sous ses vêtements et cache le collier sous un foulard de soie. La route maintenant connue lui semble facile comme l’est l’attente dans la voiture et l’insertion avant de monter chez lui d’un plug dans son anus. Elle trouve bon de s’asseoir lentement dessus et plus jouissif encore de le sentir enfoncé en elle alors qu’elle reste assise sur le siège de sa voiture. Puis, dans l’air bruissant du soir, elle se dirige vers lui. Elle s’arrête devant la porte entrouverte de son appartement et ferme les yeux un instant et serre les lèvres. Puis elle pousse la porte.

La séance commence. Elle se dénude d’emblée et se met à quatre pattes. Il n’est pas dans le salon et donc, silencieuse, elle l’attend. Quand il vient vers elle, elle frémit. C’est instinctif et peu contrôlable mais il semble apprécier et se penche pour effleurer des doigts une de ses joues avant de toucher le collier. Le contact lui plait car il sourit avant de se mettre à lui parler.

- Tu es contente ?

- Oui, Monsieur.

- Il te va bien.

- Je trouve aussi.

- On va se promener un peu.

- Oui, Monsieur.

Il prend une laisse rouge dans un tiroir et explique qu’il vient d’en faire l’achat. Il est satisfait de la couleur qui se marie bien avec celle du collier.

-Viens.

Elle se met en marche en essayant de se régler sur ses pas et trouve vite le rythme qui convient. Lui, est de toute évidence très excité par le fait de l’avoir ainsi à lui, à la fois douce et obéissante et terriblement sexuelle car nue et offerte. De temps en temps, il lui claque les fesses et la sent réagir. Elle gémit un peu mais c’est un appel car elle aime que la promenade soit ainsi ponctuée et de fait, la sentant plus contente qu’irritée, il réitère et claque les fesses rondes pour la faire se cambrer. Ainsi, elles sont plus belles.

Irène avance encore puis fait demi-tour en veillant à garder la même allure lente qu’il lui a demandé de prendre et rejoint le salon où, immobile, elle se laisse caresser. A genoux derrière elle, il joue à faire aller et venir le simulacre de sexe qu’elle s’est enfoncé dans l’anus et, elle, patiente et tendue, sent monter le plaisir. Il vient autant de son regard à lui que de la précision de ses gestes et de l’effet produit par le mouvement imprimé à l’objet. Le va et vient se poursuit. Elle sent maintenant sur sa chair, le souffle plus irrégulier du jeune homme qui s’active et prend son plaisir à la fouiller intimement pour mieux la connaître et la dominer. Elle s’offrant et lui prenant ce qu’elle donne sont alors étroitement liés. L’excitation monte encore. Irène veut la délivrance…

Il ne lui donne pas, pas encore.

Il s’arrête et retire d’elle l’objet symbolique qu’il pose à terre. Frémissante, elle attend.

Il la prend.

Elle est tout entière donnée et au bout du compte, quand le membre du jeune homme la conduit à un extrême que l’objet n’a pas permis, elle sent les larmes lui monter aux yeux. Le plaisir est fort mais âpre. Il ne conduit pas à la jouissance physique mais permet, à coups sûrs, d’accroître une dépendance. Le dominateur a ses entrées qui doivent, pour lui, être préservées. Irène, tandis qu’il la pénètre méthodiquement, sait cela et en est convaincue.

Enfin, et pour finir, alors qu’elle est toujours en laisse, il s’informe de désirs qu’elle pourrait avoir :

- Tu as peut-être faim ?

- Non, Monsieur.

- Mais, tu as soif, non ?

- Oui, Monsieur.

- Viens.

Il la conduit vers un petit récipient au pied du réfrigérateur. Elle y contemple une lisse surface liquide : c’est de l’eau. Sans réfléchir, elle lape doucement tandis qu’il l’encourage. Puis quand elle cesse, elle se met à genoux.

A nouveau, il lui caresse l’encolure.

Tous deux restent silencieux un moment jusqu’à ce qu’il lui dise de se relever. La séance est finie, ils le savent l’un et l’autre. Alors toujours nue, elle sort de son sac à main les photos que tout à l’heure elle a prises à l’hôtel.

- Je les aime bien.

- Vraiment, Monsieur ?

- Oui, tu me les enverras.

Avant de répondre oui, Irène touche le collier qui enserre son cou. Elle est heureuse de le porter.

Ils se quittent. Quand elle rentre à l’hôtel, la pluie diffuse donne à la ville un aspect différent qui évoque celui d’une ville européenne mais dès qu’elle voit la piscine et sur la terrasse les convives attablés, elle sait, à cause de la douceur ambiante, qu’elle est bien dans cette île tropicale om un mystérieux hasard lui a fait croiser la route de XX.

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : Maitre Gone
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