Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 10:00


QUELQUES SÉVICES BIEN EMBARRASSANTS POUR UN ESCLAVE SODOMITE, DOCILE, VULNÉRABLE, SOUMIS ET OBÉISSANT, LIGOTÉ ET RÉDUIT A L’IMPUISSANCE LA PLUS HUMILIANTE PAR UN PERVERS SEXUEL DIABOLIQUE

Ce récit décrit le calvaire enduré par un jeune homme enlevé, séquestré, féminisée. Alors qu’il marchait pour oublier le stress causé par ses examens, une luxueuse berline noire s’arrêta devant lui. Un homme enrobé se pencha à la fenêtre, prétextant demander son chemin et le complimenta sur son bronzage. Il discuta un moment avec lui puis lui demanda s’il voulait partager quelques bières en se promenant en ville. Tout heureux de cette rencontre providentielle, l’étudiant monta dans la voiture et accepta la canette que lui tendait ce nouvel ami. Quelques minutes plus tard, alors qu’ils discutaient tranquillement, l’homme se jeta sur lui et lui plaqua un chiffon imbibé de chloroforme sur le visage. Il perdit alors rapidement conscience et n’ouvrit les yeux que brièvement, un peu plus tard, alors que la voiture roulait le long des rues. Hagard, il ne parvint pas à comprendre où il allait, ni ce qui lui arrivait : la main du conducteur s’était introduite sous son pantalon, dans son slip et lui palpait brutalement le sexe, fouillant entre ses fesses, vers son anus. L’homme remarqua qu’il était réveillé et l’endormit de nouveau avec le chloroforme. Lorsqu’il reprit conscience, il réalisa qu’il était à l’intérieur d’une maison, dans une chambre où étaient accrochées des photos de jeunes hommes ligotés, dans le plus simple appareil. Sa tête et ses mains étaient attachées à une sorte de pilori médiéval en bois et on l’avait visiblement déshabillé durant son sommeil. Son agresseur aussi, était nu devant lui. Il pointa vers lui l’un des godemichés de tailles différentes étalés sur le sol ainsi que des fouets en cuir, et expliqua qu’Il allait les utiliser sur lui. Ce soir-là, il fut brutalement violé, torturé et chloroformé par son kidnappeur, des heures durant. Le lendemain, en fin de matinée, il se réveilla, habillée en pute, réduite à l’état d’esclave soumise et docile, il sera finalement vendue, transportée dans le coffre d’une voiture, humiliée et violée dans un bois. Durant les séances de son dressage, son Maître ne l’appellerait plus que : "Sodomos, Pétasse, Pouffiasse, Salope, sale petite pute, sale chienne,  Conchita ou Zoubida." Une fois dressée et parfaitement obéissante, Sodomos sera finalement prostituée : contrainte de sonner la nuit, déguisée en femme, aux adresses indiquées par son Maître. Malgré la bite et la paire de couilles (parfaitement épilées) qui pendent entre ses jambes, Sodomos ne peut ni fuir ni se dérober : en effet, des films insoutenables la montrant en fâcheuse posture ont été tournés à son insu pendant ses longues journées de dressage. Certains de ces viols en bandes, filmés, la montrent même à quatre pattes, en train de jouir durant l’administration de châtiments corporels extrêmement sévères et cruels, un homme dans sa bouche et un deuxième entre ses fesses. En se réfugiant sous la protection de la police, des colis anonymes informeraient inéluctablement les enquêteurs, sa famille et ses professeurs qu’elle était consentante durant l’administration de ces sévices sexuels. Résignée, Sodomos ne peut donc qu’obéir à ses Propriétaires successifs, essayer de trouver du plaisir dans son asservissement et prendre goût aux nombreux viols et mauvais traitements qui l’attendent … Nous la retrouvons ici lors de sa première sortie "tarifée", après sa longue et cruelle période de dressage.

 

Après avoir sonné à la porte de la lugubre masure, Sodomos découvre le visage menaçant du sinistre colosse qui n’allait pas tarder à devenir son geôlier et son bourreau d’une nuit : « Bonsoir Maître, je suis la petite Pute à Bite tout juste bonne à être violée par le cul que Vous avez commandée pour la nuit. Je fais ce travail parce que j’ai des dettes. Aujourd’hui, ce soir, avec Vous, c’est ma première fois … ». « C'est ça, et moi, je suis Mère Térésa. Epargne-moi ton couplet sur la vierge effarouchée, je sais parfaitement que tu es venue te faire empétasser. Ne t'inquiète pas, je vais faire de toi une bonne petite pouffiasse sodomite. Tu vas te faire troncher par le cul dans toutes les positions et je te garantis que tu me supplieras ensuite de te laisser nettoyer ma bite avec ta bouche. » La faisant entrer, le Maître exige qu’elle se déshabille intégralement le bas du corps, lui ordonnant de conserver toutefois ses talons-aiguilles roses dont les lanières croisées se laçaient autour des mollets, ainsi que ses bas résilles. Affublée de sa perruque de rousse et maquillée outrancièrement, Sodomos se voit ordonner sèchement d’enfiler une minijupe rose tellement courte qu’elle ne lui arrive qu’au ras du cul, laissant apparaître lorsqu’elle se penche en avant, une touffe de poils sombres au niveau de l’anus et une paire de couilles bien rebondies, parfaitement lisses. Ainsi apprêtée comme une petite putain, son Maître lui fixe alors une laisse au collier de cuir de sa nuque avant de la promener docilement à quatre pattes comme une chienne, en direction de la cave. D’autres anneaux en cuir munis de clochettes entourent ses poignets et ses chevilles. Avec précaution, toujours tenue en laisse et accoutrée comme une pute, Sodomos descend à quatre pattes l’escalier menant à la cave. Descendant derrière elle, son Maître lui lorgne le cul à la lueur d’une bougie. La lumière vacillante de la flamme donne une expression inquiétante à son visage lubrique. Là, elle découvre un vaste et sombre cachot humide, aux murs de pierres éclairés par des torches …

« Bon, écoute-moi bien la Pute : quand je m’adresserai à toi, j’aurai l’habitude te t’affubler de petits noms charmants. Mais chacun de ces sobriquets renvoie en réalité à un commandement très précis. Est-ce que tu comprends ce que je raconte ou est-ce que je dois te sodomiser avec un concombre pour t’aider à réfléchir ? »

« Oui Maître, je comprends, pitié, ne me violez pas, s’il vous plaît, sob ».

« Bien, parfait Pétasse. Ainsi, lorsque je dis Position du Prisonnier, tu dois te foutre à plat ventre, poignets liés dans le dos et chevilles ligotées l’une à l’autre en position serrée. Si je te dis Cul en l’air ou Position d’Offrande, tu devras te placer visage plaqué au sol, la croupe bien en l’air, le cul bien cambré, les genoux serrés mais les pieds largement écartés, les orteils placés en dedans pour bien te dilater le trou du cul, dans une attitude de disponibilité sexuelle et anale. Pigé ? »

« Oui Maître ».

« Bon, récapitulons pour voir si tu as bien retenu mes ordres. Je veux que tu obéisses immédiatement, au doigt et à l’œil, sans rechigner, comme une bonne petite chienne docile. Compris ? Si je dis Pieds d’Esclave, tu dois te mettre à quatre pattes, et me tendre tes pieds pour que je te les bouffe et que je te gobe les orteils. Si je t’appelle Bite d’Esclave ou Paire de Couilles, ou Jus à Bite, c’est que j’ai envie de te bouffer ta petite queue de travelo, ou de te gober tes mignonnes petites couilles, toutes lisses.

Dans ce cas, le mieux c’est que tu te mettes à quatre pattes en Position d’Attente. Je peux aussi vouloir simplement te traire la bite. Si je t’appelle Bouche de Pipeuse ou Bouche à Bites, je veux que tu te jettes sur ma bite, que tu me prennes en bouche et que tu me pompes goulûment la queue, avec enthousiasme. Si je dis Dégustation de trou du cul, je veux que tu te places en Position d’Offrande. Prête à te faire bouffer le cul voracement et fouiller l’anus avec ma langue. Si je t’appelle Doigt dans le cul, c’est que je veux que tu te places à quatre pattes en Position d’Attente pour te faire sonder le trou de balle, ou allongée sur le ventre dans la Position du Prisonnier de façon à ce que je te doigte le cul énergiquement. Si je t’appelle Cul à Bites ou Bite dans le Cul, c’est que je veux que tu te places à plat ventre en Position du Prisonnier ou en Position d’Offrande parce que j’ai envie de me vider les couilles en te sodomisant. Pigé, la Pute ? »

« Oui, Maître. »

"Bien, maintenant, je veux que tu marches tout autour de la pièce, les pieds en dedans, avec tes talons-aiguilles Salope ! Rentre les orteils. Bon, maintenant écarte-toi bien les fesses à pleines mains : je veux voir l’intérieur de ton rectum. N’hésite pas à te foutre un doigt. Lascivement, ça mange pas de pain. Sans cesser de marcher Salope ! C’est bien, continue de déambuler comme ça dans la pièce en te tenant les fesses à pleines mains. J’aime te voir dans des postures grotesques comme ça." Puis le Maître la contraint à prendre et à garder différentes poses toutes plus humiliantes les unes que les autres, avant de l’inspecter sous toutes les coutures : Il lui palpe les fesses, lui soupèse ses petites couilles parfaitement épilées et lisses et lui hume le trou du cul. « Je reconnais que tu as un beau petit Cul à Bites et un délicieux parfum d’anus, ma Salope. T’as dû en enfiler des queues dans ton petit trou, pendant ton dressage, je me trompe ? » « Non, Maître, je n’ai encore jamais été outragée à cet endroit-là. » « C’est vrai ce mensonge ? Si c’est le cas, je te garantis que tu ne perds rien pour attendre ma Salope ! ».

Mettant en marche une installation Hi-fi, son Maître exige alors de Sodomos qu’elle entreprenne une danse lascive entrecoupée de positions obscènes, vêtue de ses seuls bas et talons-aiguilles, sur de la musique choisie par Lui. "Avec entrain ! Je veux te voir gigoter de la bite." "C'est bon, ça suffit Conchita, maintenant allonge-toi sur le dos, gobe-toi les orteils et lèche-toi la plante des pieds d’un air langoureux en prenant des poses lascives." Puis le Maître la fait ensuite longuement attendre à quatre pattes tout en lui reluquant le cul et la bite. « Reste à quatre pattes, écarte bien les fesses, je veux juger de la souplesse et de l’élasticité de ton anus. J’espère que tu es bien étroite : j’aime me faire pomper la queue par des Putes à Bite qui ont le trou de balle bien serré. Mais c’est qu’elle mouille du cul cette Pétasse ! Bouffe-moi les pieds Pouffiasse ! En me gobant les orteils, montre-moi comment tu t’y prendrais pour bouffer une bite. Aller, au travail ! Lèche-moi les pieds. Oui, comme ça, mordille-moi bien. »

Puis, pour punir Sodomos d'avoir tenté de l’aguicher avec sa langue, le Maître décide de la fesser violemment  pendant qu’elle compte les claques à voix haute, dans des positions terriblement humiliantes :

 

D’abord, debout jambes serrées, chevilles ligotées ensembles, poignets liés entre eux devant elle, contre sa petite bite pendante. Ensuite, toujours debout, pieds en dedans un peu écartés, légèrement penchée en avant, les mains en appui sur le dossier d’un imposant fauteuil en cuir et sa croupe impudique bien cambrée, offerte au regard lubrique de son Maître. Puis, remise debout sans cérémonie, elle doit se pencher en avant jusqu’à ce que ses mains touchent par terre, en conservant les jambes et les bras tendus. Ensuite, Il la fait mettre à quatre pattes, le cul en l’air. Puis, Il la place à genoux, le visage plaqué vers le sol, et le dos bien cambré avant de reprendre sa place préférée derrière elle en lui empoignant  les couilles d’une main, et en lui flagellant à nouveau sans pitié de l’autre, les parties les plus intimes et les plus sensibles de sa croupe. Enfin, le Maître l'allonge sur le ventre les reins bien cambrés, un coussin placé sous le pubis, les jambes serrées ou ... un peu écartées. Lui, à genoux derrière elle. Avant de conclure, en recevant les dernières claques allongée sur le dos, jambes relevées vers le plafond.

Après cette longue et cuisante fessée qui l'a laissée en sanglots, les fesses écarlates et les couilles toutes meurtries et douloureuses, Sodomos voit revenir son Propriétaire avec un thermomètre médical. Pour mesurer l’effet de son châtiment, Il souhaite en effet lui prendre la température dans des positions très humiliantes. "Oh ! Mais … qu’est-ce que vous me faites ?" Allongée sur le ventre un coussin placé sous le pubis pour surélever sa croupe, poignets liés dans le dos en haut des fesses et chevilles serrées ligotées l’une à l’autre, les pieds en dedans et le cul bien cambré. Sodomos se voit alors rappeler que dorénavant cette position serait nommée Position d’Offrande. Puis sur le ventre, chaque cheville (ou gros orteil) ligoté à la nuque en position repliée écartée pour bien lui dilater le trou de balle. Enfin, son forfait accompli, à des fins de nettoyage, son Maître termine en lui plongeant autoritairement l'instrument médical souillé dans la bouche, malgré ses véhémentes protestations.

"Bien, maintenant la Pute, mets-toi à quatre pattes et cambre bien la croupe, je veux te mordiller les couilles et te bouffer le cul pour t’apprendre à essayer d’exciter ton Maître avec des propositions indécentes alors qu’Il ne t’avait rien demandé. " « Non, s’il vous plaît Monsieur, pas Dégustation-de-Mes-Couilles, ça me fait trop mal ». « C’est bon, maintenant fous-toi à quatre pattes en cambrant bien le cul, sale Pute ! Écarte tes pieds au maximum, mais garde les genoux collés l’un à l’autre. Place tes orteils en dedans, pour que ça t’ouvre bien le trou de balle. Dorénavant cette position s’appellera Position d’Attente. Pigé Zoubida ? Ouvre-toi bien. Mieux que ça : je veux voir l’intérieur de ton rectum. Cambre ton cul, je t’ai dit ! Parfait, je vais te battre les couilles dans cette position pour t’apprendre à avoir été insolente en contestant mes punitions."

"Aller, maintenant il est l’heure de se faire doigter le cul, Pouffiasse. Tu dois t’en douter, j’aime bien forcer le trou du cul des petites salopes récalcitrantes et insolentes de ton espèce pour leur sonder le rectum. Et j’ai comme l’impression que t’es du genre à mieux réfléchir avec un doigt dans le cul. Qu’en penses-tu, je me trompe ?" « Oh ! Mais … qu’est-ce que vous me faites ? Humpf ! Noooon !!! Pas ça ! Pas là ! Au secours, à l’aide, au viol, aidez-moi. Je suis innocente, je n’ai rien fait. Ce n’est pas moi, je vous le jure. Je ne recommencerai plus, c’est promis. » (Oh ! … Doigt dans le cuuuul ! Mon Dieu, je suis en train de me faire sodomiser en public devant tout le monde et personne n’intervient … Sob.) "Ta gueule Pétasse de Sainte n’y touche. Malgré tes airs de ne pas y goûter, je suis sûr que tu adores ça. Hein que tu voulais te faire ramoner l’anus par ton Maître, Salope d’Esclave ?" "Oh oui mon bon Maître, avec vous c’est un délice. Sob." Répondit Sodomos, haletante et en larmes. "Attends, c’est pas fini, ouvre le bec Pouffiasse !" "Oh ! Mais c’est sale Maître, vous venez de me sodomiser avec. Non, pas ça, je ne peux pas Maître. C’est dégoutant, vous venez de me le plonger dans le trou du cul." Viol qui a lieu, ligotée, dans les deux mêmes positions que précédemment, avec le thermomètre.

Puis, les poignets liés dans le dos, au commandement de son Maître, Sodomos est obligée de venir s’empaler à sec, assise sur l’imposant majeur dressé de son geôlier avant de se trémousser lascivement dessus, afin d’obéir à ses ordres. Il lui ordonne ensuite sèchement de venir à quatre pattes, s’empaler péniblement à reculons en tortillant et en frétillant du cul sur les deux doigts épais qu’Il lui présente, après les avoir auparavant lascivement lubrifiés de sa bouche gourmande de pipeuse. Dans une succession de petits bruits obscènes de succion et de ventouse, Sodomos entame alors de douloureux et dégradants mouvements de va et vient avec sa croupe impudique. Pour finir, son Maître la tire violemment par sa laisse et la force à lécher à nouveau les deux doigts – encore chauds et gluants  – qui viennent de lui déchirer cruellement le trou du cul.

Goguenard, et comme si cet outrage ne suffisait pas, Il achève de l'humilier complètement en l'obligeant à se doigter le cul elle-même, sous ses yeux avant de la forcer à se lécher langoureusement d’un air lubrique son propre majeur, encore chaud et gluant. C’en est trop, à bout de forces, Sodomos fond en larmes.

Enfin, excité par les sévices qu’Il lui impose, son Maître décide de la violer sauvagement par le cul, avec un Pony buttplug en forme de bite, de force, dans les deux mêmes positions que précédemment, avec pour consigne de résister en contractant son anus de façon à augmenter la douleur de ces tortures. Le souffle coupé, Sodomos est alors parée d’une longue queue de cheval rose prenant racine dans son trou du cul. "Maintenant, je vais te forcer le cul sale Pute. Là, tu vas déguster.

 

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Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : Maitre Gone
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