Lundi 16 août 1 16 /08 /Août 09:15

 PUNITION EN FORÊT

D’une voix sèche, il lui annonce que l’heure et la date du rendez-vous sont modifiées. Il ne la verra pas chez lui mais à l’extérieur, dans un lieu isolé. Elle l’écoute lui donner les indications nécessaires pour trouver l’endroit où il veut la voir. La forêt, qui, au sud de la ville est proche de l’aéroport. Le week-end, par beau temps, elle est assez fréquentée. En semaine, mis à part quelques groupes d’employés qui piquent-niquent sur des emplacements réservés, elle est quasiment déserte…

Elle acquiesce et répète les consignes. Oui, elle a compris. Oui, elle sera ponctuelle.

Sa gorge se serre quand elle entend la suite. Il aborde en effet le chapitre de l’habillement…

- Jupe noire courte, serrée. Corsage noir, en dentelle, transparent. Tu comprends ?

- Oui, Monsieur

- J’en doute. Tu ne comprends pas grand-chose…

- Si, Monsieur. Transparent.

- En clair, on voit tes seins et si tu as besoin de te pencher, on voit ton cul. Mais tu le sais, jamais de culotte avec moi.

- Oui, Monsieur.

- Résilles. Noirs. Talons hauts. Maquillage outrée. Bouche très rouge. Quand tu marches, tu te déhanches.

- Oui, Monsieur.

- Bien, tu ressembles à qui ?

- A une pute.

- Voilà.

Il reste dur et cassant au bout du fil. Elle n’a aucun répit.

-Tu avances vers la clairière que je t’indique et tu te places face au plus gros chaine. Tu remontes ta jupe sur ton cul, tu écartes les jambes et tu attends. Bras le long du corps, yeux fermés. Maintenant écoute.

Il donne encore des précisions qu’elle reformule aussitôt. La mort dans l’âme, elle comprend que si la rencontre se déroule dans un lieu isolé où personne ne la surprendra, il n’en va pas de même du trajet à parcourir…

Elle frémit. Il l’exhibe. Pour la punir.

Elle essaie de ne pas penser aux hommes qui vont la suivre des yeux, accoutrée comme elle sera, et aux quolibets ou aux invites qu’elle recevra. Et si l’un d’eux veut la suivre…

- Bien, France. Demain 15h dans la clairière. Dernier détail. Tu mets le collier avant de te trousser.

- Oui, Monsieur.

Il la salue avec hauteur. Elle tente de respirer lentement pour réprimer son angoisse. Il sera très dur. D’une dureté que ses négligences ne méritent pas. Elle a, c’est vrai, été distraite avec lui ces derniers temps et il n’a pas pardonné. Elle a envoyé en retard un compte rendu de livre qu’il exigeait et, faute plus grave, elle a montré de l’impatience un soir où il l’appelait, pressée qu’elle était de finir un travail pour ses élèves. Depuis cette date, il est irascible. Il a un fixé un rendez-vous qu’il vient de modifier et ce qui s’annonce n’augure rien de bon.

France, malgré tout, travaille tout le jour, fais des courses, retourne chez elle et se laisse absorber par la lecture d’un bon livre et ce qu’elle en retire.

Au terme d’une nuit de sommeil un peu difficile, elle a encore l’énergie de prendre soin de ses élèves. Elle les quitte à l’heure du déjeuner et passe chez elle. Elle est incapable de déjeuner. Alors, elle se met nue et s’inspecte. Ses seins répondent bien. Les pointes en sont vite érectiles. Sa chatte est lisse et blanche. Elle s’allonge tout de même devant un miroir et vérifie, jambes écartées et grandes lèvres ouvertes, qu’elle est suffisamment nette pour échapper à tout reproche. Elle fait quelques enlèvements de duvet, avec un rasoir. Enfin, de nouveau debout, elle contracte et relâche son anus, escomptant qu’il réponde docilement aux sollicitations manuelles comme à l’introduction d’objets ou à la pénétration. Elle sait qu’il apprécie de la sodomiser et qu’il aime la forcer. Il faut donc qu’elle soit dilatée mais pas à l’excès….

Elle serait prête à tester elle-même sa capacité à accueillir mais si elle en vient à être questionnée par lui, elle sera incapable de lui cacher quoi que ce soit et il aura un nouveau motif de punition.

Elle s’abstient donc.

Elle se prépare. D’abord, elle se douche et masse son corps avec une huile parfumée aux délicates notes d’iris et de jasmin. Elle insiste sur les seins, la chatte et les fesses. Elle vérifie l’odeur irréprochable de ses aisselles et entreprend de se vêtir. Le corsage noir est plus transparent qu’elle n’aurait pensé et il dévoile complètement ses seins lourds. La jupe est si courte qu’elle se sent ridicule. Les résilles par contre flattent ses jambes et les talons hauts lui semblent agréables.

Assise devant sa coiffeuse, les fesses directement en contact avec le tabouret, elle applique le crème de jour et le fond de teint puis un fard à paupière gris, en couches épaisses. Elle charge le trait d’eye-liner et allonge ses cils. Puis, elle fait remonter le fard à joues dont la teinte est bien plus rouge que celle qu’elle utilise à l’accoutumée et farde ses lèvres après les avoir dessiné au crayon.

Le résultat l’impressionne. Elle est vraiment trop fardée. Atteinte par une honte diffuse, elle baisse les yeux. Elle va devoir sortie ainsi…

Elle se coiffe longuement quand le téléphone sonne. Elle le sait, c’est Lui.

- Tu es prête.

- Il me reste à me parfumer.

- Tu as choisi quoi ?

- Patchouli…

- Sans excès.

- Bien, Monsieur…

Il enchaine :

- France. Pas d’imperméable ni de veste. Quand tu montes dans ta voiture, tu te penches pour poser ton sac à main. Je souhaite qu’un homme soit dans les parages..Je suis clair ?

- Très clair.

- S’il veut regarder d’un peu plus près, laisse-le s’approcher.

- Oui, Monsieur.

- Monte dans ta voiture. Verrouille les portières et fais en sorte que ta chatte soit visible. Pendant tout le trajet….

- Oui, Monsieur.

- Pars maintenant.

Il raccroche.

France descend dans le parking et croise un homme âgé qui la détaille avec impudeur. Voyant qu’elle ouvre sa voiture, il revient sur ses pas et attend. Elle fait comme demandé et se penche. La jupe remonte découvrant ses fesses amples et nues. L’homme pousse une exclamation et s’approche. France le laisse regarder puis sans lui accorder un regard, monte dans son véhicule. Elle est nouée en remontant sur son ventre et ensuite quand elle démarre. Il y a du monde en ville. Elle voudrait dissimuler ses yeux derrière des lunettes noires mais là aussi, c’est interdit, alors elle se concentre et roule. Tant qu’elle est en zone urbaine, elle se sent malgré son agitation, relativement protégée ; c’est la portion d’autoroute qu’elle doit emprunter qui l’insécurise. Les chauffeurs de camion peuvent la voir…

Elle ignore un premier puis un second ralentissement et des regards insistants qui la scrutent à deux reprises puis, morte de honte, prend une bretelle de sortie et suis le plan donné. Elle a quinze minutes de route, encore. Elle conduit prestement et baisse de temps en temps les yeux pour contempler sa chatte tranquille…Tout va à peu près bien, en fin de compte.

Le parking qu’il a indiqué est désert. France sort de sa voiture après s’être garée et, son sac sur l’épaule, prend l’allée forestière soigneusement décrite au téléphone. Elle est assez large et d’abord vide, elle s’avère tout de même passante. Deux jeunes gens qui font du jogging la croisent sans sourciller. Mais un promeneur nanti d’un chien s’arrête quand elle le croise et l’invective. C’est une sacrée putain qui se promène là. Il demande à voir son cul. France sent ses yeux s’embuer de larmes. En continuant de marcher, elle lève sa jupe. L’homme l’invective encore. Il prendrait bien du temps avec elle, pas trop, juste celui de se vider. Il n’a qu’à l’attendre…Il va lui régler son compte.

Elle accélère le pas et il lui parle encore. Mais elle bifurque brusquement et cette fois, emprunte une sente étroite. Le sol est meuble et ses talons s’enfoncent. Par crainte de l’homme, elle les enlève et marche vite en direction de la clairière qu’elle atteint avant l’heure donnée. La respiration hachée, elle s’arrête face au gros chêne nanti d’une marque rouge et renouvelle son inspection. Elle a transpiré et a sali ses collants. Elle se retient pour ne pas se mordre les lèvres…Une punition de plus…

Elle prend la position demandée et attend, sensible aux bruits de la nature, chants d’oiseaux, murmures des feuillages, feuilles craquantes.

Elle a les fesses tendues et la chatte contractée. Malgré tout, elle doit se l’avouer, elle est légèrement mouillée….

Il met dix minutes à arriver et dès qu’il est là, pose un sac à terre, soulève son corsage et presse ses seins avec force. Ce ne sont pas des caresses mais elle sait qu’elle ne doit pas se plaindre sous peine qu’il pince. Il relâche et presse encore et intensifie ses mouvements. Puis il travaille les mamelons qu’il étire et fait rouler dans ses doigts. Là, elle laisse échapper un gémissement qu’il sanctionne immédiatement en pinçant. Elle sursaute. Il punit. Il poursuit.

Bientôt, elle est débarrassée de son corsage. L’air est un peu frais. Libérés des mains qui, pour l’instant, ont abandonné le pétrissage, ils se dressent malgré tout.

Le Maitre s’active. Il ouvre le sac et en sort une laisse qu’il ajuste au collier. A sa demande, elle se met à quatre pattes. Il lui présente une badine et un fouet de dimension moyenne.

- Propose un chiffre. Un pour le texte remis en retard. Un pour ton attitude au téléphone.

Elle temporise.

- Cinq.

- Hein, cinq ?

- Cinq dans chaque cas…

- Ah, dix ! J’ai failli me fâcher. Seulement, il y a un rectificatif. Dix, oui mais seulement pour le premier objet. Et le second ?

- Alors, dix aussi…

- Mais oui. Maintenant choisis, France. Lequel en premier.

Elle regarde l’un et l’autre des objets punitifs sans réussir à répondre car il a omis une réalité redoutable. Une fois qu’il en aura fini avec le dos, les fesses et les cuisses, elle devra se tourner…

- France, allez..

- Le fouet d’abord.

- Bien, bien, j’aime que tu sois comme ça. C’est tellement dommage, tu sais…

Il lui retire sa jupe. Il ne lui reste que les bas, les talons et le collier…

Il ne se saisit pas d’un objet mais commence à promener ses doigts sur ses fesses, sans s’appesantir, va, vient, tapote l’intérieur des cuisses pour qu’elle écarte davantage les jambes, le bas du dos pour une cambrure accentuée….Il revient aux fesses qu’il cajole presque puis avance la main pour palper une chatte qui s’ouvre naturellement, sensible comme elle est à la sollicitation de deux doigts qui la connaissent bien, massent légèrement son clitoris, se postent à l’entrée d’un con tiède et prêt à les accueillir avant de forcer sans ostentation un anus froncé bien offert.

- Tu vois comme c’est dommage. Je suis un Maitre sévère mais juste. Seulement, toi, tu te mets en situation de devoir être corrigée. Et je vais te corriger.

Il introduit un peu plus deux doigts, les retire, les enfonce encore en un délicieux simulacre de pénétration. Elle est suintante, désireuse. Il doit revenir à sa chatte. Il masturbe. Elle gémit.

Puis, brutalement, il arrête tout et se redresse. Il lui ordonne de se lever et lui met un bâillon. Elle lève les bras pour les poser contre l’arbre, tend les fesses et écarte les jambes. Il lève le fouet et commence à frapper. Elle sursaute. Il enchaine sans ménagement jusqu’à ce qu’il sente qu’elle n’y tient plus et que sa peau est meurtrie. Quand il a atteint dix coups, il s’arrête et de nouveau palpe les fesses rougies, de nouveau branle et entre ses doigts.

- Tu aimes, France. Tu vois, je te corrige et tu mouilles…Tu aimes.

 Il s’approche pour saisir l’expression de son regard. Elle a des larmes dans les cils et une expression qui oscille de la détresse au contentement sans qu’il y décèle le désir de supplier pour le fléchir. Elle souffre mais accepte. Et elle est mouillée…

Il retire son pull et se présente à elle torse nu. Il se frotte contre ses cuisses, ses hanches. Il s’appuie contre elle et s’écarte pour qu’elle comprenne bien qu’elle le fait bander..Il joue à s’exciter contre elle, conscient qu’il va la frapper encore et l’humilier, tout, en s’interrompant pour la stimuler avec ses doigts. Elle aime cela.

Son regard change un peu. La détresse recule devant une ébauche de plaisir et de sécurité…Elle veut qu’il bande davantage.

- Dis-moi, petite putain…Tu crois que c’est fini.

Elle fronce les sourcils, inquiète, et fais un mouvement de tête de dénégation.

- Ah ! Tu es sage. Une pute sage…Je te frappe encore, tu sais…

Elle fait « oui » de la tête et il apprécie à sa juste mesure son regard inquiet quand il se saisit non de la badine mais du fouet. De nouveau, il la bat, alternant le dos, le cul qu’il aime définitivement meurtrir comme si le plaisir qu’il en tirait ensuite était démultiplié, et le haut des cuisses.

Cette fois, c’est plus douloureux. Elle tient plus difficilement la position et mord le petit baillon. Il finit par s’arrêter mais ne passe pas directement à la badine. Un temps, il alterne tandis que vaillemment, elle présente son corps.

Enfin, il cesse.

Il caresse un peu puis la manipulant comme un objet, il la retourne, la fait s’allonger malgré ses gémissements et lui fait écarter les cuisses.

Elle s’affole et il doit l’entraver car elle redoute infiniment les coups sue les seins et la chatte. C’est une punition violente pour elle. Elle se débat et pleure.

- Ah non, tu ne pleurniches pas !

Il lui enfonce un linge dans la bouche et noue un foulard derrière sa tête. Puis il lui attache les mains au dessus de la tête.

Il prend la badine et frappe les seins plusieurs fois. Elle secoue la tête. Il la sent désespérée.

Il atteint la chatte une première fois.

Elle hurlerait si elle pouvait.

Encore.

Encore.

Les seins, de nouveau.

La chatte, de nouveau.

Il insiste moins cependant et la libère.

Elle sait ce qu’elle doit faire. Elle demande pardon. A genoux, nue, toute marquée, son maquillage défait sur son visage triste.

Il ouvre son pantalon et sort sa queue de son caleçon. C’est très important qu’il le fasse car elle ne s’adresser qu’à l’homme ; il faut bien qu’elle parle à ce membre dont elle dépend et auquel elle doit respect et vénération. Du reste, elle le sait très bien puisqu’elle ne cherche même pas à rencontrer le regard du Maitre mais contemple avec une adoration croissante le beau membre nouvellement raidi…

Elle commence à demander pardon.  Elle est navrée, désolée, elle ne se comprend elle-même, elle regrette…

Il se branle légèrement.

Elle continue.

Il l’interrompt pour savoir si elle mouille.

- Vérifie…

Elle met un doigt dans sa chatte et fait un signe de tête positif. Elle est presque honteuse.

Elle continue.

Il se branle plus librement et elle ne quitte sa queue des yeux. Elle est maintenant très désireuse.

Il ne peut se cacher qu’il a envie de se faire sucer mais il s’en empêche. Non, pas tout de suite. Une pipe tout à l’heure en voiture.

Elle essaie de parler encore mais a un discours plus haché car il comprend qu’il ne va pas l’autoriser à la prendre en bouche. Il a une très belle érection maintenant et elle devine qu’il ne va tarder à jouir. Elle guette. Il lui dit de tenir sa bouche ouverte. Il dit « gueule »….

Elle reçoit le foutre par giclées bienfaisantes et remercie. Elle se prosterne.

Il la laisse un moment comme cela puis la fait se relever et la rhabille.

Elle a perdu son maquillage et a des marques sur le corps mais il la désire…

Il marche à côté d’elle sur le chemin du retour et pendant une partie du chemin, il remonte sa jupe pour l’exhiber. Il ne lui fait pas de tort car ils ne rencontrent personne avant le parking.

Là, il la fait monter dans sa voiture et exige d’être sucé.

Elle le branle d’abord un peu puis obéit. Elle y trouve un très, très grand plaisir…

Lui-aussi.

Il jouit une deuxième fois.

Il lui dit au revoir sans la prendre.

Elle accepte.

Il fixe le nombre de masturbations qu’il lui autorise pour la semaine et le nombre de fois où elle doit porter un plug anal.

Puis, il lui donne deux doigts à sucer après lui avoir massé la chatte et le cul. Elle nettoie bien.

Elle part.

Le soir même, il la fait jouir au téléphone.

 

Par Nina.S

Par Maitre Gone6 - Publié dans : Bienvenue - Communauté : Maitre Gone
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Commentaires

Trop astiqué ma grosse queue sur ton site.
Passe me voir sur: http://www.Doctissimo.com

commentaire n° :1 posté par : mario32 le: 13/09/2010 à 09h11

tant mieux pour toi

réponse de : Maitre Gone6 le: 03/06/2011 à 11h37

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