Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 09:49

J’aime dézinguer le cul des petites Pouffiasses de ton espèce. Leur péter l’anus. Alors Pétasse, tu fais moins la maligne, hein ? T’aimes te faire dilater le trou du cul par ton Maître, hein que t’aimes ça, te faire pistonner le trou de balle ?" "Oui Maître, mais est-ce que je dois aussi vous bouffer les couilles avant de vous prendre en bouche et de vous pomper la bite (queue) dans ma bouche de pipeuse ?" "Oui, et gobe-moi les couilles au passage. C’est ça, gobe la sucette. Tète le biberon mon bébé." "Je suis la bonne petite Pute à son Maître : une bonne petite esclave soumise, docile et obéissante prête à être violée de force par l’anus (le cul) pour satisfaire tous les désirs de son Maître. Alors ne me battez pas, s’il vous plaît Monsieur."

Puis, lui montrant un redoutable gode mou à poignée qu’Il agite sous son nez : "Bon aller, ta gueule ! Je suis désolé de te dire ça mais il est temps que tu goûtes au Supplice du Pal. Je vais t’exploser le trou du cul. Tu vas déguster Pouffiasse. Je vais devoir t’enfoncer ce pieu épais dans le rectum pour t’empaler dessus jusqu’au fond du cul. Je vais faire une véritable brochette de pouffiasse avec ce truc. Tu vas enfin savoir ce que c’est que de se faire réellement embrocher et dilater la rondelle (le petit trou)." Sodomos : apeurée, en Position d’Offrande, allongée sur le ventre, totalement impuissante, un coussin placé sous le bassin pour surélever sa croupe, les poignets liés dans le dos en haut des fesses et les chevilles ligotées à un manche à balais en position écartées. « Je vous en prie, Maître, j’accepte tout, mais faites doucement et lubrifiez-moi, s’il vous plaît. » Son Maître donna un léger coup de gode sur les lèvres de son souffre-douleur : « Avec ta salive ! » Le Maître poussa, forçant Sodomos à desserrer les dents. Il enfonça la moitié du gode dans la bouche de la prisonnière. « N’hésite pas à l’humecter abondamment si tu veux que je te l’introduise sans trop de douleur dans le cul ». A entendre les bruits de déglutition entre ses joues, Sodomos prenait l’avertissement très au sérieux. Passant derrière Sodomos qui se crispa en sentant l’extrémité de la fausse queue effleurer son entre-fesse,  le Maître la taquina : « Tu as intérêt à te détendre sinon tu auras encore plus mal ». Sodomos s’efforça de suivre la consigne, mais de toute évidence, elle avait du mal. Elle ne put retenir un léger cri apeuré quand le gros gland de plastique se posa sur sa rondelle. Le Maître, à deux mains, poussait sur le gode. Sous la pesée, l’anus de Sodomos se dilatait progressivement. En larmes et le souffle coupé pendant les vigoureux coups de boutoirs de cette longue et laborieuse sodomie, ses orteils se crispant spasmodiquement sous l’effet de la douleur.

Ensuite, fouettée au martinet et à la cravache, le gode épais toujours profondément enfoncé dans le cul (rectum), debout chevilles ligotées serrées et poignets liés dans le dos en haut des fesses. Puis, pieds en dedans légèrement écartés, penchée en avant à 65 degrés la croupe bien cambrée. Et enfin, en équilibre sur un pied, forcée de sautiller sur une patte : l’autre jambe relevée en arrière et ligotée à sa nuque avec ses poignets, presque pendue par sa laisse dont la poignée était fixée à un crochet du plafond. D’une voix étranglée, Sodomos doit compter les coups de fouet  entre deux sanglots.

Enfin, placé derrière elle à quatre pattes et lui tapant douloureusement ses couilles toutes lisses à coups de gifles, son Maître la force à Le supplier à voix haute de bien vouloir l’enculer. « Non, pitié, je vous en supplie : pas le puching-couilles !!! ». Sous la douleur, à bout de forces et en larmes, Sodomos se résigne enfin : « D’accord, Maître. Sodomez-moi, mais je vous en supplie, arrêtez de me battre les couilles ! Vous me faites mal, c’est une torture insupportable, je vais m’évanouir ! »

Pour finir, Sodomos dormira sur le ventre, bâillonnée, aux pieds de son Maître, sur une paillasse, les poignets liés dans le dos, les chevilles ligotées ensemble au pied de son lit, sans défense, empalée par le gros godemiché souple qu’Il lui a introduit de force dans le rectum sans lui demander son avis, tout en lui fouettant rageusement la plante des pieds avant de s’endormir, tandis que le pieu enfoncé dans son cul meurtri de toutes parts par les mauvais traitements endurés, lui dilate douloureusement l'anus pour le reste de la nuit.

Le lendemain matin, Sodomos se réveilla en sursaut avec quelque chose dans la bouche qui n’était pas son pouce et autre chose dans le cul qui n’était pas à elle non plus. Et au petit déjeuner, elle fut encore bonne pour accomplir le service : "Monsieur … Maître, votre petit déjeuner est servi." Sauf que le menu ne comprenait que sa petite bite ridicule, sa mignonne petite paire de couilles bien épilées et son trou du cul qui avait pourtant déjà été copieusement malmené toute la nuit durant. Son Maître étant affamé par les efforts de la veille, Il les lui tartina tous les trois généreusement de confiture, de miel et de crème chantilly avant de les lui bouffer longuement  avec appétit, pour accompagner son café.

Comble de la honte, Sodomos fut ensuite conduite en laisse dans le jardin et contrainte à coups de fouet sur le cul de déféquer laborieusement à quatre pattes, dans l’herbe humide de la rosée matinale, sous les yeux narquois de son Maître, hilare qui lui pissait longuement sur la rondelle pour lui nettoyer son trou du cul malpropre. Avant de la faire redescendre à la cave et placer toujours à quatre pattes dans la paille et la poussière …

« Bien, quand t‘auras fini de te nettoyer ton cul de petite pouffiasse avec l’éponge et ce seau de pisse, tu t‘attacheras aux barreaux du lit et aux poutres du plafond. En attendant, moi, je vais sortir faire des courses. N’essaye pas de te barrer : t’es enfermée à clé. Tâche de composer un tableau érotique ! T’as des godes, des menottes et un bâillon sur la table, pour la « décoration ». Si quand je reviens, je ne suis pas excité par ce que vois, je te sodomiserai à sec avec un saucisson gros comme ton avant-bras, sans te tartiner le trou du cul avec du beurre, fais-moi confiance. Et je te forcerai à le bouffer, après ! »

Une fois seule, dépitée et en larmes, Sodomos entreprend de s’auto-bondager au moyen des cordes mises à sa disposition par son Maître. Rapidement bâillonnée par ses propres soins, menottée les mains derrière le dos et ligotée sur le lit, assise adossée contre un coussin, Sodomos a maintenant les pattes largement écartées, jambes tendues et ficelées au plafond, vêtue de ses seuls bas-résille et talons-aiguilles, la bite pendante vers son anus largement exposé, entrouvert et humide (trempé) de désir. Elle est également à moitié étranglée par sa laisse, dont elle a fixé la poignée à un crochet visiblement là pour ça, scellé au mur derrière elle. Entre ses cuisses, gisant bien en évidence sur le matelas, divers instruments de sévices épars : un buttplug en forme de bite très trapue, un crochet à boule en acier, un long gode mou à poignée de couleur noire ainsi qu’un énorme pony butt plug en acier poli tellement gros qu’il faudrait sans doute tirer dessus à pleine mains pour parvenir à l’extirper de son écrin de chair.

Sortie de sa léthargie par un bruit sourd, après deux bonnes heures d’attente, Sodomos – qui s’était assoupie – entend à nouveau des bruits de pas dans la maison. Son Maître semble de retour. Malheureusement, Il n’est pas seul. Il rentre, accompagné de plusieurs comparses riant grassement à ses blagues grivoises. En les apercevant en file indienne, dans la pénombre, descendre précautionneusement les marches de l’escalier menant à sa cave, Sodomos ne peut réprimer un cri de stupeur aussitôt étouffé par son bâillon. Elle s’agite alors désespérément mais en vain, dans les liens qu’elle a elle-même solidement noués (par peur du saucisson) et tente d’ânonner dans son bâillon quelques suppliques désespérées et incompréhensibles, inaudibles pour son auditoire, visiblement surpris et médusé par une telle aubaine.

« Voilà les gars, c’est ma petite pétasse sexuelle attitrée. Ma petite Pute à Bite. Je lui ai demandé de s’autobondager pendant que j’allais faire les courses. C’est elle qui a tout mis en scène comme ça. Ça doit faire deux bonnes heures qu’elle mijote dans son jus d’anus. Le problème, c’est que malgré mes viols répétés, cette petite pouffiasse est affamée de bites. D’ailleurs, regardez, elle a encore une fois le trou de cul qui dégouline de mouille, ou de sperme, je ne sais pas trop. Par contre, ce que vous ne savez pas, c’est que si elle se faisait certainement une joie de m’entendre enfin arriver, elle est visiblement désagréablement surprise et très contrariée de vous voir débarquer ici, les gars. Alors Zoubida, on n’est pas contente d’avoir de la visite ? Regardez comme c’est touchant : elle baisse les yeux et rougit, on dirait qu’elle est morte de honte à l’idée que vous puissiez la reluquer ainsi. Faut croire qu’il lui restait encore un semblant de pudeur, à cette petite dévergondée. Ben alors, qu’est-ce qui t’arrive Zoubida ? Si tu t’es accoutrée comme ça, comme une petite pute c’est que tu voulais sucer de la grosse bite et être enculée, non ? A moins que ce ne soit dans l’autre sens, d’abord te faire sodomiser à sec avant de bouffer de la grosse bite malpropre, hein, petite vicieuse ? T’as envie de sodomie ? Et bien tu vas être servie. Mais à une seule condition : que tu la réclames à corps et à cris. Et va falloir nous supplier, ma pétasse. Pigé ? Regardez, l’effet de mes menaces commence à la faire bander, cette petite pute. Elle a la bite qui commence à gonfler. Il faut leur traire la bite, au moins une fois par jour, sinon, ces pétasses essaient de se caresser en cachette. Moi, je lui fais même boire sa propre semence souillée : injectée puis expulsée de son anus. Au début, elle fait la mijaurée dégoutée mais en réalité, elle adore être humiliée en public comme ça. Ca les calme et ça les remet à leur place. Faut qu’elles gardent le goût du sperme souillé en bouche, ces bonniches.»

« Bon détachez-la du plafond et retournez-moi cette pute sur le ventre. Laissez-lui les mains menottées derrière le dos et entravez-lui les chevilles bien serrées avec la corde. Parfait. Maintenant écoute-moi bien Zoubida : si tu veux que je te sodomise à fond devant ces messieurs il va falloir le réclamer énergiquement. Et arrête de bafouiller dans ton bâillon, on ne comprend rien. Si tu as une envie de bites, tu n’as qu’à gigoter et tortiller un peu du cul ou t’écarter les fesses, on comprendra. Non ? Tu ne veux pas lever ton cul en l’air en signe de supplique et de soumission ? »

« Honhon. Hon. HI hou haî. Hihié »

« Bien, tant pis. Dans ce cas, il nous reste la carotte et le bâton. De toutes façons, c’est comme ça que ça a toujours marché avec toi, y’a que comme ça que ça que tu comprends  … »

« Très bien, les gars. Détachez-lui les chevilles mais laissez-la allongée sur le ventre. Écartez-lui les pattes, jambes tendues, au maximum et maintenez-la comme ça fermement. On va d’abord essayer la méthode douce : je vais lui chatouiller le trou du cul et les couilles avec cette plume de paon jusqu’à ce qu’elle nous supplie de l’enculer avec les godes en levant son cul en l’air et en tortillant de l’anus. »

(…)

« Alors, toujours pudique, à ce que je vois ? Visiblement, tu as décidé de me contrarier. Dans ce cas, nous allons passer à la manière forte : je vais te fouetter le cul à la cravache, jusqu’à ce que tu abdiques et que tu te résignes à être engodée devant ces messieurs. »

« Honhon. Hon. HI hou haî. Hihié »

(…)

« Ah, ça y est, on redevient plus docile et on cesse enfin les minauderies stupides ? A la bonne heure. En récompense, tu as gagné les trois plus petits. Le gode à poignée, ce sera pour tout à l’heure. Mais nous te reposerons la question qui fâche… Bon, qui veut sodomiser cette pute avec les buttplugs ? Je suis sûr qu’au fond d’elle-même, elle en meurt d’envie. »

« Humpf !!! (…) Plop. Tozzz »

« Alors, tu vois que ce n’était pas si terrible en fin de compte. Pourquoi avoir fait tant de manières ? Bien, maintenant Zoubida (toujours bâillonnée), tu dois me supplier de t’enculer devant les autres, mais avec le long gode à poignée, cette fois. La procédure ne change pas : si tu es consentante, lève ta croupe en l’air et tortille du cul en tapant tes plantes de pieds l’une contre l’autre pour manifester ton désir de soumission. »

« Honhon. Hon. HI hou haî. Hihié »

« Décidément, je ne comprendrais jamais rien à cette pétasse. Puis que c’est comme ça, collez-lui les chevilles ensembles, je vais lui fouetter la plante des pieds au martinet jusqu’à ce que cette garce devienne enfin plus raisonnable. »

« Honhon. Hon. HI hou haî. Hihié »

(…)

« Ah, ça y est ? A la bonne heure ».

« Humpf !!! Rhhaaa !!! (…) Plop. Tozzz »

« Patience Zoubida, ton calvaire est presque fini. Tu es une GROSSE cochonne et comme tu peux le voir, ces messieurs sont très excités par toutes ces péripéties. Pas vrai, messieurs ? Tu vois, ils aimeraient bien se vider les couilles en te violant en groupe par le cul. Alors, vas-tu encore te faire prier, pour pomper ces gaillards avec ton cul, et te faire remplir le rectum de sperme ? Aller, pas de fausse pudeur entre nous Zoubida, tortille du cul pour me supplier de te laisser pomper ces messieurs avec ton petit trou ; aller, gigote. Attention Conchita, je ne vois pas gigoter ta bite. »

(…)

« Honhon. Hon. HI hou haî. Hihié »

« Décidément, encore des chichis. Je suis consterné : cette salope est vraiment conne à manger du foin. Tout ça pour ne pas montrer à des inconnus qu’elle adore jouir par l’anus … Lâchez-lui les pieds, foutez-la à quatre pattes sur le matelas et enlevez-lui son bâillon, elle n’en aura plus besoin pour nous supplier de la violer à la chaîne par le cul. Je vais lui battre les couilles à coups de gifles jusqu’à ce qu’elle abdique et devienne enfin plus coopérative. Hein, la pute, on va jouer à Tape-Tes-Couilles. »

« Aller, à quatre pattes, la Pute. Les genoux bien écartés ! C’est le moment pour les petites pétasses récalcitrantes de se faire taper les couilles. »

« Non, pitié Maître, de grâce, je vous en supplie : ne jouez pas à Tape-Mes-Couilles ! Je vais encore m’évanouir … »

(…)

Enfin, placé derrière elle à quatre pattes et lui tapant douloureusement les couilles à coups de gifles, son Maître la force à Le supplier à voix haute de bien vouloir l’enculer. Sous la douleur, à bout de forces et en larmes, Sodomos se résigne enfin : « D’accord, Maître. Sodomisez-moi à la chaîne, mais je vous en supplie, arrêtez de me battre les couilles ! Vous me faites mal, c’est une torture insupportable, je vais m’évanouir ! »

« Et bien enfin, ce n’est pas trop tôt ! A quatre pattes, Pouffiasse. Y’a Grosse Bite et Pénis de Cheval qui ont envie de t’empaler comme une chienne. On va te foutre un homme bien membré dans le cul et une grosse bite dans la bouche. Qui d’autre veut défoncer le petit trou de cette petite Pute à Bite ? Je crois qu’elle a envie de se faire ramoner le cul … Aller Pompe à Sperme, à quatre pattes, y’a Grosse Bite qui veut s’introduire en toi pour se vider les couilles. Je te garantis qu’elles sont bien pleines : ça fait au moins deux semaines qu’il n’a violé personne. Aller Pompe à Couilles, pompe-le bien avec ton petit trou, fait le décharger au fond de ton cul. Tu vas voir, sa semence est généreuse : je ne serais pas surpris que le trop-plein de foutre dégouline de ta rondelle en feu. » (Oh, mon Dieu, aidez-moi : comment ai-je pu en arriver là ? Je suis à poil, à quatre pattes devant une équipe de foot. Y’en a deux qui sont en train de me troncher comme une pute. J’ai une bite dans la bouche et un gros pénis qui me sonde le rectum et me dilate douloureusement l’anus. Et il y a les sept autres qui font la queue. Ca ne s’arrêtera jamais. Oh mon Dieu, non, qu’est-ce qui m’arrive ? Il est en train de jouir dans ma bouche. Non, pas ça. Oh non, je suis en train d’avaler du sperme. Et l’autre qui est en train de venir dans mon cul, en plus. Oh, c’est tout gluant. C’est poisseux, ça me colle de partout. Oh, je sens que ça coule. Non pas devant eux, oh, c’est dégoutant, ils vont me faire gober tout le sperme qui va sortir de mon cul.).

« Humpf !!! Rhhaaa !!! (…) Plop. Tozzz »

Toute la matinée Sodomos sera donc longuement violée par le cul dans toutes les positions et sodomisée de force avant une fellation des plus humiliantes (bite encore « fumante »). Elle se fera alors dézinguer le cul dans toutes les postures possibles et imaginables, se faisant polluer l’anus par les huit hommes de main de son Maître, dans des positions toutes plus dégradantes les unes que les autres :

 

D’abord, allongée sur le dos, jambes repliées contre sa poitrine, son Maître couché sur elle l’écrasant de tout son poids comme un gros porc. Puis, couchée sur le côté une jambe dressée vers le ciel, un second larron, prenant place à genoux entre ses jambes, lui astiquant consciencieusement le fondement avec sa grosse bite malpropre. Ensuite, allongée sur le dos, jambes tendues relevées vers le ciel, un autre, debout au bord du lit face à elle, lui pistonnant à nouveau énergiquement le trou du cul en lui saisissant les chevilles et la bite. Plus tard, allongé sur le dos pour se reposer, la saisissant à deux mains au niveau des reins, un quatrième agresseur l’assoit enfilée sur son membre épais, elle, lui tournant le dos et se penchant vers l’avant pour lui faire décharger violemment sa semence visqueuse et généreuse dans son anus maintenant en feu à cause de tous ces frottements. Puis, remise debout sans autre forme de cérémonie, Sodomos doit se pencher en avant jusqu’à ce que ses mains touchent par terre, en conservant les jambes et les bras tendus pendant que son cinquième violeur continue de s’activer inlassablement derrière elle dans son cul. Ensuite, son Maître la fait mettre à quatre pattes en Position d’Attente comme une chienne en chaleur, et l’étrangle à deux mains pendant qu’à genoux derrière elle, un sixième complice lui ramone douloureusement le rectum. Enfin, une ignoble brute la place à genoux le visage plaqué vers le sol en Position d’Offrande, et le dos bien cambré avant de prendre sa place préférée derrière elle pour lui pilonner à nouveau sans pitié son conduit étroit. Avant de conclure pour l’achever en l’allongeant sur le ventre jambes écartées, le dernier fumier, à genoux derrière elle. Dans un sanglot : "Est-ce que je suis bonne Pétasse, bonne Pouffiasse Maître ?" "Oui, je crois qu’à la réflexion, je vais te garder un peu : dorénavant, et jusqu'à nouvel ordre, tu seras ma petite salope sexuelle attitrée".

Enfin, après avoir congédié tous ses complices, le Maître suspend Sodomos au plafond comme une outre, les quatre fers en l’air, à deux gros crochets fixés à une poutre, au moyen de ses anneaux de cuir de poignets et de chevilles, afin qu’elle se vide le rectum de tout le sperme qui lui a copieusement inondé les boyaux. Malgré sa pudeur, Sodomos – honteuse – ne peut éviter les bruit de gaz humiliants qui accompagnent un long et épais filet de sperme visqueux et souillé, dégoulinant lentement de son trou du cul, pour aller couler dans un bol tenu par son Maître. « Attendez, les gars, ne partez pas tout de suite, qui veut laper le petit trou gluant de cette pute ? ». Et pendant qu’une horde de bouches voraces entreprennent de se rassasier en lui lapant son trou de balle dégoulinant, Sodomos est – à sa plus grande honte – contrainte et forcée d’avaler un bol entier de sperme souillé par son jus d'anus gluant.

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : SM: Domination/Soumission
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