Aristocrates déchus (3. Dressage )

Aristocrates déchus (3. Dressage)

Une fois les trois hommes partis Olga libéra Aymeric et le laissa ce soulager tant sa vessie était pleine Olga déclara : « comme une fille assise tu pisses et si tu en mets à côté je te fais lécher la cuvette des latrines ».

Le lendemain matin, Mathilda, Selma et Aymeric furent réunis dans le boudoir en présence de Katherine et Olga.

« Fini le bon temps on va commencer votre dressage » « toi Aymeric on va faire de toi un parfait giton capable de donner du plaisir à n’importe quel homme   »  ce faisait elle pointât vers lui ça cravache. « Selma de ton au contraire on va faire une bonne lesbienne » continuât Katherine.

« Quand à toi » elle s’adressait à Mathilda « je vais petit à petit te torturer de plus en plus, au point que tu préféreras commettre les pires abjections pour y échapper » en disant cela on sentait dans sa voix une profonde haine. « Olga comme nous ne pouvons pas dresse ce buveur de pisse, et pour cause, en giton, tu vas l’emmener chez le Juge, tu connais ses gouts pour les jeunes gens » ajoute-t-elle.

« Bien sûr tout le monde les connaît, mais personnes ne dis rien » répondit Olga et elle mit une laisse au collier d’Aymeric et ce dirigeât vers la porte.

Les yeux pleins de haine Katherine ce dirigea vers Mathilda,   elle lui enleva ça tenue, lui mis les bras dans le dos, et une paire de menottes, puis une barre lui écartant les jambes à l’extrême, enfin des pinces aux grandes lèvres relier a des courroies lui maintenant ces dernières bien écartées.

« Selma met les gants qui sont sur la table », demanda Katherine.

Il s’agissait de grands gants de cuir remontant jusqu’aux coudes.

« Tu vas la  caressée  avec les orties qui sont dans le seau derrière la tenture, commence par le dos, le cul, puis les seins » un grand sourire sur les lèvres ce dessinât sur le visage de Katherine, en plus de souffrir,  elle souffrirait de la main même de sa fille.

Selma hésita, puis ce dirigeât vers la tenture pris le seau et saisi une poignée d’orties, presque en pleurs, elle commença à promenées sur le dos de sa  mère

Celle-ci ressentis immédiatement les brulures dut aux orties, fouetter aurait servis a rien, juste a arraché les feuilles des orties, c’était bien plus vicieux de la  « caressée » avec lentement petit a petit.

« Prend ton temps, vas doucement de haut en bas, et oublie pas la raye des fesses et l’anus, mais ne touche pas à son sexe » donnant des indications à Selma, Katherine voyait sa suppliciée serrer les dents pour ne pas crier.

« Tu vas hurler crois-moi, on fait que commencer »   éclatant de rire Katherine.

Quand les orties effleures son anus, Mathilda émis un « humm » de douleur.

« Les seins » dit simplement Katherine, et Selma se mis face à sa mère et commença à promener les terribles  urticacées sur la belle poitrine, ils se couvrirent immédiatement de clopes et on commença à entendre Mathilda crier.

« Prends une poignée d’orties fraiches dans le seau et caresse-lui la vulve ».

Selma, lentement à pas mesurer retournait vers le seau et y pris une nouvelle poignée, en pleurs elle entreprit de promener sur les parties les plus tendres de l’intimidé de sa mère, les orties. Quand les orties entrèrent en contact avec le clitoris, les petites lèvres et l’intérieur des grandes lèvres les cris de douleurs redoublèrent, Mathilda pensait que sans était finie avec cette épreuve, mal lui en pris, elle comprit en entendant Katherine donnez de nouvelles instructions que le plus dur était à  venir.

« Bien maintenant tu en prends deux de poignées, tu vas les lui enfoncé en même temps dans au plus profond de son vagin et de son anus »  s’adressant à Selma, et elle ajouta « Là tu vas avoir une bonne raison de hurler » dit-elle à Mathilda.

Effectivement quand les poignées furent introduites a plus profond de ses intimités, Mathilda hurlât comme jamais Selma aura pu penser qu’une personne puisse hurler.

Mais la perversion de Katherine n’allait pas s’arrêter là pour cette soirée.

Olga entra à ce moment-là dans la pièce.

« Je vois que vous n’avez pas attendu pour vous amuser Katherine » dit en souriant Olga.

« Oh, vous aurez l’occasion de vous amuser vous aussi avec elle, je vous le promets, mais en attendant, occupant nous de Selma » rétorqua-t-elle.  

« Nous allons commencer le dressage de ta fille une parfaite  saphique et bien sûr sous tes yeux, et n’essaie pas de les détournés sinon je lui fais subir la même chose que ce que tu viens de subir ».

Katherine était déjà excitée a l’idée que son ancienne rivale subirait cette humiliation, ainsi contrainte d’y assisté sous peine de voir  sa fille subir aussi les affres des Urticacées.

« Commençons par lui faire ressentir ces plaisirs » proposa Olga et elle saisit Selma qu’elle allongea sur une bergère, Katherine commençât par lui caressé les seins, pendant qu’Olga écartant, avec douceur les jambes de Selma entrepris des caresses linguales.

Les deux femmes savaient y faires pratiquant depuis toujours aussi bien les jeux saphiques que hétéro.

Le souffle de Selma commit à s’accélérer, Katherine entrepris alors de titiller les tétons, pendant qu’Olga jouait avec le clitoris et les petites lèvres de sa victime.

« Et toi regarde, sinon… » Répéta Katherine, la menace était claire  et placé comme elle était-elle ne pouvait, malheureusement, rien manqué du spectacle.

Quand Olga mis un doigt puis  deux dans le sexe de Selma, pratiquant des vas et viens de plus en plus rapides, tout en continuant à jouer avec sa vulve, elle commença à haleter de plus en plus, puis n’y tenant plus un fulgurant orgasme l’envahie, elle ce cabra et joui comme jamais.

Mathilde était rouge de honte, quand à Selma elle était encore dans sa bulle, quand Olga lui dit : « tu as compris comment une femme donne du plaisir à une autre, alors à toi d’en donner à Madame la marquise ».

Honteuse d’avoir pris du plaisir devant sa génitrice, Selma lui demanda pardon, puis se mit entre les jambes de la Marquise pour entreprendre son premier cunnilingus. Maladroitement au début guidé par Olga et Katherine elle commença à prendre de l’assurance, et on vit la Marquise à son tour commencer à y prendre plaisir.

Prenait-elle vraiment plaisir à ce que faisait ce saphique débutante ou du fait de l’humiliation de Mathilda contrainte de voir sa fille donner du plaisir à celle qu’elle détestait le plus depuis toujours d’une manière condamner  par les bonnes mœurs  , surement les deux à la fois.

Pour finir, Olga dit à Selma de lécher l’anus de Katherine pendant qu’elle prenait sa place cette fois ce fut la Marquise qui explosa de jouissance.

Une fois terminé, Katherine déclarât « pour une première fois ce n’était pas si mal que cela, mais tu as encore beaucoup à apprendre pour être une bonne tribade».

Se  tournant vers Mathilda elle lui dit que désormais elle dormirait attachée sur le ventre sur un lit de gravier, on l’emmena dans un réduit, et on fit allongés toujours avec les mains attachées dans le dos et les grandes lèvres totalement distendues , le vagin et l’anus remplis d’orties, sur une sorte de caisse remplie de gravier et de gros sel. Sans possibilité de bouger, la position déjà inconfortable en est, provoquait en elle d’horribles douleurs, si l’effet des orties était passager, le fait était que le gros sel la brulait et les graviers pénétraient ses chairs déjà meurtries, on l’y abandonna.

Tous les jours Mathilda, devait assistée au dressage lesbien de Selma, à la place du fauteuil, un matelas trônait au milieu de la pièce.

Parfois d’autres femmes que Mathilda avait connues dans ce qui est désormais une autre vie, ce joignait a ce dressage.

Le pire pour elle, fut de voir Selma passez petits à petits de la pure obéissance au plaisir évident à ces jeux saphiques. En quelques semaines Selma devient une experte capable de satisfaire de n’importe qu’elle manière n’importe qu’elles femmes et surement mieux encore que ses initiatrices.

Un jour Katherine dis à Mathilda «  nous allons changer de jeux aujourd’hui et la tu vas vraiment subir ce qui serait ta pire humiliation, du moins pour le moment » en disant elle avait un rictus diabolique aux lèvres.

Effectivement nulle trace de femmes dans la pièce ni de Selma, par contre le Juge était la accompagné du fils de Mathilda. Trois hommes nus, portant un masque étaient sur le matelas.

« Bonjour, Monsieur Le Juge, alors ce dressage ? «  demanda Katherine.

« Bonjour,   chère Marquise, je vous laisse juger par vous-même », dit-il en souriant. 

D’un claquement de doigts, le juge désigna les trois hommes à Aymeric qui s’empressât de les  rejoindrent.

D’entrée la pauvre Mathilde  compris que son fils avait comme sa sœur pris gout aux relations homosexuelles, il prit en bouche un des hommes, masturbant les deux autres, puis l’un d’eux le sodomisa et sans la moindre hésitation il prit ce sexe gluant et sale dans sa bouche pour le nettoyer.

Il  ne fut pas que passif dans ces  jeux, mais eu aussi un rôle actif l’un des hommes ce faisant prendre par Aymeric. Mathilda en fut étonnée.

« Un esclave doit savoir donner du plaisir à son maitre ou à sa maitresse, peu importe comment » murmurait Olga à l’oreille de Mathilda qui ne l’avait pas vu arrivé. Ce ne fut ensuite que corps mêler dans un déchainement  de plaisirs sans aucune retenue.

Katherine signifia la fin des jeux « Demain cela sert le grand final. » Déclara-t-elle.