Aristocrates déchus (2. Humiliations)

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Aristocrates déchus (2. Humiliations)

Une fois parti le Juge, la nouvelle Marquise donna ses ordres à Olga.

« Entendant, ils dormiront dans le cellier, tu es la seule domestique qu’il leur restait, désormais ils seront nos domestiques, tu leur répartiras les tâches, et comme nourriture tu leur donneras nos restes »

Olga répondit « d’accord je vais m’occuper d’eux, comment dois-je- vous appelez ? »

 « En public tu me diras Madame La Marquise, par contre eux doivent nous dirent Maitresse, tu es désormais mon assistance, mais si tu manques à tes devoirs, tu seras punie comme eux» lui répondit Katherine.

« Il est tard, emmène-les au cellier, ils mangeront mieux demain, et reviens me voir je te confirais une tache  » ajoute-t-elle.

Olga ordonna aux trois esclaves de la suivre, une fois arrivé dans le réduit servant de cellier, elle les fit entrés, il mesurait deux mètres de profondeur, mais à peine un mètre  de haut, ils durent si entasser, Olga referma la porte aux solides barreaux de fer et mis le cadenas puis sans ce retourner rejoignit Katherine. 

Une fois sure que personne ne pouvait les entendent, Selma demanda ce qu’ils allaient devenirs et si vraiment cela allait durer le reste de leurs jeunes vies.

« Je crains que nous ne puissions pas y échapper, mes enfants, la faute en incombe à votre père et à moi, nous  n’avons pas sur sauvegarder notre rang, il faut que vous fassiez en sorte d’échapper au pire, Katherine m’en veut particulièrement, avec moi elle sera impitoyable, faite tout ce qu’elle vous dit de façon  à ce qu’elle vous traite mieux, même a mon détriment, promettez  le-moi » leur dit Mathilda.

« Mais vous êtes notre mère on ne peut pas vous faire ça »  s’écriait d’une seule voix ses deux enfants.

« Promettez-le-moi, ou votre vie sera un vrai enfer et encore plus pour moi de le savoir » répondit Mathilda. Ils promirent en pleurs, mais promirent.

Entre temps Olga avait rejoint Katherine.

« C’est fait, vous vouliez me donner des instructions ?»

« Oui, mais avant je veux savoir, la vielle cave à vin est dans quel état ?

« Celle qui est dans le sous-sol du Donjon, c’était la salle de torture avant non ? »

« Oui celle-là » répondit la Marquise.

 « Ma fois a part de vieux tonneaux, il ne doit pas y avoir grand-chose, elle est en bon état autrement » répondit Olga

« Bien alors, demain tu iras au village voir le charron, le menuisier et le  forgeron, je veux leur faire faire des travaux, tu leur donneras une enveloppe à chacun avec la liste des travaux que je veux entreprendre, ainsi qu’une bourse en acompte, bien sûr tu leur dis de ce taire je ne veux pas que l’on sache quoique ce soit des travaux, ils seront grassement payés » 

Olga souri «  je crois me douté du genre de travaux que vous allez faire faire haha »

« Je pense que oui effectivement» et Katherine sourit en disant ça.

« Bien en attendant la fin des travaux,  tu les occuperas à diverses taches, tout en les humiliants bien sûr ».

Olga ce rendit immédiatement au village, en arrivant sur la place elle aperçut devant son atelier, le charron : « Messire, je dois vous remettre des instructions ainsi qu’à vos amis le menuisier et le forgeron, auriez-vous l’obligeance d’aller les chercher ? »

« Avec plaisir mademoiselle Olga, faites comme chez vous  », lui répondit-il.

Quelques minutes plus tard, il revenait avec ses deux collègues.

«Il y a eu des changements au château désormais la Marquise est Madame Katherine » dit Olga.

« Oui nous avons appris la déchéance de la famille, les nouvelles vont vite dans un si   petit village, que pouvons-nous faire pour la nouvelle Marquise. » Répondit le Charron.

« Vous trouverez dans ces enveloppes vos instructions prenez en connaissance maintenant et dite mois ce que vous en pensez,  je vous remets a chacun une bourse pour les avances de vos frais, bien sûr la confidentialité la plus complète vous est demandée » et Olga  leur tendis a chacun une enveloppe et une bourse.

Ils prirent connaissance du contenu de l’enveloppe, surprit mais non choqués.

« Nous sommes toutes à fait capables de réalisés les travaux, même s’ils sont particuliers, et bien sûr nous garderons le plus grand secret cela vas sans dire, je pense pouvoir m’exprimé au nom de mes amis»  déclara le charron, les deux autres opinèrent de la tête.

« Bien venez à l’heure du thé, pour régler les détails avec Madame la Marquise » leur dit Olga et elle partit.

Les trois hommes se concertèrent :

« Je ne pensais pas quand même que la nouvelle Marquise irait jusque-là », dit le menuisier. » »

« Tu sais bien bien que la  baronne Katherine, désormais Marquise d’ An der Etsch, avait été bannie et humilier il y a dix ans et qu’elle attendait patiemment de se venger » répondit le forgeron.

« Oui la tienne sa vengeance, et je suis sûr que nous allons en profiter largement, la Marquise Katherine est immensément riche et peut-être même que nous aurons droit à des extras » compléta le menuisier et tous les trois éclatèrent de rire.

Dès qu’Olga fut rentrée au château, elle alla au cellier.

Elle tenait un paquet.

« Bien je vous ai apporté vos tenues : Toi Mathilda, tu auras cette tenue de servante et tu feras le service, tu serviras les repas et les boissons, toi Selma tu seras la bonniche, quand à Aymeric je t’es préparé une fonction bien particulière »

Elle ouvrit la porte et  donna   aux deux premières leurs tenues.

« Mettez-les, Mathilda tu te rends à l’office et tu attends que l’on te sonne, Selma tu prends le seau et tu nettoies le hall à 4 pattes bien sûr, aidez-vous pour les mettre » leur ordonna Olga.

« Lèche mon escarpin toi » en le pointant vers Aymeric, ce dernier  ce mis à genoux et se pencha-t-il commençât à lécher l’escarpin « La semelle maintenant » ordonna-t-elle.

« Mais tu commences à bander, tu aimes ça être humilier, tu vas être servi crois-moi avec ce que je te réserve » ajoutât –elle. Effectivement l’esclave Aymeric commençait à bander à sa plus grande honte, sa mère et sa sœur détournaient les yeux face à ce navrant spectacle.

Olga tira sur la chaine d’Aymeric et l’entraina à sa suite.

Aymeric ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, il avait ressenti une étrange sensation, mêlant honte et plaisir a léchez les escarpins d’Olga, il avait peur de ce qu’elle lui avait réservé, et ce que dit Olga ne le rassurât absolument pas.

«Tu vas voir ce que sait d’être avili pour de bon, on verra si tu bande toujours » dit-elle, Aymeric avait du mal à suivre le rythme, les chaines aux chevilles le gênait et celles aux poignets le tirait en avant, à chaque pas il était en déséquilibre, il se disait que si il tombait Olga serait furieuse.

Aymeric se demandait bien où elle l’emmenait, puis il comprit, les latrines ! Quelle horreur !

En entrant dans les latrines il remarqua sur le cote une cage et relier a cette cage un tuyau partant d’un urinoir.

Olga défit ses chaines, et lui enfila une camisole.

« Tu as compris, je pense, tu vas servir d’urinoir, rassure-toi, il est assez bas pour qu’une femme puisse l’utilisé aussi, mais de toute manière, avec la cagoule, tu ne verras rien et tu n’entendras pas également, tu seras juste que tu es utilisé, jamais par qui » et elle lui mit une cagoule et le fit entrée dans la cage, elle fixa le tuyau a la cagoule.

Le pire fut qu’Aymeric banda une nouvelle fois.

« Lui je n’ai pas fini de l’avilir » se dit-elle.

De retour dans le Hall,  elle vit Selma frottant le sol avec une brosse, en passant Olga sans rien dire  donna un coup de pied dans le seau, Selma qui avait presque finie dut tout recommencer.

Entrant quand l’office, Olga vit Mathilda en tenue.

« Tu attends debout jambes écartées et chaque sonnette indique un lieu, tu dois t’y rendre immédiatement de jour comme de nuit, tu dormiras ici sur le sol,  » déclara Olga.

L’heure du thé arriva, Selma avait depuis  longtemps fini de nettoyer le Hall, elle dormirait dans un proche de la porte, afin de pouvoir ouvrir a toutes heures du jour et de la nuit, était charger désormais d’aller ouvrir aux visiteurs.

Le heurtoir de la porte résonnât, elle alla ouvrir, honteuse d’être vue dans cette tenue aguicheuse et qui ne couvrait pas grand-chose.

Elle vit trois hommes, à leurs allures ils avaient l’air d’artisans, mais elle ne se souvenait pas d’eux.

L’un d’eux lui dit de les conduire à sa maitresse, qu’ils avaient rendez-vous.